8 juin 2021 | International, Terrestre

MBDA renforce ses capacités de reconditionnement de missiles à Bourges

Le missilier MBDA investit près de 20 millions d'euros dans ses usines du centre de la France, et vient d'entamer la construction d'un nouveau b'timent sur son site principal de Bourges Aéroport (Cher) afin d'augmenter ses capacités de reconditionnement. Ce b'timent de 7 000 m² regroupera des services logistiques, une activité de reconditionnement, ainsi que des services MRO et MCO. « Sur toute l'année 2021, 120 recrutements sont prévus pour faire face à une activité très soutenue », indique Eric Béranger, CEO de MBDA, cité par L'Usine Nouvelle.

L'Usine Nouvelle du 8 juin

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    DÉFENSE L'industrie d'armement allemand redore son blason mais craint un rationnement sur le gaz Mardi 26 avril, la ministre de la Défense, Christine Lambrecht, a surpris ses homologues de l'OTAN réunis sur la base américaine de Ramstein, en Allemagne, en acceptant d'acheminer en Ukraine des chars Guepard, un matériel fabriqué par le constructeur Krauss-Maffei Wegmann (KMW). Par ailleurs, Olaf Scholz souhaite sanctuariser son plan de 100 Md€ sur 5 ans, en l'inscrivant dans la Loi fondamentale allemande, une proposition qui fait débat outre-Rhin. Parias de l'industrie, mal-aimées aussi bien dans la population que dans le monde politique, les entreprises d'armement allemandes, entièrement privées, sont revenues sur le devant de la scène depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine. Dès le lendemain du discours d'Olaf Scholz, le patron du groupe KMW, Armin Papperger, avait surpris le secteur en proposant une liste d'équipements que son groupe pouvait livrer à la Bundeswehr ces prochaines années, pour un montant total de 42 Md€. Le tournant allemand en matière de Défense va-t-il permettre d'accélérer la formation d'une véritable industrie de défense européenne intégrée, dans laquelle les groupes allemands joueraient un rôle important ? Rien de moins sûr pour Christian Mölling, expert défense et sécurité à l'institut allemand de politique extérieure (DGAP) : « Le gros problème, c'est que l'Allemagne n'a pas encore effectué le basculement mental nécessaire au vu des circonstances ». Les projets de système d'armement commun dans l'air (FCAS) et sur terre (MGCS), en discussion depuis dix ans, ont peu avancé. La question est de savoir si ce dossier est susceptible d'effectuer une avancée décisive avec un couple franco-allemand Macron-Scholz, renforcé par les élections françaises. Autre préoccupation majeure de l'industrie lourde allemande : la crainte d'un rationnement sur le gaz en provenance de Russie. Des sociétés comme BASF, dans le secteur des hydrocarbures, verrait 40% de sa production se paralyser en cas d'arrêt brutal des livraisons ; le groupe sidérurgique ThyssenKrupp a, lui, annoncé la mise au chômage partiel de 1 300 salariés récemment. L'industrie allemande représente environ 37% de la consommation de gaz du pays, très dépendante des approvisionnements russes. Le Monde et les Echos du 29 avril

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    By: Valerie Insinna WASHINGTON — Boeing, Northrop Grumman, General Atomics and Kratos will move forward in the Air Force program to build an AI-enabled drone wingman known as Skyborg. Each company Thursday was awarded an indefinite-delivery/indefinite-quantity contract worth up to $400 million, but no seed money was immediately allocated as the firms will have to compete against each other for future orders. Through the Skyborg program, the Air Force wants to field a family of unmanned aerial systems that use artificial intelligence to adapt to battlefield conditions. The Skyborg drone should be cheap enough where the loss of aircraft in combat could be sustained, yet survivable enough so that it could move into a high-end fight and function as a wingman to manned fighter jets. “Because autonomous systems can support missions that are too strenuous or dangerous for manned crews, Skyborg can increase capability significantly and be a force multiplier for the Air Force,” said Brig. Gen. Dale White, who leads the Air Force's program office for fighters and advanced aircraft. “We have the opportunity to transform our warfighting capabilities and change the way we fight and the way we employ air power.” Air Force acquisition executive Will Roper has said that Skyborg could eventually become smart enough that, like R2-D2 in the Star Wars films, it can autonomously present information and conduct tasks to help decrease fighter pilot workload. The system learns from prior experiences how best to support human pilots. But in the near term, the Air Force wants to use the Skyborg program to integrate an autonomous air vehicle with open mission systems as a way to demonstrate that it can team with a manned fighter, the service said in a statement. “Autonomy technologies in Skyborg's portfolio will range from simple play-book algorithms to advanced team decision making and will include on-ramp opportunities for artificial intelligence technologies,” said Brig. Gen. Heather Pringle, the Air Force Research Laboratory commander. “This effort will provide a foundational government reference architecture for a family of layered, autonomous, and open-architecture UAS.” https://www.defensenews.com/unmanned/2020/07/23/four-companies-got-contracts-to-build-the-air-forces-skyborg-drone

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