19 novembre 2019 | Local, Aérospatial

RCAF participates in highest-level simulated mission circling the globe

by Bill Brown

From Sept. 9 to 20, 2019, personnel from Royal Canadian Air Force's (RCAF) Aurora CP-140 fleet participated Exercise Coalition Virtual Flag (CVF) 19-4, which is led by the United States Air Force (USAF). More than 450 joint and coalition warfighters, located at 23 sites and on three different continents, participated.

Canadian participants used the Aurora procedure crew trainer (PCT) mission simulator located in 404 Long Range Patrol and Training Squadron's Thorney Island Simulation Centre at 14 Wing Greenwood, N.S., to participate in the virtual exercise.

Using distributed mission training (DMT) architecture, the PCT was connected to dozens of combat missions and flight simulators throughout Canada, the United States, the United Kingdom and Australia. The exercise was hosted by the 705th Combat Training Squadron (CTS) at Kirtland Air Force Base in New Mexico.

“Coalition Virtual Flag is an opportunity for our coalition and joint partners to get together. It's a theatre-level exercise that we can practice our tactics, techniques and procedures,” explained the United States Air Force's LCol Angela Messing, commander of 705th CTS. “It takes place in the virtual and simulated world with environment generators that replicate the exact threats that we're facing.”

Canadian planning for the annual complex, joint warfare simulation started almost a year ago, with 404 Squadron's modeling and simulation experts working closely with the Royal Canadian Navy's Distributed Mission Operations Centre, the RCAF Aerospace Warfare Centre's modelling and simulation co-ordination team, and modelling and simulation planners Distributed Mission Operations Center at Kirtland Air Force Base.

404 Squadron and 405 Long Range Patrol Squadron provided two crews to complete the five missions.

Crew planning took place over several days, and included preparing for authentic anti-surface and anti-submarine warfare tasks. The Aurora crews faced a multi-threat, open conflict simulation scenario, and worked alongside allies from the United States Air Force, the United States Navy, the Royal Australian Air Force and the Royal Air Force.

Exercise Coalition Virtual Flag represents the highest level of training that can be achieved through simulation. The crews must fight together or fail together. Miscommunication on and off their own aircraft can have deadly results, with friendly units engaged by opposing force weapons systems. The Aurora is a very capable surveillance and reconnaissance aircraft and, using its advanced sensors, has abundant tactical information to share with supported fighting forces.

Adding to the opportunity of exercising in a coalition DMT environment, crews conducted tactics development and confirmation for two tactical electronic warfare instructor course mentors. With the centre of excellence residing in 404 Squadron's Simulation Flight, the CP-140 fleet will continue to advance its simulation training capabilities. Several small-scale monthly DMT exercises are planned with the Navy's Distributed Mission Operations Centre and ships' combat teams over the coming months.

https://www.skiesmag.com/news/rcaf-participates-in-highest-level-simulated-mission-circling-the-globe

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  • Mise à jour et nouveau nom du projet de système interarmées de surveillance et d’acquisition d’objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote

    16 novembre 2017 | Local, Aérospatial

    Mise à jour et nouveau nom du projet de système interarmées de surveillance et d’acquisition d’objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote

    Article de nouvelles / Le 14 novembre 2017 Aviation royale canadienne Le projet de système interarmées de surveillance et d'acquisition d'objectifs au moyen de véhicules aériens sans pilote (JUSTAS) de l'Aviation royale canadienne a été mis sur pied en vue de l'achat d'un système d'aéronef sans pilote (UAS) pour les Forces armées canadiennes (FAC). Le projet en est actuellement au stade de l'analyse des options. Cet automne, le nom du projet a été changé pour celui de système d'aéronef télépiloté (SATP). Ce changement correspond aux modifications apportées aux lexiques et aux systèmes de classification de nos alliés et reflète plus précisément le mode d'utilisation des systèmes. Comme le précise la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, publiée en juin 2017, les systèmes d'aéronefs télépilotés (SATP) font maintenant partie intégrante des opérations militaires modernes. Des aéronefs télépilotés (ATP), comme le CU-170 Heron de l'ARC et d'autres aéronefs sans pilote, ont été déployés au cours d'opérations militaires canadiennes et offrent plusieurs avantages, notamment la capacité de rester en vol beaucoup plus longtemps que les véhicules de surveillance stratégique actuels. L'utilisation d'aéronefs télépilotés réduit aussi les risques courus par les militaires des FAC qui font fonctionner l'appareil à distance et à partir d'un endroit moins dangereux, et permet de déterminer les menaces potentielles qui pourraient peser sur les militaires des FAC qui se trouvent dans la zone des opérations. Les aéronefs télépilotés seront munis d'une large gamme de charges utiles et de capteurs qui détecteront les sujets d'intérêt au cours d'opérations tous temps, y compris dans l'Arctique canadien, et qui pourront apporter leur concours à une large gamme de missions, de la surveillance continue aux missions de combat en passant par le soutien aux missions de recherche et de sauvetage. Les responsables du projet SATP prévoient que les aéronefs télépilotés peuvent, en fait, être employés dans le cadre des huit missions essentielles décrites dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, au pays et à l'étranger. Le projet SATP appuie directement les initiatives 91 et 92, qui indiquent que le gouvernement « investira dans divers systèmes télépilotés » et « fera de la recherche et du développement pour les capacités terrestres, maritimes et aériennes télépilotées ». Le projet SATP Bien que le nom ait changé, l'objectif du projet SATP reste d'offrir une capacité de renseignement, de surveillance, d'acquisition d'objectifs et de reconnaissance persistante à long rayon d'action. Le projet fera partie d'un réseau de systèmes de systèmes et pourra fournir des renseignements en temps quasi réel aux commandants tactiques, opérationnels et stratégiques, en soutien aux opérations au pays et aux opérations de déploiement. Au besoin, il pourra aussi fournir une capacité de frappe de précision en soutien aux opérations. Le projet vient compléter les capacités existantes des FAC, comme l'aéronef de patrouille à long rayon d'action CP-140 Aurora. Le projet SATP ne vise pas à remplacer des véhicules. Phases du projet Le projet SATP en est actuellement au stade de l'analyse des options : L'analyse des options permet à la haute direction du ministère de prendre une décision éclairée quant à la meilleure façon de mettre en œuvre un projet afin de tenter d'atteindre la capacité indiquée d'une façon acceptable aux yeux du gouvernement. Au cours de cette phase, les options sont formulées, les coûts et les avantages sont évalués et une analyse de rentabilité est développée pour chacune des options. La phase de définition d'un projet marque la transition entre la détermination de ce qui devrait être fait pour combler une insuffisance de capacité et la détermination de la façon dont l'option privilégiée sera mise en œuvre. C'est au cours de cette phase que le projet est planifié. Les activités incluent notamment : l'exécution d'un examen détaillé des exigences du projet et d'une évaluation des risques, l'établissement des coûts et la planification de la phase de mise en œuvre et le choix de la stratégie d'approvisionnement privilégiée. Les projets qui se trouvent en phase de mise en œuvre ont reçu les approbations nécessaires pour la conclusion de contrats et l'engagement des fonds et des ressources nécessaires pour que le projet soit mené à terme. La capacité opérationnelle initiale, le moment où la capacité d'emploi de la ressource est d'abord atteinte, est prévue pour l'année financière 2025-2026, selon la directive présentée dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement. Coûts du projet Les coûts sont évalués dans le cadre de la phase d'analyse des options et se préciseront au cours de la phase de définition. Le coût estimatif dépendra de la stratégie d'approvisionnement approuvée, de l'infrastructure et du type de véhicule choisi. Les coûts comprendront les capteurs, les éléments au sol et l'infrastructure connexes. Nombre d'appareils Aucune décision n'a été prise relativement au nombre d'appareils. Le nombre de SATP sera suffisant pour répondre simultanément à trois lignes de missions et pourrait être touché par la stratégie d'approvisionnement, l'infrastructure, et les véhicules précis choisis. Retombées économiques La politique relative aux retombées industrielles et technologiques, proposition de valeur comprise, s'appliquera à la présente activité d'approvisionnement, et exige que l'entrepreneur principal du projet investisse 100 % de la valeur du contrat dans l'économie canadienne. La proposition de valeur est l'engagement économique que le soumissionnaire prend initialement envers le Canada au moment de la soumission, et est un facteur noté et pondéré lors du choix de l'adjudicataire. Elle devient un engagement contractuel pour l'adjudicataire. Les exigences de la proposition de valeur sont adaptées à chaque approvisionnement afin de permettre au gouvernement de canaliser les investissements et de profiter des occasions économiques uniques offertes par chaque projet. Utilisations des SATP Au pays, les SATP renforceront la capacité de surveillance des approches maritimes et nordiques du Canada et appuieront les opérations de recherche et de sauvetage. Les SATP permettront aux FAC d'aider d'autres ministères gouvernementaux en offrant du soutien à la sécurité lors d'événements spéciaux, comme les sommets internationaux, en apportant de l'aide aux autorités civiles, comme lors des incendies de forêt ou d'inondations, ainsi qu'en offrant du soutien aux opérations des autorités policières. À l'étranger, les SATP pourront détecter, reconnaître, identifier et poursuivre des cibles d'intérêt dans des milieux complexes et s'intégrer aux systèmes nécessaires pour traiter et fusionner les informations recueillies en renseignement donnant un droit d'action. Capacité de frappe de précision des SATP La politique de défense Protection, Sécurité, Engagement indique que les SATP auront une capacité de frappe de précision – ils pourront être armés. La capacité de cibler et d'exécuter des frappes de précision assure que si une menace est détectée, elle pourra aussi être neutralisée à ce moment. Comme lors de l'utilisation de tout autre système d'armes, les aéronefs télépilotés seront utilisés par les FAC conformément aux lois nationales et internationales. Les opérations seront exécutées dans le strict respect des contrôles, procédures et règles d'engagement qui régissent l'utilisation de la force ou de toute autre arme. Tous ces systèmes seraient télépilotés par des militaires des FAC participant directement au processus de prise de décision de l'exécution d'une frappe. Cependant, les SATP ne seront armés que si cela est nécessaire pour la t'che attribuée. Milieux opérationnels Le SATP pourra être utilisé partout dans le monde, dans toutes les conditions météorologiques, à tout moment de la journée, et aura le rayon d'action et l'autonomie pour atteindre tout endroit dans l'espace aérien du Canada à partir de tout emplacement d'opérations adéquat. Le système devra aussi pouvoir fonctionner dans des milieux de faible à moyen risque, dans des contextes de collaboration avec d'autres ministères gouvernementaux et dans le cadre d'une coalition avec nos alliés. L'ARC assure la souveraineté du Canada au moyen de sa capacité de répondre rapidement à toute menace. L'investissement dans le projet SATP, comme il est indiqué dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, permet d'augmenter la capacité de l'ARC de continuer à fournir une puissance aérienne de façon agile et intégrée tout en disposant de la portée nécessaire pour répondre à toute demande formulée par le gouvernement du Canada. Tout fournisseur intéressé devrait adresser toute question liée à ce projet au Responsable de l'approvisionnement de Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC). Article: http://www.rcaf-arc.forces.gc.ca/fr/nouvelles-modele-standard.page?doc=mise-a-jour-et-nouveau-nom-du-projet-de-systeme-interarmees-de-surveillance-et-d-acquisition-d-objectifs-au-moyen-de-vehicules-aeriens-sans-pilote/j9u7rzyf

  • U.S. Navy, Coast Guard, Royal Canadian Navy Conduct Tri-Party Staff Talks

    25 juillet 2019 | Local, Naval

    U.S. Navy, Coast Guard, Royal Canadian Navy Conduct Tri-Party Staff Talks

    HALIFAX, Nova Scotia (NNS) -- Members of Commander, U.S. 2nd Fleet staff and the U.S Coast Guard Atlantic Area Command joined Canadian Armed Forces' Joint Task Force Atlantic for the 2019 Tri-Party Staff Talks at Canadian Armed Forces Base Halifax, Nova Scotia, July 18-20. This year's staff talks culminated with Commander, U.S. 2nd Fleet (C2F) taking the lead role for the staff talks, as well as Frontier Sentinal, the yearly exercise conducted by the U.S. Navy, U.S. Coast Guard, and Royal Canadian Navy. The tri-party rotates acting as the lead for the exercise every two years. Until the reestablishment of C2F in 2018, U.S. Fleet Forces command represented the U.S. Navy in the cohort. The talks evaluated the joint organizations' ability to conduct inter-organizational communications at the operational and tactical levels, achieve and maintain shared maritime domain awareness, and conduct collaborative operational planning. All groups will be required to identify any problems, considerations, constraints, and restraints they are likely to encounter within this scenario. Honing these skills is increasingly important as U.S. 2nd Fleet steps into the role previously occupied by U.S. Fleet Forces Command. “I consider our tri-party relationship to be foundational to 2nd Fleets ability to effectively operate,” said Vice Adm. Andrew Lewis, commander U.S. 2nd Fleet. “We need to be seamless in scenario in order to effectively work together in real world operations. We must transcend interoperability to complete integration between our organizations.” Frontier Sentinel is an annual exercise between all three organizations that serves as the cornerstone for validating the interoperability of the tri-party commands and tactical assets, highlighting challenges to interoperability and identifying solutions. https://www.navy.mil/submit/display.asp?story_id=110346&utm_source=phplist3026&utm_medium=email&utm_content=HTML&utm_campaign=Headlines

  • LE MARCHÉ MILITAIRE À LA PORTÉE DES PME RÉGIONALES

    23 janvier 2020 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    LE MARCHÉ MILITAIRE À LA PORTÉE DES PME RÉGIONALES

    SAGUENAY – La plupart des PME croient que le marché de la défense et des équipements militaires est complexe et inaccessible. En réalité, ce n'est pas le cas. C'est ce qu'ont expliqué Rock Lemay et Patrick Sirois de la firme Triodeaux quelque 40 entrepreneurs de la région lors d'un déjeuner-conférence organisé par la Société de la Vallée de l'Aluminium(SVA), ce matin, au Manoir du Saguenay. « Il est important pour les PME de comprendre que les contrats ne concernent pas les armements et les avions, par exemple. Il y a plein de petites et grandes entreprises qui ont découvert le marché militaire. Ce marché de la défense et des équipements militaires qui avait été délaissé pendant plusieurs années au Canada, connaît une recrudescence dans les investissements afin de renouveler les équipements nécessaires aux soldats. Il ne s'agit pas seulement des produits de haute technologie, mais également de produits et de l'équipement communs tels que les bateaux, les camions, les plateformes, les uniformes et bien d'autres. Par exemple, l'entreprise d'autobus Prévost a une division militaire. L'armée a acheté 1 500 camions en France et Prévost doit les habiller avec des équipements adaptés. C'est là que les sous-traitants rentrent en ligne de compte et peut fournir des équipements comme des coffres, échelle, pièces de métal, plateforme, etc. », explique Patrick Sirois, président de Triode. Forte croissance Au cours des 10 prochaines années, les besoins du marché de la défense connaîtront une forte croissance. Les budgets pour le renouvellement des équipements sont déjà votés et alloués et les différents départements de l'armée s'affairent à déterminer leurs besoins avant d'aller en appel d'offres. « Autre facteur intéressant, Développement économique Canada (DEC) a mis en place au cours des dernières années une politique de retombées industrielles et technologiques qui favorisent les PME et les régions. En gros, cette politique assure que même si le contrat est octroyé à des entreprises étrangères, celles-ci n'auront d'autre choix que de travailler avec des fournisseurs ou des partenaires locaux pour faire de la recherche ou de l'assemblage de produits. » En fait, les prochaines années promettent d'être très intéressantes dans ce marché. Nul besoin d'être impliqué dans des projets d'armement. « Il y a beaucoup d'équipements pour lesquels la défense canadienne cherchera des fournisseurs, tels que des remorques, des ponts, des ponceaux, des équipements logistiques, des conteneurs ainsi que l'ensemble de l'équipement nécessaire à installer et soutenir des campements temporaires. Tous ces projets représentent de belles opportunités pour les entreprises de la région », affirment M. Sirois et son collègue Rock Lemay en précisant que le marché de la défense et des équipements militaires est de plus en plus accessible pour les PME qui savent se préparer et qui ont un minimum de processus déployés dans leur organisation. Enfin, soulignons que ce déjeuner-conférence servait à démystifier le processus et de permettre aux PME qui le désirent d'êtres accompagnées tout au long de la démarche par la SVA et son créneau d'excellence. (Texte en collaboration avec Guy Bouchard) https://informeaffaires.com/regional/manufacturier-et-fournisseur/le-marche-militaire-a-la-portee-des-pme-regionales

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