2 septembre 2020 | Local, Aérospatial

La saga du F-35 dernière partie

Dans ce quatrième épisode sur la saga du F-35, Gregory et Olivier font une revue des pays qui l'ont acheté. Ils dressent ensuite la liste des contrats potentiels à venir. Par la suite, nos deux iconoclastes continuent de déboulonner certains mythes avec la revue détaillée des systèmes du F-35. Je vous invite donc à regarder ce quatrième épisode afin que vous puissiez mieux l'apprécier.

S'il existe beaucoup de textes et de podcasts sur le F-35, ils sont presque tous en anglais. La série de quatre épisodes de Gregory et Olivier est une rareté en français. Pour ne pas manquer cet épisode, abonnez-vous à notre chaîne Youtube. Vous pouvez également télécharger les podcast en cliquant ici.

Les Ailes du Québec se joint à Mentoraero pour produire des podcast sur l'actualité aéronautique.

Pour cet épisode hors-série, Gregory Blanc de Mentoraero ainsi qu'olivier Lacombe « le pilote laconique » sont les commentateurs.

La formule de l'Aéropod se rapproche de celle du blogue alors que nous discutons de sujets d'intérêt. Si vous avez des commentaires ou des corrections à apporter, nous vous invitons à le faire. Éventuellement, il sera possible d'enregistrer vos commentaires pour les faire entendre sur l'Aeropod.

https://www.lesailesduquebec.com/la-saga-du-f-35-derniere-partie/

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  • Du plomb dans l’aile ou plutôt de la rouille sur les ailes et le moral dans les talons…

    13 février 2019 | Local, Aérospatial

    Du plomb dans l’aile ou plutôt de la rouille sur les ailes et le moral dans les talons…

    par Dave Blackburn La décision du gouvernement de Justin Trudeau de procéder à l'achat de 25 avions de combat F-18 à l'Australie est fortement discutable sur de multiples facettes. Dans quelques semaines, le Canada commencera à prendre possession de ces « nouveaux » appareils. Personnellement, je suis d'avis que notre nation est une fois de plus la risée mondiale. Quel autre pays du G7 irait dépenser 500 millions de dollars pour faire l'achat de 25 avions de combat qui ont plus de 30 ans de service ? Pourront-ils (au moins) voler de Mirabel à Cold Lake ? Le comble du comble, Radio-Canada nous apprenait que le gouvernement Trudeau considère sérieusement de rapporter au Canada ces vieux appareils à l'aide... d'un avion-cargo de type Antonov. C'est quoi le problème ? Les F-18 australiens ne sont pas en mesure de parcourir la distance entre Canberra en Australie et Mirabel au Canada ? Si cela est le cas, c'est rassurant, car ce sont ces mêmes appareils qui assureront la défense aérienne de notre pays. Pourront-ils voler de Mirabel à Cold Lake ? Si le Canada décide de rapporter les 23 avions par avion-cargo (2 avions sont déjà aux États-Unis), une fortune sera dépensée en transport, car les frais de fonctionnement d'un Antonov sont très élevés. Ils n'ont pas pensé à les transporter par bateau ? Pourquoi ne pas acheter un porte-avion usagé ? Avec nos sous-marins et nos « nouveaux » F-18, un porte-avion usagé ferait aussi l'affaire ! Vous savez quoi, ça me donne l'impression que tout est improvisé ! Technologie désuète Fondamentalement, avons-nous besoin de F-18 dont la technologie est désuète et qui selon toute vraisemblance ne feraient aucunement le poids contre des avions de chasse de 5e génération ? Dans le contexte des guerres modernes et urbaines, quelle est la valeur ajoutée, l'utilité, de procéder à l'achat de ces appareils ? Les gouvernements libéraux ont une f'cheuse habitude d'acheter du matériel militaire usagé. Personne (et surtout pas les contribuables) n'a oublié la désastreuse transaction du gouvernement de Jean Chrétien avec la Grande Bretagne dans les années 1990 pour l'achat de 4 sous-marins, au diesel, technologie qui était déjà dépassée depuis longtemps au moment de l'achat. Ces sous-marins ont coûté jusqu'à présent plus de 3 milliards de dollars et ont passé 91% du temps en cale sèche ou à quai. Mais au-delà de tous ces éléments de discussion, ma réflexion porte sur les répercussions sur le moral des troupes lorsque notre gouvernement fait l'achat d'équipement qui est bon pour la ferraille, pour le musée ou pour être installé en avant d'une filiale de la Légion royale canadienne. Et le moral des troupes ? Si je prends le temps de me mettre dans la tenue de vol d'un pilote de l'Aviation royale canadienne, j'aurais sans doute le moral dans les talons. Je me questionnerais sérieusement. J'aurais sans doute des craintes pour ma propre vie si jamais je devais être impliqué dans un combat aérien. Je me demanderais si notre gouvernement est véritablement sérieux dans sa stratégie de défense. En fait, je serais assez confus et déprimé. De mon point de vue, l'achat d'équipement militaire usagé ne peut qu'avoir un impact négatif sur le moral des troupes et un impact sur l'attrition du personnel. Par de fait même, cela doit aussi affecter le recrutement des personnes qui auraient un intérêt pour la carrière de pilote de chasse. J'ai tenté de rejoindre deux pilotes de chasse que je connais, mais je n'ai pas eu de retour. De toute manière, je doute fortement qu'ils aient commenté cet achat, ils sont trop professionnels. Nous avons l'une des meilleures forces militaires au monde sur le plan des ressources humaines. Une force qui est professionnelle, très bien entraînée et qui a démontré à maintes reprises son excellence lors de conflits ou d'opérations locales ou de maintien de la paix. Toutefois, pour demeurer parmi les meilleurs, nos soldats, marins et aviateurs doivent pouvoir bénéficier d'un équipement militaire à la fine pointe de la technologie. C'est aussi simple que ça ! Il est impossible de séparer le soldat de l'équipement militaire pour obtenir de bons résultats. Une fausse bonne affaire Bien évidemment, l'équipement militaire moderne est extrêmement cher et comme pays, nous avons des moyens financiers limités en matière de défense (budget de +/- 25 milliards en 2017). Comme nation, nous devons faire des choix en matière d'investissements dans les différentes sphères de la société. Conséquemment, avant d'acheter n'importe quoi dont des sous-marins au diesel qui devraient être stationnés à Pointe-au-Père en Gaspésie ou des F-18, il faudrait possiblement avoir une réflexion de fond sur nos intentions en matière de défense, sur nos alliances et sur notre capacité financière. Entretemps, le gouvernement de Justin Trudeau pourra continuer de penser qu'il a fait une bonne affaire et se réjouir d'avoir obtenu 7 avions F-18 sur les 25 qui seront utilisés par leurs pièces. À une échelle moins considérable il va sans dire, c'est comme le gars, très fier de son coup, qui s'achète deux Bombardiers ski doo Tundra 250cc 1988 dont l'un sera utilisé pour les pièces ! Il doit aller les chercher à Chibougamau et il habite en banlieue de Montréal. Il pense faire une bonne affaire ! Le Tundra à quand même 30 ans, il doit parcourir des centaines de kilomètres pour aller le chercher et son moral risque d'en prendre un coup lorsqu'il sera « stallé » dans les bois à des kilomètres de chez lui ! Une bonne affaire vous dites ! ? http://www.45enord.ca/2019/02/du-plomb-dans-laile-ou-plutot-de-la-rouille-sur-les-ailes-et-le-moral-dans-les-talons-f-18-australiens-canada/

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    16 septembre 2022 | Local, Aérospatial

    Bombardier Defense delivers high-performance Global aircraft to USAF Battlefield Airborne Communications Node program - Skies Mag

    Bombardier's Defense division, along with its U.S. subsidiary Learjet Inc., delivered a Global 6000 aircraft in special mission configuration to the U.S. Air Force Battlefield Airborne Communications Node program.

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    19 novembre 2019 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Military Procurement: What the New Cabinet Can Learn From Australia

    By Lee Harding The Liberal government announced its new cabinet on Nov. 20—the very same day the Canadian Global Affairs Institute hosted its annual event on the topic of military procurement. Given that an overhaul in that area is sorely needed, Canada can learn a lot from Australia, Ian Mack wrote in a recent report for the institute. Mack is uniquely qualified to make that assessment, having worked with both governments in their process of awarding contracts for military sea vessels. While he believes both countries had an acceptable result, his report, titled “Another Way to Buy Frigates,” suggests the Canadian approach adds work, balloons costs, and delays success. The re-elected Trudeau government should take note. The Liberals proposed significant changes to Canada's defence procurement system during the election campaign, but it will be a tall order to change this process. The land down under is isolated in a less secure part of the globe, without a nearby superpower like the United States to watch its back. So if Australia is far more diligent about defence than Canada, it might be due to necessity. The last time Canada had a proper and comprehensive white paper on defence was 1994. Australia has had three in the 21st century. Australia's effectiveness goes from the top down, something Canada knows nothing of. As Mack explains, “Canada, uniquely among its allies, has multiple government departments and central agencies significantly involved in the minutiae of its major military procurement projects.” These include Defence; Treasury Board; Finance; Public Services and Procurement; Justice; Innovation, Science and Economic Development—and even more. Meanwhile in Australia, the minister of defence is responsible for all aspects of navy shipbuilding. This includes setting operational and technical requirements, securing funds, developing a plan to benefit domestic industries, and satisfying the legal aspects of procurement. Each country had a project management office of roughly the same size, but Canada's was, frankly, less competent. Australia's office had many knowledgeable contractors working alongside the Department of Defence, whereas Canada's team had many from the public service and armed forces with “little or no applicable experience or knowledge,” according to Mack. “In Canada, significant effort was expended on regular reporting to layers of senior governance,” he says in the report. But it was paperwork and process for its own sake, and impractical in its effect. “Despite the onerous reporting demands, only a few key decisions were rendered and rarely in a timely manner. The opposite was the case in Australia.” In seemingly every aspect of development, Canada made things rigid, complicated, and fragmented, while Australia made them flexible, cohesive, and collaborative. Canada made stand-alone contracts for each sequence of the process. Australia worked with contractors to establish “end-to-end accountability.” Canada's initial request for proposal included hundreds of technical requirements that bidders had to prove. Australia had few mandatory requirements, but worked alongside bidders to explore their respective proposed solutions. In Canada, the intellectual property, liabilities, and insurance requirements were debated at length and only decided hours before the request for proposal was made. Hundreds of criteria got a numerical score, and the sum of all scores won the bid. Canada was “preoccupied” about a public appearance of fairness and avoiding lawsuits. (Nevertheless, the controversy over former Vice-Admiral Mark Norman and complaints from Irving Shipbuilding over the bid for a navy supply vessel shows it failed at this.) Shipbuilders bidding in Australia were confident of a fair system without any of those things. The department did not announce its evaluation criteria, nor was the evaluation report the only factor. Instead, the department stated its objectives and worked collaboratively with three potential bidders in their respective approaches. In Mack's words, this left “the competition to be more about assessing apples, oranges, and bananas” than about tallying up numerical scores. Mack says he could not make the Canadian system work like Australia's because the procurement, request for proposals, and resulting contracts were done outside of the Department of National Defence. At the time, he was “simply unaware of the intricacies of the Australian approach” because he hadn't yet been exposed to it. Regardless, he had already surmised that Canadian bureaucrats “did not want changes to their tried and true ways of doing business” and clung to “adherence to prescriptive and traditional methodologies.” https://www.theepochtimes.com/military-procurement-what-the-new-cabinet-can-learn-from-australia_3150065.html

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