3 décembre 2023 | Local, Aérospatial

South Korea launches first spy satellite after North Korea does same

Since last year, North Korea has conducted about 100 ballistic missile tests, part of efforts to modernize weapons targeting South Korea and the U.S.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/space/2023/12/01/south-korea-launches-first-spy-satellite-after-north-korea-does-same/

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  • DND funds new technology at Carleton University that could protect military equipment

    12 septembre 2019 | Local, Terrestre

    DND funds new technology at Carleton University that could protect military equipment

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN A Carleton University research team led by Shulabh Gupta, a professor in the Department of Electronics, has received $1.5 million in funding from the Department of National Defence's Innovation for Defence, Excellence and Security program to create the next generation technology for electronic camouflaging. The project will develop an artificial electromagnetic veil to protect military equipment from enemy detection based on cutting-edge Metamaterial technology, according to a news release from Carleton University. The veil would cover the surface of the military asset and hide it from a range of detection methods operating is various spectral bands, including radio frequencies, infrared and optical. The project, officially known as the Artificially Intelligent Biomimetic Metasurfaces for Electromagnetic Camouflage, is a collaboration with the University of Ottawa and Polytechnique Montreal, Carleton University noted. “In much the same way an octopus dynamically senses and adapts to its background, changing its colour as it moves, these smart electromagnetic veils would be able to sense their backgrounds, even while moving, and in real time adapt to blend into their surroundings while protecting the important targets,” Gupta said in the news release. “While an octopus is only capable of hiding from the optical detection of predators, assets utilizing the new veil would be hidden from a broad range of detection.” For example, radar can detect and distinguish a vehicle driving through a forest because the vehicle reflects a different signal back compared to its background, the university noted. To prevent this, the veil on the vehicle would predict the signal being reflected back by the surrounding trees and mimic it, making the vehicle indistinguishable from the trees as it drove through the forest. https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/dnd-funds-new-technology-at-carleton-university-that-could-protect-military-equipment

  • Mise à jour et nouveau nom du projet de système interarmées de surveillance et d’acquisition d’objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote

    16 novembre 2017 | Local, Aérospatial

    Mise à jour et nouveau nom du projet de système interarmées de surveillance et d’acquisition d’objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote

    Article de nouvelles / Le 14 novembre 2017 Aviation royale canadienne Le projet de système interarmées de surveillance et d'acquisition d'objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote (JUSTAS) de l'Aviation royale canadienne a été mis sur pied en vue de l'achat d'un système d'aéronef sans pilote (UAS) pour les Forces armées canadiennes (FAC). Le projet en est actuellement au stade de l'analyse des options. Cet automne, le nom du projet a été changé pour celui de système d'aéronef télépiloté (SATP). Ce changement correspond aux modifications apportées aux lexiques et aux systèmes de classification de nos alliés et reflète plus précisément le mode d'utilisation des systèmes. Comme le précise la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, publiée en juin 2017, les systèmes d'aéronefs télépilotés (SATP) font maintenant partie intégrante des opérations militaires modernes. Des aéronefs télépilotés (ATP), comme le CU-170 Heron de l'ARC et d'autres aéronefs sans pilote, ont été déployés au cours d'opérations militaires canadiennes et offrent plusieurs avantages, notamment la capacité de rester en vol beaucoup plus longtemps que les véhicules de surveillance stratégique actuels. L'utilisation d'aéronefs télépilotés réduit aussi les risques courus par les militaires des FAC qui font fonctionner l'appareil à distance et à partir d'un endroit moins dangereux, et permet de déterminer les menaces potentielles qui pourraient peser sur les militaires des FAC qui se trouvent dans la zone des opérations. Les aéronefs télépilotés seront munis d'une large gamme de charges utiles et de capteurs qui détecteront les sujets d'intérêt au cours d'opérations tous temps, y compris dans l'Arctique canadien, et qui pourront apporter leur concours à une large gamme de missions, de la surveillance continue aux missions de combat en passant par le soutien aux missions de recherche et de sauvetage. Les responsables du projet SATP prévoient que les aéronefs télépilotés peuvent, en fait, être employés dans le cadre des huit missions essentielles décrites dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, au pays et à l'étranger. Le projet SATP appuie directement les initiatives 91 et 92, qui indiquent que le gouvernement « investira dans divers systèmes télépilotés » et « fera de la recherche et du développement pour les capacités terrestres, maritimes et aériennes télépilotées ». Le projet SATP Bien que le nom ait changé, l'objectif du projet SATP reste d'offrir une capacité de renseignement, de surveillance, d'acquisition d'objectifs et de reconnaissance persistante à long rayon d'action. Le projet fera partie d'un réseau de systèmes de systèmes et pourra fournir des renseignements en temps quasi réel aux commandants tactiques, opérationnels et stratégiques, en soutien aux opérations au pays et aux opérations de déploiement. Au besoin, il pourra aussi fournir une capacité de frappe de précision en soutien aux opérations. Le projet vient compléter les capacités existantes des FAC, comme l'aéronef de patrouille à long rayon d'action CP-140 Aurora. Le projet SATP ne vise pas à remplacer des véhicules. Phases du projet Le projet SATP en est actuellement au stade de l'analyse des options : L'analyse des options permet à la haute direction du ministère de prendre une décision éclairée quant à la meilleure façon de mettre en œuvre un projet afin de tenter d'atteindre la capacité indiquée d'une façon acceptable aux yeux du gouvernement. Au cours de cette phase, les options sont formulées, les coûts et les avantages sont évalués et une analyse de rentabilité est développée pour chacune des options. La phase de définition d'un projet marque la transition entre la détermination de ce qui devrait être fait pour combler une insuffisance de capacité et la détermination de la façon dont l'option privilégiée sera mise en œuvre. C'est au cours de cette phase que le projet est planifié. Les activités incluent notamment : l'exécution d'un examen détaillé des exigences du projet et d'une évaluation des risques, l'établissement des coûts et la planification de la phase de mise en œuvre et le choix de la stratégie d'approvisionnement privilégiée. Les projets qui se trouvent en phase de mise en œuvre ont reçu les approbations nécessaires pour la conclusion de contrats et l'engagement des fonds et des ressources nécessaires pour que le projet soit mené à terme. La capacité opérationnelle initiale, le moment où la capacité d'emploi de la ressource est d'abord atteinte, est prévue pour l'année financière 2025-2026, selon la directive présentée dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement. Coûts du projet Les coûts sont évalués dans le cadre de la phase d'analyse des options et se préciseront au cours de la phase de définition. Le coût estimatif dépendra de la stratégie d'approvisionnement approuvée, de l'infrastructure et du type de véhicule choisi. Les coûts comprendront les capteurs, les éléments au sol et l'infrastructure connexes. Nombre d'appareils Aucune décision n'a été prise relativement au nombre d'appareils. Le nombre de SATP sera suffisant pour répondre simultanément à trois lignes de missions et pourrait être touché par la stratégie d'approvisionnement, l'infrastructure, et les véhicules précis choisis. Retombées économiques La politique relative aux retombées industrielles et technologiques, proposition de valeur comprise, s'appliquera à la présente activité d'approvisionnement, et exige que l'entrepreneur principal du projet investisse 100 % de la valeur du contrat dans l'économie canadienne. La proposition de valeur est l'engagement économique que le soumissionnaire prend initialement envers le Canada au moment de la soumission, et est un facteur noté et pondéré lors du choix de l'adjudicataire. Elle devient un engagement contractuel pour l'adjudicataire. Les exigences de la proposition de valeur sont adaptées à chaque approvisionnement afin de permettre au gouvernement de canaliser les investissements et de profiter des occasions économiques uniques offertes par chaque projet. Utilisations des SATP Au pays, les SATP renforceront la capacité de surveillance des approches maritimes et nordiques du Canada et appuieront les opérations de recherche et de sauvetage. Les SATP permettront aux FAC d'aider d'autres ministères gouvernementaux en offrant du soutien à la sécurité lors d'événements spéciaux, comme les sommets internationaux, en apportant de l'aide aux autorités civiles, comme lors des incendies de forêt ou d'inondations, ainsi qu'en offrant du soutien aux opérations des autorités policières. À l'étranger, les SATP pourront détecter, reconnaître, identifier et poursuivre des cibles d'intérêt dans des milieux complexes et s'intégrer aux systèmes nécessaires pour traiter et fusionner les informations recueillies en renseignement donnant un droit d'action. Capacité de frappe de précision des SATP La politique de défense Protection, Sécurité, Engagement indique que les SATP auront une capacité de frappe de précision – ils pourront être armés. La capacité de cibler et d'exécuter des frappes de précision assure que si une menace est détectée, elle pourra aussi être neutralisée à ce moment. Comme lors de l'utilisation de tout autre système d'armes, les aéronefs télépilotés seront utilisés par les FAC conformément aux lois nationales et internationales. Les opérations seront exécutées dans le strict respect des contrôles, procédures et règles d'engagement qui régissent l'utilisation de la force ou de toute autre arme. Tous ces systèmes seraient télépilotés par des militaires des FAC participant directement au processus de prise de décision de l'exécution d'une frappe. Cependant, les SATP ne seront armés que si cela est nécessaire pour la t'che attribuée. Milieux opérationnels Le SATP pourra être utilisé partout dans le monde, dans toutes les conditions météorologiques, à tout moment de la journée, et aura le rayon d'action et l'autonomie pour atteindre tout endroit dans l'espace aérien du Canada à partir de tout emplacement d'opérations adéquat. Le système devra aussi pouvoir fonctionner dans des milieux de faible à moyen risque, dans des contextes de collaboration avec d'autres ministères gouvernementaux et dans le cadre d'une coalition avec nos alliés. L'ARC assure la souveraineté du Canada au moyen de sa capacité de répondre rapidement à toute menace. L'investissement dans le projet SATP, comme il est indiqué dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, permet d'augmenter la capacité de l'ARC de continuer à fournir une puissance aérienne de façon agile et intégrée tout en disposant de la portée nécessaire pour répondre à toute demande formulée par le gouvernement du Canada. Tout fournisseur intéressé devrait adresser toute question liée à ce projet au Responsable de l'approvisionnement de Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC). Article: http://www.rcaf-arc.forces.gc.ca/fr/nouvelles-modele-standard.page?doc=mise-a-jour-et-nouveau-nom-du-projet-de-systeme-interarmees-de-surveillance-et-d-acquisition-d-objectifs-au-moyen-de-vehicules-aeriens-sans-pilote/j9u7rzyf

  • AETE must move to make room for new fighters says commanding officer

    4 janvier 2019 | Local, Aérospatial

    AETE must move to make room for new fighters says commanding officer

    Kelly-Anne Riess ADJUSTCOMMENTPRINT Moving the Canadian military's Aerospace Engineering Test Establishment out of Cold Lake to Ottawa is the only way 4 Wing can grow to accommodate new fighters, says AETE commanding officer Col. Eric Grandmont, referring to feasibility studies conducted by the Air Force. He said the loss of AETE will be offset by a gain for 4 Wing. “We are planning ahead for the long-term future of Canada's fighters,” he said. “The RCAF is committed to Cold Lake and Bagotville as our fighter bases, and there will be significant investment in these areas to prepare for the arrival of the future fighters.” The new aircraft will require an expansion of 4 Wing. Facilities will need to be updated and the current AETE building, which is the newest and second largest hanger on the base, will need to be repurposed. Canada is currently in the process of purchasing 25 used fighter aircraft from Australia and buying another 88 new jets to replace the existing fleet of CF-18s. The costs for relocating AETE are included in the $470 million the Liberal government has set aside for buying the used Australian F-18 fighter jets. Grandmont said he is hoping the transition plan for AETE will be approved by this spring. The move, which would not take place before the summer of 2021, could affect one-third of AETE, which employs 166 military personnel and 22 public servants. The remainder would be reassigned elsewhere in the air force, either in Cold Lake or other military bases. “We are trying to minimize the impact on the city,” said Grandmont, adding the current plan is to stagger his staff's moves to Ottawa. He said some of the positions in question are currently vacant and, if filled, those employees would start their jobs immediately in the nation's capital instead of coming to Cold Lake in the interim. Also, some public servants currently working for AETE in Cold Lake are close to retirement and would likely choose to end their careers and stay in Alberta's north instead of moving to Ottawa. Grandmont says once the unit relocates it will augment its staff with civilian test pilots. “We are hoping to recruit retired members back to the unit once it's in Ottawa,” said Grandmont, adding that moving AETE would put the unit in a central position to service all Canadian Forces aircraft, many of which are in Eastern Canada. “Our people spend a lot of time on the road. They can be away for five or six months a year,” said Grandmont. Recently, some AETE personnel spent seven months in Petawawa, Ont. doing the work necessary to have two Chinooks available to send to Mali, where Canada has been providing emergency medical evacuation for the United Nations peacekeeping mission going on in that country. There are 19 fleets in the Canadian Air Force and only two of them are in Cold Lake—the CF-18 and the Griffon helicopters, said Grandmont. Other aircraft, like the CC-130J Hercules, CC-17 Globemaster and CC-150 Polaris are all based in Trenton, Ont. The CC-144 Challengers are in Ottawa. The CP-140 Aurora and the CH-149 Cormorants are in Greenwood, NS. The CH-148 Cyclones are in Shearwater, NS, The CH-147F Chinooks are in Petawawa, Ont. There are CC-138 Twin Otters are in Yellowknife. AETE, like all units in the Air Force, is facing a shortage of pilots. Recruiting multiengine pilots from Eastern Canada is a challenge for AETE, and a CC-130H Hercules pilot based in Winnipeg does not necessarily want to uproot his or her family to Cold Lake where his or her spouse would have limited options for employment, as well as restricted access to health care. “Although once people get to Cold Lake, they usually enjoy their time here,” said Grandmont. “It is a beautiful area.” AETE has also been losing personnel to private industry, which can offer better working conditions for experienced testers. Postmedia first revealed the proposal to move AETE in 2016. The plan first started under the Conservative government, but the Liberals continued with the relocation initiative. -With files from David Pugliese (Disclosure: The editor of the Cold Lake Sun is married to a member of AETE.) https://www.pinchercreekecho.com/news/local-news/aete-must-move-to-make-room-for-new-fighters-says-commanding-officer

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