17 mai 2018 | Local, Aérospatial

La création d’emplois par l’approvisionnement en défense

Communiqué de presse

Aider l'industrie canadienne à saisir une occasion qui ne se présente qu'une fois par génération

Le 16 mai 2018, Ottawa (Ontario)

Le Canada prévoit d'acheter 88 chasseurs, ce qui constitue son plus important projet d'approvisionnement dans le domaine de l'aérospatiale en plus de 30 ans. Il s'agit d'une occasion qui ne se présente qu'une fois par génération de créer des emplois et de générer des retombées pour les Canadiens.

L'achat de ces chasseurs est assujetti à la Politique des retombées industrielles et technologiques (RIT), selon laquelle l'entrepreneur retenu doit faire au Canada des investissements d'une valeur égale aux dépenses effectuées par le gouvernement dans le cadre de grands projets d'approvisionnement en défense. La Politique permet de tirer parti du pouvoir d'achat du gouvernement pour stimuler l'innovation et créer des emplois bien rémunérés pour la classe moyenne.

Voilà le message communiqué lors d'une série de six forums régionaux organisés dans tout le pays par Innovation, Sciences et Développement économique Canada, de concert avec Défense nationale, Services publics et Approvisionnement Canada et des organismes de développement régional. Des représentants de plus de 250 entreprises et 50 universités et instituts de recherche ont pris part à ces séances. Au total, 750 rencontres où ces représentants ont eu la chance de rencontrer les fabricants de chasseurs et de commencer à établir les liens et les partenariats qui les aideront à tirer profit des occasions découlant de ce projet d'approvisionnement d'envergure.

En travaillant de près avec les industries canadiennes de l'aérospatiale et de la défense, le gouvernement s'assure que les Canadiens tirent les plus grands avantages possible d'achats majeurs dans le domaine de la défense.

Citations

« Gr'ce à la Politique des retombées industrielles et technologiques, ce plus important investissement dans l'Aviation royale canadienne depuis des décennies se traduira par des emplois pour la classe moyenne et des retombées économiques pour tous les Canadiens. »
— Le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, l'honorable Navdeep Bains

« Notre gouvernement a franchi encore un autre jalon important alors qu'il poursuit la mise en œuvre du remplacement de la flotte de chasseurs du Canada. Ce processus créera des retombées économiques importantes pour la population canadienne, et notre gouvernement s'est engagé à veiller à ce que les industries canadiennes de l'aérospatiale et de la défense soient bien positionnées pour participer au renouvellement de la flotte canadienne de chasseurs. »
— La ministre des Services publics et de l'Approvisionnement, l'honorable Carla Qualtrough

« Une flotte d'avions-chasseurs modernes est essentielle pour faire respecter la souveraineté du Canada, assurer la sécurité du continent et contribuer à la paix et à la sécurité internationales. Je suis heureux d'entendre parler des conversations productives qui ont eu lieu avec les membres et les partenaires de l'industrie canadienne au cours des dernières semaines. Cette concurrence représente une excellente occasion pour l'industrie canadienne de participer au maintien de la flotte de chasseurs de l'avenir. »
— Le ministre de la Défense nationale, l'honorable Harjit S. Sajjan

Faits en bref

  • Globalement, les industries canadiennes de l'aérospatiale et de la défense offrent plus de 240 000 emplois de qualité.

  • En 2016, l'industrie de l'aérospatiale a contribué directement au produit intérieur brut pour 13 milliards de dollars et a employé plus de 87 000 travailleurs.

  • Le secteur canadien de la défense compte plus de 650 entreprises qui offrent des emplois de grande qualité à des travailleurs hautement qualifiés.

  • Depuis 1986, la Politique des RIT du Canada, et la Politique des retombées industrielles et régionales qui l'a précédée, ont injecté près de 40 milliards de dollars dans le produit intérieur brut du pays. L'application de la Politique mène annuellement à la création d'environ 40 000 emplois.

https://www.canada.ca/fr/innovation-sciences-developpement-economique/nouvelles/2018/05/la-creation-demplois-par-lapprovisionnement-en-defense.html

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  • Airbus se retire de la course pour remplacer les CF-18 canadiens

    3 septembre 2019 | Local, Aérospatial

    Airbus se retire de la course pour remplacer les CF-18 canadiens

    Par LEE BERTHIAUME La division Airbus Defence and Space, en partenariat avec le gouvernement britannique, était l'une des quatre entreprises qui devaient selon toute vraisemblance soumissionner pour ce contrat de 19 milliards portant sur la construction des 88 nouveaux avions de chasse qui doivent remplacer les CF-18 vieillissants de l'Aviation royale canadienne. Mais dans un communiqué publié vendredi, Airbus annonce qu'elle a informé le gouvernement canadien de sa décision de retirer de la course son « Eurofighter Typhoon » pour deux motifs — déjà évoqués par ailleurs avant même le lancement officiel de l'appel d'offres en juillet. Le premier motif concerne l'obligation pour les soumissionnaires de préciser comment ils comptent s'assurer que leurs avions pourront s'intégrer au réseau canado-américain ultra-secret de renseignement, connu sous le nom de « Two Eyes », qui est utilisé pour coordonner la défense commune de l'Amérique du Nord. Airbus conclut que cette exigence fait peser « un coût trop lourd » sur les avions qui ne sont pas américains. Le géant européen explique qu'il aurait été tenu de démontrer comment il envisageait d'intégrer son Typhoon au système « Two-Eyes » sans même connaître les détails techniques de ce système ultra-secret de renseignement. Le deuxième facteur a été la décision du gouvernement libéral de modifier la politique qui obligeait traditionnellement les soumissionnaires à s'engager légalement à investir autant d'argent dans des produits et activités au Canada que ce qu'ils tirent des contrats militaires décrochés. En vertu du nouveau mécanisme, les soumissionnaires peuvent plutôt établir des « objectifs industriels » et signer des accords non contraignants promettant de tout mettre en œuvre pour les atteindre. Ces soumissionnaires perdent des points dans l'appel d'offres, mais ils ne sont plus écartés d'emblée de la course. Les États-Unis soutenaient que la politique précédente violait un accord signé par le Canada en 2006 pour devenir l'un des neuf pays partenaires dans le développement du F-35 de Lockheed Martin. Or, cet accord prévoit que les entreprises des pays partenaires se feront toutes concurrence pour obtenir des contrats en sous-traitance. Deuxième retrait Dans son annonce, vendredi, Airbus soutient que la nouvelle approche ne valorise pas suffisamment les engagements contraignants qu'elle était prête à offrir et qui constituaient l'un de ses principaux arguments. La ministre des Services publics et de l'Approvisionnement, Carla Qualtrough, a défendu à nouveau l'approche de son gouvernement dans ce dossier. Dans une déclaration écrite publiée après l'annonce du retrait d'Airbus, elle a estimé que cette nouvelle approche « assurera une participation maximale des fournisseurs ». « Notre gouvernement priorise les retombées économiques solides dans ce projet, a soutenu Mme Qualtrough. Nous sommes convaincus que cet investissement soutiendra la croissance de la main-d'œuvre canadienne hautement qualifiée dans les industries de l'aérospatiale et de la défense pour les décennies à venir et créera d'importantes retombées économiques et industrielles dans l'ensemble du pays. » Airbus devient la deuxième entreprise à retirer son chasseur de l'appel d'offres canadien, après le retrait du « Rafale » de la société française Dassault en novembre dernier. Il ne reste plus maintenant comme prétendants que le « F-35 » de Lockheed Martin, le « Super Hornet » de son concurrent américain Boeing et le « Gripen » du suédois Saab. Boeing et Saab ont déjà exprimé leurs préoccupations au sujet de la nouvelle politique en matière d'exigences industrielles, affirmant que ces changements ne profiteront pas aux contribuables et à l'industrie canadienne de l'aérospatiale et de la défense. Les entreprises devraient soumettre leurs offres l'hiver prochain et le contrat final doit être signé en 2022 ; le premier avion ne sera pas livré avant au moins 2025. Les gouvernements fédéraux successifs s'emploient à remplacer les CF-18 depuis plus de dix ans. Selon le porte-parole conservateur en matière de défense, James Bezan, le retrait d'Airbus prouve que le gouvernement libéral a mal géré tout ce dossier pendant son mandat — notamment en attendant quatre ans avant de lancer l'appel d'offres promis en campagne électorale en 2015. « Alors que d'autres pays ont choisi des avions de combat en moins de deux ans, le bilan du premier ministre Justin Trudeau en matière d'achats militaires en est un de retards et d'échecs », a estimé M. Bezan. Le gouvernement conservateur précédent avait annoncé en 2010 un plan pour acheter des F-35 de Lockheed Martin sans appel d'offres, mais il y a renoncé deux ans plus tard à la suite de préoccupations concernant les coûts et les capacités de ce chasseur furtif. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201908/30/01-5239279-airbus-se-retire-de-la-course-pour-remplacer-les-cf-18-canadiens.php

  • COVID-19 MAY WELL BE THE END OF THE CANADIAN ARMED FORCES AS WE HAVE KNOWN THEM…AND OF OUR EFFECTIVE SOVEREIGNTY

    19 mai 2020 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    COVID-19 MAY WELL BE THE END OF THE CANADIAN ARMED FORCES AS WE HAVE KNOWN THEM…AND OF OUR EFFECTIVE SOVEREIGNTY

    The lesson from this history is simple. Cutting defence spending in times of austerity is a bipartisan affair in Canada. This is owing less to politics than arithmetic. DND's budget –which typically ranges from 1/5 to 1/4 of total federal departmental discretionary spending –is too big to be excluded from any serious spending restraint initiative. This is well understood by Liberals, Conservatives and the Finance Department. The COVID-19 Recession and its Impact No one knows how deep or how long the COVID-19-induced recession will be. But every serious analyst agrees it will produce the sharpest drop in output since the Great Depression. The International Monetary Fund, for example, projects a 6.2 per cent annualized decline in GDP for Canada,1nearly double that of the 2009 recession. And already the government's fiscal response is without precedent and will lead to the largest deficit in postwar Canadian history (at least 10 per cent of GDP, or over $200 billion). This does not mean that Ottawa will snap into austerity mode next year. The economy will likely be too weak for that kind of action and cutting government spending is not in the Trudeau government's DNA to begin with... One big difference between now and the past is that there will be enormous pressure on Ottawa after the recession to boost spending in a wide range of areas which have been exposed in the pandemic. These include public health funding, medical research, pandemic prevention and mitigation, the social safety net, and industries particularly hard hit during the recession. There are also Liberal election campaign commitments from 2019 to honour –almost none of which had been implemented pre-pandemic –of which national defence is conspicuously absent. ...this could produce a perfect storm for Strong, Secure, Engaged (SSE). This was always a big risk associated with a defence policy that had its funding ramped up gradually over many years. As the Harper government amply demonstrated, it is relatively easy to reduce or eliminate the rate of planned increases to defence funding –the government took almost no flak for doing so in 2010. Making matters worse, DND has failed to come anywhere near meeting the spending trajectory profiled in SSE, as David Perry has analyzed thoroughly. Which means flattening DND's budget ramp is even more tempting for any government in austerity or even re-prioritization mode. Would a change in government matter here? Unlikely. While the Conservatives are more committed to national defence and the Canadian Armed Forces than the Liberals, they would likely see deficit reduction as their top priority, and it is virtually impossible to have meaningful expenditure restraint that doesn't involve national defence [what the Harper government did from 2010 on]. Conclusion Over the past generation, recessions and the fiscal consolidation that has followed them have had a seriously negative impact on DND's budget. The COVID-19 recession could be the most severe Canada has faced in at least 40 years. It has already resulted in the largest peacetime deficit in Canadian history. And, because of the pandemic, government priorities have changed radically overnight. The future for SSE and its associated funding does not look bright. National Defence probably has a year or two before the crunch hits. Now is therefore the time for strategic thinking and serious priority setting among the political, public service and miitary leadership to ensure that the 2020s don't become another decade of darkness. Eugene Lang is Adjunct Professor, School of Policy Studies, Queen's University, and Fellow, Canadian Global Affairs Institute. He was chief of staff to two ministers of National Defence in the Chrétien and Martin governments and served as an official in the Department of Finance. The 2020s most certainly will be “another decade of darkness”. It is not improbable that the Canadian military, if the Liberals win the next election, will effectively end up as a constabulary/militia force with domestic response to natural disasters of various sorts as its primary function along with very token commitments to UN peacekeeping missions. Bye bye to serious numbers of new RCAF fighters, to serious numbers of new RCN frigates, and to the needed large funding to renew NORAD's North Warning System [see this post: “So Will the Canadian Government Put Some Big Bucks into Modernizing NORAD's North Warning System?“]. And bye bye to any meaningful military participation in NATO. Canada will then finally be defenceless against help from the US ( the following quote is from the last sentence of this earlier CGAI paper's Executive Summary: “Throughout its 60-year existence, NORAD has been Canada's “defence against help.”). Any American administration will have no hesitation in demanding the use of Canadian territory and waters for its own defence purposes if our efforts fall well below what the US thinks necessary. US Air Force bases at Cold Lake, Yellowknife, Goose Bay and a US Navy one at St. John's anyone? Take a look at this as an example of an increasingly prevalent Canadian progressive view; and Justin Trudeau's “base” is progressive to the max: Spending $19 billion on fighter jets won't fight COVID-19 or climate change Instead of buying a new weapons system, the federal government should disarm and invest in a Green New Deal There it is. Plus earlier from Mr Lang: Is the “business Liberal” extinct? By the way the photo at the top of the post is of the Avro CF-100 Canuck interceptor, the first jet fighter developed in Canada–to defend against Soviet bombers...and US help. Mark Collins

  • Le Canada négocie l’achat de nouveaux véhicules blindés d’appui tactique

    19 août 2019 | Local, Terrestre

    Le Canada négocie l’achat de nouveaux véhicules blindés d’appui tactique

    De : Défense nationale Communiqué de presse Le 16 août 2019 – London (Ontario) – Défense nationale/Forces armées canadiennes Le gouvernement du Canada franchit une autre étape pour procurer aux Forces armées canadiennes (FAC) l'équipement moderne dont elles ont besoin pour fonctionner dans tout le spectre des opérations, et ce, mieux protégées contre diverses menaces, comme le souligne la politique de défense du Canada Protection, Sécurité, Engagement. L'honorable Harjit S. Sajjan, ministre de la Défense nationale, a annoncé que le gouvernement achètera 360 véhicules blindés légers (VBL) d'appui tactique de la General Dynamics Land Systems-Canada (GDLS-C). Les fonds nécessaires sont compris dans le budget approuvé réservé à la mise en œuvre de la politique de défense susmentionnée. Le gouvernement du Canada a également l'intention de fournir un prêt à remboursement à la GDLS-C. Afin d'accroître au maximum les retombées économiques de ce projet pour la population canadienne, le fournisseur réinvestira une somme rigoureusement égale à la valeur de ce contrat dans l'économie canadienne afin de créer des emplois et des possibilités en matière d'innovation. En plus des quelque 1 650 emplois existant à l'usine de la General Dynamics Land Systems (GDLS) à London, des travailleurs occupant près de 8 500 autres emplois disséminés dans tout le Canada aideront à fournir les pièces et l'équipement nécessaires à la construction des véhicules blindés légers. Le VBL est essentiel au parc de véhicules de combat de l'Armée et il appuie nos militaires, femmes et hommes, dans toute une gamme d'opérations, y compris les missions de soutien de la paix à l'étranger et les opérations de secours qui ont été menées lors des vastes inondations s'étant produites au Nouveau‑Brunswick, au Québec et en Ontario. Le VBL est une plateforme qui a fait ses preuves et qui répond aux besoins de l'Armée canadienne. La présence de véhicules d'appui tactique semblables dans le parc des Forces armées canadiennes offrira de nombreux avantages opérationnels, y compris la réduction du coût de l'instruction et du maintien en puissance et la disponibilité de pièces de rechange communes pour réparer les véhicules rapidement au cours d'opérations critiques. Les véhicules blindés d'appui tactique remplissent des rôles clés et servent notamment de postes de commandement, d'ambulances et d'ateliers mobiles de réparation. Cette nouvelle flotte offrira la protection et la mobilité dont les membres des FAC ont besoin pour exécuter leur travail dans les environnements opérationnels. Citations « Le VBL est l'épine dorsale de la flotte de véhicules de combat de l'Armée et il soutient nos militaires, femmes et hommes, dans tout un éventail d'opérations, allant des interventions de secours en cas de catastrophe au Canada telles que l'opération LENTUS aux missions de soutien de la paix à l'étranger. Je suis heureux de pouvoir renforcer notre flotte de véhicules blindés d'appui tactique, comme notre gouvernement s'est engagé à le faire dans la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, tout en soutenant des emplois canadiens et en favorisant l'innovation gr'ce à notre partenariat avec GDLS-C. » – Le ministre de la Défense nationale, Harjit S. Sajjan « Nous sommes résolus à fournir à nos militaires, femmes et hommes, l'équipement qu'il leur faut pour exécuter leur travail important. Dans le cadre de la politique de défense du Canada Protection, Sécurité, Engagement, l'annonce d'aujourd'hui nous fait avancer dans l'exécution de notre plan qui vise à fournir aux Forces armées canadiennes l'équipement moderne dont elles ont besoin, dans les limites du budget établi, tout en garantissant des emplois à la classe moyenne dans l'ensemble du pays. » – La ministre des Services publics, de l'Approvisionnement et de l'Accessibilité, Carla Qualtrough « Notre gouvernement continue de créer de bons emplois et des possibilités économiques pour les canadiennes et les canadiens. Chaque dollar dépensé aux fins de ce projet sera réinvesti dans l'économie canadienne en créant des débouchés pour les fournisseurs canadiens et en soutenant de bons emplois pour la classe moyenne. » – Le ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique, Navdeep Bains Faits en bref La flotte actuelle de véhicules blindés d'appui comprend des VBL II Bison et des VBL chenillés M113. Le gouvernement du Canada en est aux dernières étapes de la négociation d'un contrat avec GDLS-C. Le coût estimatif du projet pourrait atteindre trois milliards de dollars, et le prêt remboursable atteindra jusqu'à 650 millions de dollars. Ce premier montant comprend aussi le coût de la nouvelle infrastructure où les véhicules seront logés et entretenus. Les véhicules blindés d'appui tactique des FAC seront livrés en huit versions et pourront ainsi remplir divers rôles tels que: ambulances, récupération de véhicules, travaux de génie, atelier mobile de réparation, guerre électronique, transport de troupes et postes de commandement. En acquérant les véhicules maintenant, le Ministère épargnera les frais liés à l'entretien et à la prolongation de la durée de vie de la flotte actuelle de véhicules. La politique de défense du Canada Protection, Sécurité, Engagement contient l'engagement « d'intégrer l'analyse comparative entre les sexes plus (ACS+) dans toutes les activités liées à la défense dans l'ensemble des Forces armées canadiennes et au ministère de la Défense nationale ». Cela garantit que chaque activité, y compris l'acquisition de nouvelles plateformes majeures, prend en compte l'ACS+. L'opération LENTUS correspond aux interventions des Forces armées canadiennes (FAC) en cas de catastrophes naturelles au Canada. Elle suit un plan d'action établi pour soutenir les collectivités en crise. Les FAC peuvent alors utiliser des navires, des véhicules, des aéronefs et divers autres équipements. La Politique des retombées industrielles et technologiques est le principal outil dont dispose le gouvernement pour assurer les retombées économiques des grands marchés de défense, ce qui signifie que le fournisseur réinvestira dans l'économie canadienne un montant rigoureusement égal à la valeur du contrat. Liens connexes Protection, Sécurité, Engagement : la politique de défense du Canada Véhicule blindé d'appui tactique – Programme des capacités de la Défense Personnes-ressources Todd Lane Attaché de presse Cabinet du ministre de la Défense nationale Téléphone : 613-996-3100 Relations avec les médias Ministère de la Défense nationale Téléphone : 613-996-2353 Courriel : mlo-blm@forces.gc.ca https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2019/08/le-canada-negocie-lachat-de-nouveaux-vehicules-blindes-dappui-tactique.html

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