23 février 2023 | International, C4ISR

How JADC2 is like a high-tech grill, according to one Marine colonel

It’s tricky to define the multibillion-dollar Pentagon initiative aimed at linking up the military’s many forces and data.

https://www.c4isrnet.com/news/your-marine-corps/2023/02/23/how-jadc2-is-like-a-grill-according-to-one-marine-colonel/

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    28 janvier 2019 | International, Aérospatial

    Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains

    Par : Nicolas Gros-Verheyde | EURACTIV France La Slovaquie, la Roumanie, et bientôt la Bulgarie et la Croatie : les avions de chasse américains séduisent toute l'Europe. Pour les armées européennes, voler non américain se fait rare. Seuls six pays n'ont pas équipé leur flotte aérienne de chasse avec du matériel américain. La Suède et la France s'équipent uniquement en national (respectivement le Gripen et le Rafale), et l'Allemagne avec du matériel européen certes (Eurofigther), mais fabriqué sur son sol. Tandis que l'Autriche, la République tchèque et la Hongrie se sont équipées, le premier, en Eurofighter, les deux autres, en Gripen suédois. Un équipement made in US ou panaché Plusieurs pays, notamment dans le sud de l'Europe (Espagne, Grèce, Italie) ont choisi de panacher, prenant un produit européen (Eurofighter ou Mirage) et un produit américain (F-16 ou/et F-35). Un exemple suivi par le Royaume-Uni. Bien que fervente défenseure du lien transatlantique, la Royal Air Force équilibre ses achats entre le made in USA (F-35) et le made in Europa (l'Eurofighter renommé Typhoon outre-Manche). Un pragmatisme qui a un fondement très industriel. Une partie de ces avions sont fabriqués dans les usines britanniques. Les pays d'Europe centrale ou orientale, proches de la Russie sont plus monogames. Sauf les trois exceptions mentionnées (Autriche, Hongrie, Tchéquie), ils s'équipent exclusivement en matériel américain, en général avec des avions F-16 (Lockheed Martin). Il en est de même des pays du nord de l'Europe (Norvège, Danemark, Pays-Bas, Belgique) tous équipés en matériel américain. La tendance ne s'inverse pas Aucun signe ne montre une inversion de tendance. Au contraire ! Les derniers pays qui viennent de s'équiper (Belgique, Roumanie, Slovaquie) l'ont fait avec du matériel américain. Et les Bulgares et Croates s'apprêtent à suivre ce chemin. Tandis que les Grecs qui vont devoir renouveler leur flotte se t'tent pour déterminer leur choix, qui sera largement guidé par le poids économique de l'investissement. Même les Suisses, équipés actuellement de F-18 de chez Boeing,, se demandent s'ils ne vont pas reprendre américain à nouveau. Cette prééminence américaine pose un défi à l'industrie européenne, et à la velléité d'autonomie stratégique et industrielle des « 27 ». L'équipement en avion de chasse est, en effet, un investissement lourd. Le renouvellement n'intervient que tous les 20 ans en cas d'achat d'occasion, et à 40 ans en cas d'achat en neuf. Autant dire que les acquisitions prévues aujourd'hui vont réduire d'autant les capacités de l'industrie européenne jusqu'à 2060 minimum ! D'autant que l'arrivée de l'avion américain de nouvelle génération F-35 dans la flotte de plusieurs États (Belgique, Danemark, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni) risque de « siphonner » durablement les budgets de ces pays. Le futur avion franco-allemand-espagnol prévu pour 2035-2040 risque d'avoir un marché « bouché » et réduit à l'espace de ses pays constructeurs. Cette inconséquence européenne est troublante. Mais plutôt que d'accuser les États-Unis d'interventionnisme industriel, les Européens devraient se regarder dans le miroir. L'industrie aéronautique européenne est aujourd'hui éclatée entre trois constructeurs (Airbus, Dassault, Saab). Ce qui l'empêche d'avoir un modèle unique et donc de faire des économies d'échelle. Elle ne dispose pas d'une offre de « second choix », les fameux F-16 d'occasion, qui permet de s'équiper à moindre coût. Et les pays européens sont incapables de proposer une offre complète, politique, économique, académique et opérationnelle, comme le font les Américains. Offre qui va de l'accueil des stagiaires officiers dans les écoles militaires aux facilités financières pour l'équipement, à la présence militaire, parfois permanente, dans le pays, à titre de réassurance politique. Or, acheter un avion de chasse est une décision éminemment stratégique. Il ne s'agit pas seulement d'acquérir un véhicule aérien avec des capacités. On achète une « assurance-vie » et une protection militaire. Et on assure ainsi à cet allié un « retour » sur l'investissement politique et militaire. On bénéficie d'une culture stratégique et d'un réseau académique puissant. Tant que les Européens ne pourront offrir l'équivalent, l'avion de chasse, made in US, a de beaux jours devant lui. https://www.euractiv.fr/section/commerce-industrie/news/les-europeens-achetent-de-plus-en-plus-davions-de-chasse-americains/

  • Northrop offers Triton drones to Australia, as US budget request pauses orders

    6 mars 2020 | International, Aérospatial

    Northrop offers Triton drones to Australia, as US budget request pauses orders

    By: Nigel Pittaway MELBOURNE, Australia — Faced with a possible two-year production pause in the wake of the Trump administratoin's fiscal 2021 budget request, Northrop Grumman is offering to accelerate MQ-4C Triton drone production for Australia at what it says is the lowest price it has ever offered for an unmanned platform. Under the budget request, funding for U.S. Navy MQ-4C acquisition will be suspended until at least FY23, and aircraft that was to be built in low-rate initial production Lots 6 and 7 will now be deferred. However, the proposal leaves the door open for Triton production to recommence in 2023 while securing funds to complete development of the IFC 4 variant of the drone. This latter model is required by the U.S. Navy to replace its aging fleet of Lockheed Martin-made EP-3E Aries II aircraft used for signals reconnaissance. Speaking in Canberra on March 4, Northrop's chief executive in Australia, Chris Deeble, said the company's proposal is to move forward production of five aircraft for the Royal Australian Air Force into the current, and funded, low-rate initial production 5 batch during the two years the U.S. Navy might not buy the aircraft. “PB21 has created an incredible opportunity for Australia. We've been working with the U.S. Navy to provide an option to buy the rest of their aircraft as part of the LRIP 5 contract,” Deeble said. “That provides a significant unit-cost saving to Australia, so now's the time to buy more than ever.” Australia has a requirement for six Tritons, built to the IFC 4 standard, under Project Air 7000 Phase 1B. However, it currently has only one aircraft on order, which would be built as part of LRIP 5 and requires a more finalized contract by May 15 if the plan is to go ahead. Deeble said Australia will need to make a decision on the additional five aircraft by the end of June. Northrop Grumman's proposal is to add the five Australian aircraft to the existing three aircraft in LRIP 5 (two U.S. Navy and one RAAF aircraft), bringing the total to eight. Deeble said the offer preserves Australia's planned funding profile for Triton acquisition and that the delivery schedule will remain the same. Should Australia finalize an agreement to meet its six-Triton requirement, it expects to receive them between 2023 and 2025, with declaration of final operational capability in the 2025-2026 time frame. "The two key points are, this will probably the best price you will be able to achieve for the Triton capability, and we're remaining within the [Australian] defense profile,” Deeble added. “We also look to provide Australian industry opportunities as a consequence. And committing to an additional five aircraft in LRIP 5 will provide about AU$56 million [(U.S. $37 million)] of opportunity in that regard.” https://www.defensenews.com/unmanned/2020/03/04/northrop-offers-triton-drones-to-australia-as-us-budget-request-pauses-orders/

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    20 novembre 2024 | International, C4ISR, Sécurité

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