23 février 2023 | International, C4ISR

How JADC2 is like a high-tech grill, according to one Marine colonel

It’s tricky to define the multibillion-dollar Pentagon initiative aimed at linking up the military’s many forces and data.

https://www.c4isrnet.com/news/your-marine-corps/2023/02/23/how-jadc2-is-like-a-grill-according-to-one-marine-colonel/

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    15 juin 2020 | International, Aérospatial

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    Les exportations d'armements ont dopé la balance commerciale de la France en 2019. Selon des données dévoilées le 15 juin par l'Observatoire économique de la défense, les exportations de matériels de guerre ont atteint un niveau historique. En 2019, la France a réussi à diminuer son déficit commercial de 3,9 milliards d'euros. Comment ? Notamment gr'ce au succès de ses armements à l'international. Les exportations de matériels de guerre et produits liés ont atteint un record décennal de 11,3 milliards d'euros (+34 %), selon le bulletin du mois de mai de l'Observatoire économique de la défense (OED). Les véhicules aériens ont particulièrement contribué à ces résultats. Quatrième meilleur secteur en excédent commercial Le succès des armes françaises à l'export n'est pas nouveau. Début juin, le ministère des Armées rapportait un haut niveau de prises de commandes. Cette fois, on connaît la valeur totale des exportations, le type de biens exportés et également les zones géographiques vers lesquelles ils sont expédiés. Avec 2,7 milliards d'euros d'importations, l'excédent commercial lié aux livraisons de matériels de guerre s'élève à 8,5 milliards d'euros en 2019 (+2,1 milliards d'euros et +32,8 % par rapport à 2018). “Cet excédent sectoriel est une des principales sources d'atténuation du déficit commercial de la France”, fait remarquer l'Observatoire économique de la défense. Seuls trois secteurs dépassent cet excédent commercial en France : en premier l'aéronautique civile (+29,6 milliards d'euros), l'agro-alimentaire des boissons (+13,2 milliards) et l'industrie manufacturière des parfums et des cosmétiques (+12,5 milliards). L'aviation de défense repart Après une stagnation entre 2017 et 2018, les exportations d'avions et d'autres véhicules aériens repartent avec une augmentation de 24,4 % entre 2018 et 2019. Cette catégorie représente à elle seule 2,8 milliards d'euros, soit 25 % de l'ensemble des exportations de matériels de guerre. Les systèmes de propulsion (turboréacteurs, turbopropulseurs) enregistrent également une belle performance : leurs exportations ont cru de 34 % à 2,3 milliards d'euros, soit 20 % de la valeur totale exportée par la France. “Ces exportations sont principalement à destination, dans l'ordre, du Proche et Moyen-Orient, de l'Union européenne, de l'Amérique et de l'Asie”, note l'OED. L'Observatoire économique de la défense ne détaille pas les produits livrés mais l'avion de combat Rafale de Dassault Aviation a sans doute contribué à ces résultats. En 2019, les livraisons de cet appareil vers l'étranger ont explosé à 26 exemplaires. Belle croissance pour les instruments d'optique Derrière, les avions et les systèmes de propulsion les armes et les munitions comptent pour 2,1 milliards d'euros (+34,7 %), soit 18 % des exportations françaises de matériels de guerre. “Près de trois quarts de ces exportations sont des bombes, des grenades, des torpilles ou des missiles”, décrit l'OED. Les chars, les véhicules blindés, les instruments d'optique, de mesure et de précision représentent moins d'argent. En revanche ces catégories affichent les plus fortes croissances. Les exportations de véhicules blindés décollent de +56,8 % (1,1 milliard d'euros). Les instruments ont quant à eux progressé de 47 % (700 millions d'euros). “Il peut s'agir de télémètres ou encore d'appareils pour la navigation à usage militaire. 80 % des exportations sont à destination du Proche et Moyen-Orient, de l'Afrique et de l'Asie (hors Proche et Moyen-Orient)”, détaille l'OED. Pour le secteur maritime, l'année 2019 n'a pas connu de grandes livraisons à l'international. Les navires de guerre affichent une contre-performance de -20,4 % et n'ont compté que pour 128,3 millions d'euros dans les exportations. Les appareils de détection et de radiosondage (radars, sonars et leurs composants) affichent une croissance de 59 % à 1,8 milliards d'euros. Selon l'OED, ces matériels sont principalement exportés vers le Proche et Moyen-Orient. Le Proche et Moyen-Orient, principaux clients de la France De manière générale, le Proche et Moyen-Orient concentrent 42,4 % des exportations françaises (4,8 milliards d'euros, +205 %). Les résultats sont plus serrés entre les autres zones géographiques : l'Amérique représente 11,4 % des exportations (1,3 milliard), derrière l'Afrique (13,8 %, 1,6 milliard), l'Asie (15,7 %, 1,8 milliard) et l'Europe (16,7 %, 1,8 milliard). Pour les importations, la préférence européenne joue aussi. “La majorité des importations françaises de matériels de guerre et produits liés provient de l'Union européenne : 56,2 %, soit un 1,5 milliard d'euros”, fait remarquer l'OED tandis que l'Amérique représente 27,3 % des importations (0,8 milliard). https://www.usinenouvelle.com/editorial/comment-les-rafale-et-vehicules-aeriens-ont-reduit-le-deficit-commercial-de-la-france-en-2019.N975531

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    14 janvier 2019 | International, Aérospatial

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    CLÉMENT CHARPENTREAU One company's demise is another one's opportunity. Or in this case, two companies. Lockheed Martin and Airbus signed a memorandum of agreement to “jointly explore opportunities to meet the growing demand for aerial refueling for US defense customers.” The manufacturers are taking advantage of the difficulties encountered by Boeing's KC-46A Pegasus. It was Airbus (partnered with Northrop Grumman at the time) that initially won the KC-X tender launched by the Pentagon for a new refueling system to equip the United States Air Force. With its A330 MRTT already in production, the European manufacturer was way ahead of its American rival whose KC-46 “Pegasus” was still on the drawing board. However, political concerns invited themselves into the acquisition process, and after several years of lobbying, the contract was eventually taken away from Airbus and given to Boeing. 179 aircraft were ordered, with the first aircraft to be delivered around May 2016, and the following 17 by 2017. But since then, the KC-46 program had a bumpy flight, and the USAF is still waiting for its planes. The development of the tanker exceeded the initial forecast by $3 billion (which hints at a deliberate underestimation to win the contract over Airbus), and the delivery has been constantly delayed. The last precise deadline in date, October 2018, was finally postponed to “a little later” by Air Force Secretary Heather Wilson in an interview to Bloomberg. In March 2018, Wilson commented on the matter in front of the Congress: “One of our frustrations with Boeing is they're much more focused on their commercial activity than on getting this right for the Air Force and getting these aircraft to the Air Force”. As Boeing was contractually obliged to deliver 18 planes and 9 refueling pods by October 2018, it will now face financial penalties. The KC-46 is currently ongoing certification with the FAA. Boeing's struggle comes as a perfect opportunity for Airbus and Lockheed Martin to offer their services to the USAF and its allies, both in the short and long term. “These may range from ways to support critical near-term air-refuelling needs, such as a fee-for-service structure to conceptualizing the tanker of the future,” they said in a common press release. In the coming twenty years, the USAF will need two new types of refueling aircraft. The programs should be respectively known as KC-Y, to replace the gigantic KC-10s, and KC-Z, a stealth tanker. This new partnership could allow Airbus to put its A330MRTT on the table once more, in a version adapted to the needs of the USAF that would use Lockheed Martin's competence in the matter. The tanker is now operated by six air forces around the world, and has already seen some actions. While awaiting for the KC-Y tender to begin, Airbus could offer a leasing service to the USAF, in a similar way as AirTanker is already doing for the Royal Air Force with its ten Airbus Voyagers (A330 MRTT). With Lockheed Martin as a partner, Airbus could set a foot in the U.S. defense industry... for good this time. https://www.aerotime.aero/clement.charpentreau/22151-airbus-joins-forces-with-lockheed-to-step-in-boeing-s-backyard

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    22 août 2023 | International, Naval

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