20 avril 2021 | International, Aérospatial

Lockheed Martin Demos S-97 Raider Helicopter for U.S. Army

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    LUXEMBOURG (Reuters) - Neuf pays européens dont l'Allemagne, la Belgique et le Royaume-Uni ont signé lundi la lettre d'intention de l'initiative européenne d'intervention (IEI) prônée par Paris pour porter une approche novatrice de la défense hors des dispositifs de l'UE. Par l'IEI, la France ambitionne de doter les Européens d'une capacité d'action et de prévention autonome de l'UE, pour des conflits mais aussi des crises humanitaires ou environnementales, en mutualisant la planification militaire, le soutien aux opérations, l'anticipation et le renseignement. “Face aux doutes éventuels, il faut affirmer ses convictions”, a déclaré la ministre des Armées Florence Parly à l'issue de la signature. “Les Européens doivent être forts, les Européens doivent être capables, de plus en plus, d'assurer leur protection et leur souveraineté et donc cette initiative est en faveur de la souveraineté européenne”, a-t-elle ajouté. L'Allemagne, la Belgique, le Danemark, les Pays-Bas, l'Estonie, la France, le Portugal, l'Espagne et le Royaume-Uni ont signé lundi à Luxembourg le premier acte de l'initiative. La ministre des Armées, qui a porté le projet qu'Emmanuel Macron avait appelé de ses voeux en septembre lors d'un discours à la Sorbonne, a estimé qu'il répondait en outre aux appels américains pour une Europe qui assume plus sa sécurité. “Cette étape va permettre de commencer très vite des travaux communs qui impliqueront les états-majors des différentes forces armées”, a-t-elle précisé dans un entretien au Figaro. “Une première rencontre aura lieu mi-septembre à Paris pour mettre en place un programme de travail concernant l'anticipation, la planification et l'organisation d'exercice”, poursuit-elle, évoquant l'étude de scénarios concrets, “par exemple pour préparer l'exfiltration de ressortissants”. Absente de la liste des signataires, l'Italie “réfléchit à la possibilité de rejoindre cette initiative, mais n'a pas pris de décision définitive”, a précisé Florence Parly. Dans un communiqué, elle ajoute que “d'autres pays européens, capables, volontaires et partageant les objectifs de l'IEI, pourront rejoindre l'Initiative européenne d'intervention”. MOBILISATION PLUS RAPIDE L'accord à neuf a ménagé des concessions à l'Allemagne sur le maintien d'un lien fort entre l'IEI et la Coopération structurée permanente (Pesco ou CSP), le pacte de défense entériné en décembre dernier par 25 pays de l'Union européenne (excluant un Royaume-Uni sur le départ). “L'Allemagne ne souhaitait pas que l'Initiative européenne d'intervention soit détachée de la CSP. C'est parce que nous maintiendrons entre les deux mécanismes un lien fort qu'elle a décidé d'adhérer”, a précisé Florence Parly. En dépit d'inquiétudes quant à l'accumulation de dispositifs, le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a salué la décision, jugeant que l'initiative faciliterait la modernisation des armées européennes et leur rapidité de mobilisation. “Je pense que cela peut renforcer la disponibilité des forces, car nous avons besoin d'une disponibilité élevée”, a-t-il déclaré à la presse en marge de la réunion des ministres de la Défense et des Affaires étrangères de l'Union européenne. Paris, qui entend stimuler des réponses européennes plus promptes face aux crises, se place au centre d'une réorganisation des structures européennes de défense post-Brexit, en incluant la puissance militaire britannique au sein de cette nouvelle initiative. Le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Mass, a paru lundi partager l'impatience française et a dit souhaiter que la politique étrangère européenne soit décidée par un vote à la majorité à l'avenir, et non par une décision à l'unanimité. Londres entend conclure un traité avec l'Union européenne en matière de sécurité d'ici 2019, en vue notamment de garder après le Brexit accès aux bases de données, contrats d'armement et au partage d'informations au sein de l'Union, un projet soutenu par plusieurs Etats membres mais dont d'autres ne veulent pas. “Notre engagement dans la sécurité de ce continent est sans conditions”, a déclaré lundi un diplomate britannique, qui déplore la vision idéologique de certains pays pour lesquels le départ du Royaume-Uni de l'Union doit être total. https://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN1JL1S2-OFRTP

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    By JACK CORRIGAN The Defense Department is considering investing in virtual reality platforms to prepare troops to face nuclear threats. The Defense Threat Reduction Agency on Tuesday began seeking information on virtual reality training systems that would allow troops to rehearse different scenarios involving “radiological threats.” The agency, which focuses on countering weapons of mass destruction, could one day use the tech to train troops to intercept radiological weapons on the battlefield, respond to radioactive contamination and even prepare for full-fledged nuclear war, officials wrote in the solicitation. While virtual and augmented platforms wouldn't entirely replace the agency's current training regimen, they would expose troops to more training exercises than they could ever experience in the real world. Physical training is expensive and time-consuming, but through virtual reality, troops could run through more exercises more frequently and at a lower cost. Under the solicitation, officials are looking for industry to outline their own virtual reality platforms, the hardware required to use them and how environments can be modified to accommodate new exercises. Officials plan to use the information collected under the solicitation to inform potential future acquisitions. Responses are due Aug. 12. This wouldn't be the first time the Pentagon turned to virtual platforms to train troops for real-world scenarios. Last year, Microsoft won a $480 million contract with the Army to adapt its HoloLens augmented reality headsets for use in military training and combat operations. The headsets would be outfitted with artificial intelligence and machine-learning capabilities, and provide troops with “increased lethality, mobility, and situational awareness.” In February, Microsoft employees wrote a letter to executives demanding the company pull out of the contract, saying they “refuse to create technology for warfare and oppression.” The company opted to stand by its partnership with the Pentagon. https://www.nextgov.com/emerging-tech/2019/07/pentagon-looks-virtual-reality-prepare-troops-nuclear-war/158227/

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