27 janvier 2024 | International, Terrestre

RTXs Raytheon business awarded $154 million to deliver Commanders Independent Viewer units to the U.S. Army

CIV is an electro-optical/infrared sight system utilizing second-generation forward-looking infrared (FLIR) cameras and sensors.

https://www.epicos.com/article/787545/rtxs-raytheon-business-awarded-154-million-deliver-commanders-independent-viewer

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    15 janvier 2020 | International, Aérospatial

    Lockheed, Boeing enter Germany’s heavy transport helicopter race

    By: Sebastian Sprenger COLOGNE, Germany — Lockheed Martin's Sikorsky and Boeing have submitted their proposals for the German military's envisioned heavy transport helicopter program, the companies announced. Sikorsky is offering a version of the CH-53K designed for the U.S. Marine Corps, while Boeing is pitching the H-47 Chinook. The offers, due on Jan. 13, come in response to a request for proposals published by the Bundeswehr last summer. Government officials will spend the greater part of 2020 analyzing the submissions, with a second and final request for offers pegged for the end the year. The multibillion-dollar STH program, short for Schwerer Transporthubschrauber, is meant to replace the German fleet of decades-old CH-53G copters. Deliveries from the winning bidder are slated to begin in 2024 and last through the early 2030s — that is if the program receives budgetary support from the government and lawmakers when the time comes for a contract next year. Both companies have assembled a group of German suppliers that would oversee areas such as maintenance, simulators and documentation in an effort to maximize domestic industry participation. The Bundeswehr initially wanted a no-frills, off-the-shelf cargo helicopter that would be easy on the defense budget. Notably, the Germans also want to use the STH choppers for combat search-and-rescue operations, with plans to raise that mission profile throughout the Air Force's ranks. But last year's solicitation came with an unexpected level of complexity, Frank Crisafulli, Sikorsky's director of international business development for heavy helicopters, told reporters during a company presentation in Bonn, Germany, on Monday. “Folks were caught by surprise,” he said. The added complications are due, for example, to the Bundeswehr's goal of having the helicopters certified in accordance with European civilian aviation regulations. In addition, German officials want a weather radar better than the one offered in the Marine Corps version of the CH-53K, plus a multilayered radio communications setup," Crisafulli said. As envisioned, the STH program would plunge the German military into a model of contractor-driven support popularized by the U.S. Defense Department under the moniker of performance-based logistics, or PBL. The idea is that the government can save money by dictating to contractors what level of readiness it wants for its hardware, and then letting vendors figure out how to meet those objectives within a given budget. Pentagon auditors previously affirmed the basic premise of performance-based logistics, with one key caveat: The government must have enough insight and clout in the programs to be able to set sensible performance benchmarks at rates favorable to taxpayers. According to Mike Schmidt, CEO of Rheinmetall Aviation Services, one of Sikorsky's key local partners, the concept is relatively new for Germany. At an STH industry day in 2018, “nobody knew what PBL was,” he said. At stake for the contractors is a 40-year relationship with Germany over the life cycle of the program. Boeing has portrayed its Chinook offering as a low-risk and low-cost option because more than 950 of the aircraft are already used by 20 countries. Sikorsky has played up the aerial-refueling capabilities of the CH-53K, especially in conjunction with the Lockheed Martin-made KC-130J tanker, to increase range. https://www.defensenews.com/global/europe/2020/01/14/lockheed-boeing-enter-germanys-heavy-transport-helicopter-race/

  • Ces startups du renseignement poussées dans les bras étrangers

    2 octobre 2019 | International, Sécurité

    Ces startups du renseignement poussées dans les bras étrangers

    Par Anne Drif Comme Linkurious et Earthcube, plusieurs entreprises innovantes du renseignement et de la défense sont sollicitées par des investisseurs étrangers, dont le fonds de la CIA In-Q-Tel. En France, elles n'ont pas ou peu d'alternatives de financement. "Il faut arrêter Hollywood !" l'che, amer, un entrepreneur français devant le déluge d'images sur l'innovation des armées qui anime la communication du ministère de la Défense depuis quelques semaines. Le "Flyboard Air" de Franky Zapata a failli battre pavillon américain . D'autres projets moins cathodiques sont poussés à prendre un drapeau étranger, faute de trouver les financements adéquats en France. La faille est désormais bien identifiée par les investisseurs étrangers, qui ont ciblé ouvertement ces derniers mois les startup françaises du secteur de la défense et de la sécurité. Le fonds de la CIA, In-Q-Tel, s'est intéressé de près à Linkurious, la startup qui a aidé dans l'affaire des "Panama Papers" en détectant les interconnexions entre personnes à partir de signaux faibles pour les banques, l'armée ou Bercy. Investisseurs américains ou qataris Le fonds d'investissement américain , qui vient de s'installer en Europe, a également approché Earthcube . Cette solution d'intelligence artificielle qui permet d'identifier en quelques secondes des micro pixels sur des images satellites est utilisée par la Direction du renseignement militaire. La société Elika, qui innove dans la linguistique opérationnelle pour permettre aux forces armées de communiquer dans un langage interallié a elle aussi reçu des propositions de fonds américains et qataris. Certaines - par exemple Dataiku, qui travaille pour Tracfin -, ont déjà basculé. La startup d'intelligence artificielle a bouclé un quatrième tour de table de 101 millions de dollars auprès de fonds anglo-saxons de premier ordre, comme Iconiq Capital, proche du CEO de Facebook, Mark Zuckerberg. Des startup trop connotées De fait, les startup de la défense et du renseignement se lancent gr'ce aux subventions et aux contrats industriels noués avec la Direction générale de l'armement ou la nouvelle Agence d'innovation de la défense, mais peinent très vite à grandir avec des solutions de financement hexagonales. "Si on veut conserver un ADN tricolore, l'écosystème de financement reste à inventer. Les investisseurs français sont hésitants à l'idée de mettre de l'argent dans notre secteur", témoigne Arnaud Guérin, le cofondateur d'Earthcube. Chez Numalis, où l'on gère une méthode de calcul capable de corriger les systèmes critiques des missiles, des fusées ou des centrales nucléaires, on cherche aussi de l'agent frais. La startup, qui mobilise des subventions de BPI et reçoit l'aide d'un fonds régional, a tenté de convaincre des fonds de capital-risque et d'amorçage. En vain. Désintérêts "Nous n'y sommes pas arrivés, explique Arnault Ioualalen, le fondateur. Si l'on ne trouve pas d'acteur français, nous nous efforcerons de nous tourner vers des Européens. Mais les fonds classiques réfléchissent à cinq ans, un horizon beaucoup trop court pour la deep-tech." Les grands fonds français expliquent leur appréhension. "Nous ne pouvons pas investir dans ce qui touche de près ou de loin au commerce d'armes, explique Jean-Marc Patouillaud, managing partner de Partech. Le nombre limité d'acteurs, de clients, la nature des cycles et des processus de vente sont des facteurs de risques, sans compter le droit de regard des pouvoirs publics sur toute transaction." Coup de fil du ministère des armées Même constat de Benoist Grossmann, le directeur général d'Idinvest. "La cybersécurité et la géosurveillance sont peu matures, et il existe plein d'autres opportunités dans d'autres secteurs. Aux Etats Unis, c'est différent, le marché de la défense est beaucoup plus profond", ajoute-t-il. Quand les fonds français osent quand même s'intéresser au secteur, "la première chose qu'ils sondent est Bercy au titre du contrôle des investissements... Dans l'heure, ils reçoivent un coup de fil de la DGA !" témoigne un entrepreneur. En réalité, ce problème n'est pas nouveau. En témoigne la création de Definvest, le fonds de 50 millions d'euros monté l'an dernier par bpifrance pour le compte du ministère des Armées. Mais ce dernier ne répond que partiellement aux besoins, car il intervient uniquement... aux côtés de fonds privés, et ne prend jamais la main. Par le passé, d'autres tentatives semi-publiques avaient déjà échoué . Pré-carré des industriels La défiance est la même du côté des banques. "Nous avons fait le choix de ne pas lever de fonds étrangers, mais nous ne trouvons pas de financement bancaire, même pour 500.000 euros. Nous tentons donc de fonctionner avec des prêts d'honneur de Total, Airbus et Michelin. C'est forcément limité", déplore Karine Joyeux, la présidente d'Elika. Pour les startup, les verrous ne sont pas que financiers. "Ce que nous font comprendre en creux les institutions de la Défense, c'est qu'elles ne veulent pas voir l'émergence de startups qui viendraient concurrencer les grands groupes installés, s'agace un entrepreneur du secteur. L'armée pousse à ce que nous intégrions nos technologies dans ces grands groupes, mais nous voulons garder notre indépendance. Et ce n'est pas ce qui va pousser à créer des technologies de rupture !" Du coup, certaines startup préfèrent l'autofinancement, comme Linkurious. "Nous avons fait le choix de ne pas lever de fonds pour garder notre indépendance", explique le président exécutif Sébastien Heymann. Vers un abandon du secteur défense pour le civil D'autres jeunes pousses renoncent et se réorientent purement et simplement vers la seule clientèle civile. C'est le "pivot" opéré par Flaminem, pourtant présenté comme le futur concurrent français de la société américaine d'analyse de données Palantir. "Nous restons attentifs au marché régalien, mais ce n'est pas un domaine qui réagit suffisamment vite à notre échelle", explique Antoine Rizk, le CEO de Flaminem. La startup s'est donc entièrement tournée vers le vaste marché de la lutte contre la fraude et le blanchiment des banques. Moins sulfureux, mais plus "bankable". https://start.lesechos.fr/startups/actu-startups/ces-startups-du-renseignement-poussees-dans-les-bras-etrangers-16216.php

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