7 janvier 2019 | Local, Aérospatial

Recrafting the Fighter role

ROBBIN LAIRD, © 2018 FrontLine (Vol 15, No 6)

It's clear that combat capabilities and operations are being recrafted across the globe and, as operational contexts change, the evolution of the role of fighters is at the center of that shift. This year's International Fighter Conference held in Berlin provided a chance to focus on the role of fighters in the strategic shift from land wars to higher intensity operations. The baseline assumption for the conference can be simply put: air superiority can no longer be assumed, and needs to be created in contested environments.

Competitors like China and Russia are putting significant effort into shaping concepts of operations and modernizing force structures which will allow them to challenge the ability of liberal democracies to establish air superiority and to dominate future crises.

There was a clear consensus on this point, but, of course, working the specifics of defeating such an adversary brings in broader concepts of force design and operations. While the air forces of liberal democracies all face the common threat of operating in contested airspace, the preferred solutions vary greatly from one nation to another, so the conference worked from that common assumption rather than focusing on specific solutions.

The coming of the F-35 global enterprise is a clear force for change. In one presentation, a senior RAF officer outlined how the UK would both contribute to and benefit from the F-35 global enterprise. “The future is now,” he began, as he laid out how he saw interactions among F-35 partners in shaping common and distinctive approaches to air power modernization driven by the introduction of the F-35.

Full article: https://defence.frontline.online/article/2018/6/10980-Recrafting-the-Fighter-role

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    Du plomb dans l’aile ou plutôt de la rouille sur les ailes et le moral dans les talons…

    par Dave Blackburn La décision du gouvernement de Justin Trudeau de procéder à l'achat de 25 avions de combat F-18 à l'Australie est fortement discutable sur de multiples facettes. Dans quelques semaines, le Canada commencera à prendre possession de ces « nouveaux » appareils. Personnellement, je suis d'avis que notre nation est une fois de plus la risée mondiale. Quel autre pays du G7 irait dépenser 500 millions de dollars pour faire l'achat de 25 avions de combat qui ont plus de 30 ans de service ? Pourront-ils (au moins) voler de Mirabel à Cold Lake ? Le comble du comble, Radio-Canada nous apprenait que le gouvernement Trudeau considère sérieusement de rapporter au Canada ces vieux appareils à l'aide... d'un avion-cargo de type Antonov. C'est quoi le problème ? Les F-18 australiens ne sont pas en mesure de parcourir la distance entre Canberra en Australie et Mirabel au Canada ? Si cela est le cas, c'est rassurant, car ce sont ces mêmes appareils qui assureront la défense aérienne de notre pays. Pourront-ils voler de Mirabel à Cold Lake ? Si le Canada décide de rapporter les 23 avions par avion-cargo (2 avions sont déjà aux États-Unis), une fortune sera dépensée en transport, car les frais de fonctionnement d'un Antonov sont très élevés. Ils n'ont pas pensé à les transporter par bateau ? Pourquoi ne pas acheter un porte-avion usagé ? Avec nos sous-marins et nos « nouveaux » F-18, un porte-avion usagé ferait aussi l'affaire ! Vous savez quoi, ça me donne l'impression que tout est improvisé ! Technologie désuète Fondamentalement, avons-nous besoin de F-18 dont la technologie est désuète et qui selon toute vraisemblance ne feraient aucunement le poids contre des avions de chasse de 5e génération ? Dans le contexte des guerres modernes et urbaines, quelle est la valeur ajoutée, l'utilité, de procéder à l'achat de ces appareils ? Les gouvernements libéraux ont une f'cheuse habitude d'acheter du matériel militaire usagé. Personne (et surtout pas les contribuables) n'a oublié la désastreuse transaction du gouvernement de Jean Chrétien avec la Grande Bretagne dans les années 1990 pour l'achat de 4 sous-marins, au diesel, technologie qui était déjà dépassée depuis longtemps au moment de l'achat. Ces sous-marins ont coûté jusqu'à présent plus de 3 milliards de dollars et ont passé 91% du temps en cale sèche ou à quai. Mais au-delà de tous ces éléments de discussion, ma réflexion porte sur les répercussions sur le moral des troupes lorsque notre gouvernement fait l'achat d'équipement qui est bon pour la ferraille, pour le musée ou pour être installé en avant d'une filiale de la Légion royale canadienne. Et le moral des troupes ? Si je prends le temps de me mettre dans la tenue de vol d'un pilote de l'Aviation royale canadienne, j'aurais sans doute le moral dans les talons. Je me questionnerais sérieusement. J'aurais sans doute des craintes pour ma propre vie si jamais je devais être impliqué dans un combat aérien. Je me demanderais si notre gouvernement est véritablement sérieux dans sa stratégie de défense. En fait, je serais assez confus et déprimé. De mon point de vue, l'achat d'équipement militaire usagé ne peut qu'avoir un impact négatif sur le moral des troupes et un impact sur l'attrition du personnel. Par de fait même, cela doit aussi affecter le recrutement des personnes qui auraient un intérêt pour la carrière de pilote de chasse. J'ai tenté de rejoindre deux pilotes de chasse que je connais, mais je n'ai pas eu de retour. De toute manière, je doute fortement qu'ils aient commenté cet achat, ils sont trop professionnels. Nous avons l'une des meilleures forces militaires au monde sur le plan des ressources humaines. Une force qui est professionnelle, très bien entraînée et qui a démontré à maintes reprises son excellence lors de conflits ou d'opérations locales ou de maintien de la paix. Toutefois, pour demeurer parmi les meilleurs, nos soldats, marins et aviateurs doivent pouvoir bénéficier d'un équipement militaire à la fine pointe de la technologie. C'est aussi simple que ça ! Il est impossible de séparer le soldat de l'équipement militaire pour obtenir de bons résultats. Une fausse bonne affaire Bien évidemment, l'équipement militaire moderne est extrêmement cher et comme pays, nous avons des moyens financiers limités en matière de défense (budget de +/- 25 milliards en 2017). Comme nation, nous devons faire des choix en matière d'investissements dans les différentes sphères de la société. Conséquemment, avant d'acheter n'importe quoi dont des sous-marins au diesel qui devraient être stationnés à Pointe-au-Père en Gaspésie ou des F-18, il faudrait possiblement avoir une réflexion de fond sur nos intentions en matière de défense, sur nos alliances et sur notre capacité financière. Entretemps, le gouvernement de Justin Trudeau pourra continuer de penser qu'il a fait une bonne affaire et se réjouir d'avoir obtenu 7 avions F-18 sur les 25 qui seront utilisés par leurs pièces. À une échelle moins considérable il va sans dire, c'est comme le gars, très fier de son coup, qui s'achète deux Bombardiers ski doo Tundra 250cc 1988 dont l'un sera utilisé pour les pièces ! Il doit aller les chercher à Chibougamau et il habite en banlieue de Montréal. Il pense faire une bonne affaire ! Le Tundra à quand même 30 ans, il doit parcourir des centaines de kilomètres pour aller le chercher et son moral risque d'en prendre un coup lorsqu'il sera « stallé » dans les bois à des kilomètres de chez lui ! Une bonne affaire vous dites ! ? http://www.45enord.ca/2019/02/du-plomb-dans-laile-ou-plutot-de-la-rouille-sur-les-ailes-et-le-moral-dans-les-talons-f-18-australiens-canada/

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    Ottawa (Ontario) - Veiller à ce que le personnel de la Garde côtière canadienne dispose de l'équipement dont il a besoin pour maintenir les voies navigables du Canada ouvertes et sécuritaires est une priorité essentielle du gouvernement du Canada. Aujourd'hui, la Garde côtière canadienne (GCC) annonce l'attribution d'un contrat de prolongation de la durée de vie du navire de la Garde côtière canadienne (NGCC) Terry Fox à hauteur de 135,56 millions de dollars. Le navire sera placé en cale sèche et entamera une période d'entretien prolongée destinée à augmenter sa durée de vie opérationnelle. À la suite d'un processus concurrentiel ouvert, Services publics et Approvisionnement Canada, au nom de la GCC, a attribué le contrat à Heddle Shipyards, de St. Catharines, en Ontario, pour effectuer les travaux de prolongation de la durée de vie du NGCC Terry Fox. Le contrat de prolongation de la durée de vie du navire comprend deux phases : une phase d'ingénierie et d'approvisionnement de 14 mois qui préparera le chantier naval pour la deuxième phase, et une période de travail de 18 mois, où le navire sera placé en cale sèche pour le projet de prolongation de sa durée de vie. Grand brise-glace polyvalent, le navire est capable de mener des opérations soutenues dans l'archipel arctique pendant les mois d'été, et des opérations d'escorte de déglaçage dans le golfe du Saint-Laurent et sur la côte est de Terre-Neuve en hiver. Le navire participe également à divers programmes de la GCC, notamment à des missions scientifiques dans l'Arctique. Pendant que le navire fait l'objet de travaux de prolongation de sa durée de vie de la fin de 2023 au printemps 2025, la Garde côtière canadienne réaffectera ses autres ressources maritimes, afin de s'assurer que les voies navigables du Canada continuent d'être sécuritaires pour tous les gens de la mer. Ce contrat s'inscrit dans le cadre du volet des projets de réparation, de radoub et d'entretien de la Stratégie nationale de construction navale, qui contribue à faire en sorte que le Canada dispose d'une flotte de navires sécuritaire et efficace pour servir et protéger les Canadiens dans les années à venir, tout en offrant des possibilités continues aux chantiers navals et aux fournisseurs dans l'ensemble du Canada. https://www.canada.ca/fr/garde-cotiere-canadienne/nouvelles/2022/11/attribution-dun-contrat-de-prolongation-de-la-duree-de-vie-du-navire-de-la-garde-cotiere-canadienne-terry-fox.html

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