13 décembre 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
Australia, South Korea sign $717m defence deal
Signing of historic defence contract took place during South Korean President Moon Jae-in’s visit to Canberra.
17 août 2018 | International, C4ISR
By COLIN CLARK
SUFFOLK, VA: Multi-domain command and control, one of the most important efforts the Pentagon is pursuing, is getting plumbed again by Lockheed Martin at its fourth wargame this week where the company will be testing four systems it believes can fuse data from sensors around the world and allow rapid communications to troops.
“Integrated teams” of air, space, and cyber experts representing the transparently named country of “Pacifica” will be planning missions and creating kinetic and non-kinetic effects. That's a major shift from the war game I attend a year ago, when separate groups of space, cyber and air tried to work together through a command and control unit.
As Breaking D readers may remember, it didn't work quite as planned. During the war game, the organizers separated the air, cyber and space teams, forcing them to communicate directly with the MDC2 leaders. While central coordination was necessary, so was close consultation between those managing both the conventional attacks and the silent strikes using cyber, electronic warfare and satellites as weapons. Hence the change.
Here'a a quick summary of the systems Lockheed will be putting through their paces.
Common Mission Software Baseline (CMSB): An open systems architecture, CMSB is a cluster of automated decision aids that link operational planning to tactical execution — in a multi-domain context. Most interestingly, it reaches all the way down to the tactical level and includes tactical decision aides and tools.
Cyber Attack Network Simulator (CANS): This is an internal Lockheed system that simulates cyber-attacks over a network. After all, you don't want Lockheed networks crashing when the teams launch a simulated attack.
Full article: https://breakingdefense.com/2018/08/lockheed-takes-another-shot-at-multi-domain-war
13 décembre 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
Signing of historic defence contract took place during South Korean President Moon Jae-in’s visit to Canberra.
1 octobre 2023 | International, Aérospatial
The cards were previously procured through “external contracts" that complicated acquisition, according to PEO IEW&S.
6 mai 2019 | International, Aérospatial
Par Bruno TREVIDIC La décision du gouvernement allemand de suspendre les exportations d'armes à l'Arabie saoudite a déjà coûté à Airbus plus de 190 millions d'euros. L'embargo allemand sur les ventes d'armes à l'Arabie saoudite a coûté très cher à Airbus et le groupe d'aéronautique et défense envisage désormais de présenter la facture à Berlin. Selon un article du « Spiegel » publié vendredi, Airbus envisagerait de porter plainte devant les tribunaux allemands, contre la décision du gouvernement fédéral. « Nous nous réservons la possibilité d'engager un recours », a confirmé un porte-parole du groupe. Un impact de 190 millions d'euros Lors de la présentation des résultats du premier trimestre , le 30 avril, les dirigeants d'Airbus avaient chiffré à 190 millions d'euros, l'impact financier de la suspension des licences d'exportation de matériel militaire à l'Arabie saoudite. Une somme à laquelle s'ajouterait une partie des 83 millions d'euros « liés à l'écart de comptabilisation des paiements avant livraisons et aux réévaluations bilancielles ». De quoi expliquer partiellement la forte baisse du résultat net d'Airbus au premier trimestre. Un contrat de 2,5 milliards d'euros Pour le groupe européen, la potion est d'autant plus amère que le principal contrat avec l'Arabie saoudite visé par cet embargo allemand ne porte pas véritablement sur des ventes d'armes. Il s'agit d'un contrat signé dès 2009 pour un système complet de sécurisation des 9.000 km de frontières du royaume, associant tous les moyens de détection et de surveillance, d'une valeur totale d'environ 2,5 milliards d'euros, et qui devait être partiellement fabriqué sur le site Airbus de Donauwörth, près de Munich. D'où l'envie d'aller en contester la légalité devant les tribunaux allemands. Exportations impopulaires Toutefois d'autres programmes militaires auxquels le groupe Airbus participe sont également concernés par le gel des exportations d'armes à Ryad, parmi lesquelles les avions de combat Eurofighter Typhoon, l'avion de ravitaillement en vol A330 MRTT, des hélicoptères, des missiles MBDA... A tel point que plusieurs des partenaires européens de l'Allemagne, au premier rang desquels la France , se sont émus de cette situation. Sans effet jusqu'à présent sur le gouvernement d'Angela Merkel, qui sait l'impopularité des ventes d'armes au sein de son opinion publique. La décision de Berlin de stopper les ventes d'armes à l'Arabie saoudite avait été annoncée en octobre dernier, suite à l'émotion suscitée par l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi au consulat d'Arabie saoudite à Istanbul. A l'époque, Berlin avait toutefois évoqué une mesure provisoire. Mais depuis, ce moratoire a déjà été prolongé à trois reprises, rendant de plus en plus improbable la réalisation des contrats. Bruno Trévidic https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/vente-darmes-airbus-envisage-de-porter-plainte-contre-berlin-1016128