24 février 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
Contracts for February 23, 2021
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26 mars 2019 | International, Aérospatial
Qualifiant les mesures de l'UE de «protectionnistes», le Premier ministre malaisien a promis que, si l'UE poursuivait sa mobilisation contre l'huile de palme, son pays renoncerait également aux produits européens, notamment en acquérant plutôt des chasseurs chinois.
La Malaisie a annoncé son intention d'acheter des chasseurs à la Chine, si l'Union européenne continuait sa campagne contre le biocarburant à base d'huile de palme, rapporte la version numérique du journal New Straits Times, citant le Premier ministre du pays.
«Nous pouvons adopter des mesures réciproques, s'ils ne veulent pas acheter notre huile de palme. Dans ce cas, nous n'avons non plus besoin de leurs produits. Je viens de rentrer du Pakistan où, lors d'un défilé, il y avait des chasseurs fabriqués par la Chine. Si nous avons besoin d'un chasseur, nous examinerons l'acquisition de ceux fabriqués en Chine», a déclaré le chef du gouvernement malaisien, Mahathir Mohamad, lors d'une rencontre à laquelle étaient présents des fabricants d'huile de palme.
Pour rappel, il avait été plus tôt annoncé que la Malaisie examinait la possibilité de se procurer des chasseurs polyvalents français Rafale ou des Eurofighter Typhoon, produits par le consortium européen Eurofighter GmbH.
Mahathir Mohamad considère que l'UE agit d'une manière «injuste» lorsqu'elle propose de prohiber l'huile de palme, ajoutant qu'il s'agit d'une mesure protectionniste par laquelle ce bloc cherche à plonger «dans la pauvreté» les Malaisiens.
«L'huile de palme n'est pas un poison et ils ne doivent pas dire qu'on ne peut pas en mettre dans la nourriture. Ils n'ont pas pitié de 600.000 pauvres ouvriers qui perdront leur emploi et seront privés de revenus, si on ferme les plantations», a-t-il ajouté.
https://fr.sputniknews.com/international/201903241040483791-malaisier-chasseurs-europe-chine/
24 février 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
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1 mai 2024 | International, Naval
A Multi-Mission Reconnaissance Craft was photographed at the Army’s Project Convergence Capstone 4 earlier this year.
8 décembre 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
by Jon Grevatt The US Department of Defense (DoD) has identified four additional Chinese corporations that it claims have links to China's military. The companies' inclusion on the list of ‘Communist Chinese military companies' means that US investors will be prevented from buying stock in the firms from January 2021. The new list, which takes the number of blacklisted Chinese companies to 35, features corporations that are known primarily for operations in commercial domains. They include the Semiconductor Manufacturing International Corporation (SMIC), China Construction Technology Company (CCTC), China International Engineering Consulting Corporation (CIECC), and China National Offshore Oil Corporation (CNOOC). The DoD said these firms' inclusion on the list is aligned with US efforts to tackle China's military-civil fusion (MCF) strategy, which seeks to adopt advanced commercial technologies for military gains. It said, “The [DoD] is determined to highlight and counter the People's Republic of China's (PRC) military-civil fusion development strategy, which supports the modernisation goals of the People's Liberation Army (PLA) by ensuring its access to advanced technologies and expertise acquired and developed by even those PRC companies, universities, and research programs that appear to be civilian entities.” The DoD added that the list of Chinese companies will continue to be updated “with additional entities as appropriate”. In response to the listing, China's foreign ministry spokesperson said on 4 December that the move constituted a “groundless suppression”. https://www.janes.com/defence-news/news-detail/us-expands-list-of-communist-chinese-military-companies