7 décembre 2018 | International, Aérospatial

Safran fera le MCO des Arriel de la force aérienne danoise

L'Armée de l'Air royale danoise confie le MCO des moteurs Arriel 1D1 de ses Airbus Helicopters AS550C2 Fennec à Safran Helicopter Engines.

Manifestement satisfaite du travail des équipes de Safran Helicopter Engines, l'Armée de l'Air royale danoise vient de confier le MCO des moteurs Arriel 1D1 de 11 Airbus Helicopters AS550C2 Fennec à la filiale du groupe Safran dans le cadre du contrat de soutien "Global Support Package" jusqu'au retrait du service de ce parc d'Airbus Helicopters prévu pour la mi-2030. Le contrat de soutien s'engage à des garanties en matière de budget prévisionnel, de coûts fixes à l'heure de vol et "de partenariat technique avec le constructeur". Safran Helicopter Engines assure déjà depuis juillet 2016 le MCO des moteurs RTM322 des 14 hélicoptères Merlin de l'Armée de l'Air royale danoise. Plus de 75 moteurs bénéficient de ce contrat. La gestion du deuxième contrat est assurée par Safran Helicopter Engines Germany "qui gère le suivi de 280 opérateurs en Allemagne, en Scandinavie, en Europe centrale et de l'Est, en Russie et en Asie centrale.

http://www.air-cosmos.com/safran-fera-le-mco-des-arriel-de-la-force-aerienne-danoise-117783

Sur le même sujet

  • US Air Force turns to data analytics to solve B-1, C-5 maintenance challenges

    26 septembre 2018 | International, Aérospatial

    US Air Force turns to data analytics to solve B-1, C-5 maintenance challenges

    By: Valerie Insinna WASHINGTON — The U.S. Air Force is making changes to the way it sustains the B-1B Lancer bomber and C-5 Super Galaxy cargo plane, moving to a maintenance approach that will allow it to use data analytics to predict problems, the acting head of Air Force Materiel Command said. Both the B-1 and C-5 fleets transitioned to a conditions-based maintenance model last month, Lt. Gen. Robert McMurry, commander of the Air Force Life Cycle Management Center, told Defense News in a Sept. 18 interview. “Given the aging fleet situation that we have, we probably need to be using data better to take care of it — which is a drive toward what most everyone right now is saying is the right way to manage fleet sustainment, which is through condition-based maintenance and data analytics,” he said. “So we're trying to bring that on.” The approach — which involves using algorithms to predict the need for repairs rather than waiting for a part to break — is a standard practice in the commercial airline industry to help reduce maintenance-related delays or cancellations, but has been less common in the Air Force. AFMC determined it needed to make a greater push toward conditions-based maintenance as a result of servicewide reviews triggered by rising concerns about the number of aviation-related mishaps. The first review, directed by Air Force Chief of Staff Gen. Dave Goldfein, involved a one-day standdown that would give flying and maintenance units a chance to communicate potential safety concerns up the chain of command. Gen. Ellen Pawlikowski, then the head of AFMC, also directed the organizations under her command, like the Air Force Sustaiment Center, to evaluate its own data. The reviews have since concluded, with the Air Force finding “two systems ... where high risk was accepted,” said McMurry, noting that “operational security does not allow us to identify them.” “Our process is dealing with those responsibly,” he added. The B-1 and C-5 were chosen as pilot programs for the conditions-based maintenance approach because they are sustained by airmen and have older, relatively small inventories, making for a more manageable data set. But the planes have something else in common — a recent history of well-publicized mishaps. The C-5 has sustained a number of nose landing gear malfunctions that led to a standdown and maintenance assessment in 2017. But despite a fix being put in place, there have still been problems with the gear, such as a March 2018 event where one C-5 landed on its nose at Joint Base San Antonio-Lackland, Texas. Meanwhile, the B-1 fleet was temporarily grounded in June after a safety investigation board found problems with ejection seat components while investigating a May 1 emergency landingwhere the ejection seats did not deploy. Full article: https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/air-force-association/2018/09/25/air-force-looks-to-data-analytics-to-help-solve-b-1-c-5-maintenance-challenges/

  • New Android Banking Trojan BingoMod Steals Money, Wipes Devices

    1 août 2024 | International, C4ISR, Sécurité

    New Android Banking Trojan BingoMod Steals Money, Wipes Devices

    Cybersecurity researchers uncover BingoMod, a new Android banking trojan that steals money, wipes devices, and evades detection. Learn how to protect

  • Achat de Rafale par la Grèce, crise du secteur aérien : entretien avec Eric Trappier, président du GIFAS et PDG de Dassault Aviation

    16 septembre 2020 | International, Aérospatial

    Achat de Rafale par la Grèce, crise du secteur aérien : entretien avec Eric Trappier, président du GIFAS et PDG de Dassault Aviation

    Eric Trappier, président du GIFAS et PDG de Dassault Aviation, s'exprimait ce matin sur RTL. Le dirigeant a notamment évoqué la commande de 18 Rafale par la Grèce, annoncée samedi 12 septembre. Les Rafale commandés par la Grèce seront livrés «dans l'année à venir, soit en 2021», indique M. Trappier. La commande comprendra 12 avions d' «occasion», actuellement opérationnels au sein de l'armée de l'Air française, une mesure décidée afin de répondre à l'urgence du besoin exprimé par la Grèce. Ces prélèvements d'appareils au sein de l'armée de l'Air française seront « compensés par la fabrication d'avions neufs », insiste M. Trappier. La fabrication de 18 Rafale garantit « un an de travail pour les chaînes de production de Dassault Aviation et de ses sous-traitants », souligne-t-il. M. Trappier rappelle également qu'une discussion avec le gouvernement français est en cours concernant l'achat d'une «cinquième tranche de 30 avions». Le Rafale est «un avion qui n'arrête pas d'évoluer, par standards successifs», souligne le dirigeant : «on est en train de développer le quatrième standard». Interrogé sur la crise que traverse actuellement le secteur de l'aéronautique, M. Trappier souligne que l'Etat est «très mobilisé» ; mais il met en garde contre le «changement d'hypothèse» qui surviendrait si «les frontières restent fermées et si le trafic aérien ne reprend pas». Il rappelle que le secteur de l'aéronautique travaille, depuis plusieurs années, à la mise au point d'un «avion décarboné», dont le développement s'est récemment accéléré avec le soutien du gouvernement. RTL Matin du 16 septembre

Toutes les nouvelles