20 février 2018 | Local, Aérospatial

Names of aircraft manufacturers on “suppliers list” for Canada’s new fighter jet still a mystery

DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN
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Published on: February 16, 2018 | Last Updated: February 16, 2018 1:40 AM EST

Feb. 9 was the deadline for companies to apply to the Canadian government to be on the supplier's list for the new program to provide a fleet of fighter jets.

Being on that list is a requirement to be able to enter the competition to provide Canada with 88 new fighter aircraft.

Public Services and Procurement Canada was looking at having the list formalized by Feb. 12, at which time they would make it public. The reason for the fast turnaround is because it is relatively easy to be included on the list – essentially a manufacturer has to have a fighter jet currently in production.

But the list has yet to be formalized. Procurement Canada said they are still working on the list but offered no explanation about the delay.

But expect the major aircraft manufacturers who have indicated previous interest in the competition. They are:

Lockheed Martin with the F-35, Eurofighter Typhoon, the Dassault Rafale, and Saab's Gripen.

Sources are also indicating that Boeing will join the competition with Super Hornet....perhaps an Advanced Super Hornet?

http://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/names-of-aircraft-manufacturers-on-suppliers-list-for-canadas-new-fighter-jet-still-a-mystery

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    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE Le rêve d'un exosquelette qui aidera les soldats à transporter leurs lourdes charges sans se blesser approche et c'est une firme de Saint-Jean-sur-Richelieu Mawashi, qui est en pôle position d'un marché évalué à «des milliards et des milliards de dollars». Le tiers des soldats évacués en Afghanistan ou en Irak n'avaient pas subi de «blessures de guerre», avance Alain Bujold, chef de la direction et chef de la direction technologique de Mawashi. Ils avaient plutôt subi les dommages, notamment au dos, du trop grand poids placé sur leurs épaules. «Ça coûte 500 millions de dollars par année à l'armée américaine pour s'occuper des soldats blessés parce qu'ils transportaient trop de poids», ajoute-t-il. Spécialiste de la recherche et de l'ingénierie pour «tout ce qui se met sur le corps humain» depuis des années, Mawashi s'est intéressée de plus près aux exosquelettes en 2013. Elle avait alors été invitée à participer à un projet de l'armée américaine, le projet Talos, qui consistait à créer une sorte d'armure à la Iron Man. «Ils ont donné de l'argent à un paquet de compagnies, et on les a toutes clenchées», raconte fière M. Bujold. Alléger la charge L'exosquelette Uprise mis au point par Mawashi peut retirer jusqu'à 70% du poids transporté par un soldat de sa propre ossature. La structure épouse les formes du corps, mais n'est pas motorisée, ce qui est un avantage important selon M. Bujold, puisque les soldats peuvent ainsi être affectés à de très longues missions sans crainte d'épuiser leurs piles. Et sans avoir à transporter lesdites piles. Une plaque posée sous le pied du soldat, dans sa chaussure, sert de fondation à l'ensemble. Cette plaque s'arrête avant les orteils, de façon à permettre au soldat de bien ressentir le sol sous ses pieds. Des tiges métalliques articulées longent ensuite les jambes du soldat pour rejoindre une ceinture rigide. De là s'élève une «colonne vertébrale», de laquelle émergent des appendices qui permettent notamment de suspendre un sac à dos ou un plastron sans que le poids ne se dépose sur le squelette du soldat. En situation de combat, un soldat est chargé d'en moyenne une centaine de livres d'équipement protecteur, de munitions, d'armes et d'équipements de communication, entre autres, estime M. Bujold. «De plus en plus, les combats se déroulent dans des zones urbaines, ce qui fait qu'on ne peut utiliser de véhicules pour transporter l'équipement, ajoute-t-il. Et il y a de plus en plus de matériel pour les communications.» «Le but n'est pas de permettre de transporter plus de poids, prévient-il toutefois. C'est de réduire les blessures et d'aider à porter ce poids.» En avance En mars dernier, Mawashi a été invitée par l'OTAN à venir démontrer les bénéfices que pouvait procurer Uprise à des spécialistes du déminage, qui doivent revêtir une combinaison protectrice pesant à elle seule une centaine de livres. L'entreprise se concentre présentement à démontrer de façon claire les avantages de son produit. Elle a reçu un financement de trois ans de l'armée canadienne pour parvenir à cette fin. «Le dernier obstacle est de prouver qu'il y a vraiment un bénéfice, indique M. Bujold. Les tests préliminaires le démontrent.» Sur l'échelle de maturité technologique (Technology Readiness Level), qui va de 1 à 9, l'Uprise est au niveau 7. Aucune solution comparable ne le devance, selon M. Bujold, et l'Uprise est en position pour être le premier exosquelette déployé sur le terrain. «Le premier qui va arriver avec une technologie qui fonctionne, c'est le prochain Apple, croit l'entrepreneur. On ne parle pas de millions, mais de milliards.» C'est qu'au-delà des militaires, il y a une panoplie d'autres secteurs qui pourraient être intéressés à un exosquelette de ce genre, envisage-t-il, à commencer par l'important marché du plein air. Les pompiers, les travailleurs de la construction et les employés de chaînes d'assemblage pourraient eux aussi en bénéficier. L'Uprise pourrait coûter de 3000$ à 20 000$, estime-t-il, selon la configuration choisie. Jusqu'à présent, ce sont surtout des contrats de l'armée américaine qui ont permis à Mawashi d'avancer. «C'est tout récent que de recevoir du financement canadien», dit M. Bujold, qui est actionnaire à 50% de l'entreprise. L'autre moitié est détenue par Louis Bibeau, président de Logistik Unicorp, dans l'édifice de laquelle sont installés les bureaux de Mawashi. «Il y a 99% des chances qu'on finisse par être achetés par une compagnie américaine, estime M. Bujold. C'est triste.» «Il y a ici une mentalité de lenteur, de bureaucratie, alors qu'aux États-Unis, c'est pif, paf, maintenant.» Le volet militaire de son entreprise n'aide pas à approcher des investisseurs québécois ou canadiens, ajoute-t-il, même si son produit « sauve des vies ». Cette tiédeur n'existe pas aux États-Unis. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/quebec/201810/18/01-5200809-une-innovation-quebecoise-a-lassaut-de-larmee-americaine.php

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