1 septembre 2024 | International, Terrestre
25 juillet 2018 | International, C4ISR
By: Maddy Longwell
Congress used its annual defense policy bill to require leadership at the Department of Defense to double down on artificial intelligence and machine learning.
Pentagon officials have repeatedly said artificial intelligence is a critical technology to staying ahead of potential adversaries. Earlier this month, the Defense Department reorganized its leadership structure to put a greater emphasis on emerging technologies, such as artificial intelligence. In addition, the Pentagon said it plans to spend $1.7 billion over the next five years to stand up a new Joint Artificial Intelligence Center, according to new budgeting figures.
Most recently, in an agreement between Congressional negotiators released July 23, lawmakers called for the Pentagon to establish a new commission to review advances in AI technology, a 15-member body that would meet regularly until October 2020. Members will be appointed by the Secretary of Defense, Secretary of Commerce and members of congressional defense committees.
The commission will focus on AI, machine learning and associated technology with respect to national security and defense. It is expected to review the competitiveness of U.S. technology and foreign advances in AI, potential workforce and education incentives to attract and recruit talent for AI and machine learning technology jobs and research ways to foster emphasis and investments in research to stimulate the development of AI technology.
The commission is tasked with presenting an initial report to the President and Congress within 180 days of the passage of the bill. It is also expected to produce annual comprehensive reports on the same topics, which will be publicly available.
In addition to the new commission, the NDAA bill establishes other changes to address AI, machine learning and quantum science technology. They include:
A designated official to coordinate AI and machine learning technology development
The bill instructs the Secretary of Defense to designate an official who will be responsible for “developing a strategic plan to develop, adopt and transition artificial intelligence technologies into operational use.”
This version encourages the official to partner with industry, academia and private industries, and use the “flexibility of regulations and acquisition,” to develop and field AI and machine learning technology for the Department of Defense.
Reports submitted by the Secretary of Defense about US competitiveness in emerging technologies
The bill also requires that the Secretary of Defense and Director of the Defense Intelligence Agency submit classified reports that compare the capabilities of the United States and its adversaries in emerging technology areas.
The reports are expected to evaluate hypersonic, AI, quantum information science and directed energy weapons technologies.
The NDAA bill says that reports should include evaluations of spending, quantity, quality, test infrastructure, work force and the willingness of adversaries to use technology.
Improving the Air Force supply chain
The NDAA bill allows the assistant secretary of the Air Force for acquisition, technology and logistics to use funds for “non-traditional technologies and sustainment practices [which includes artificial intelligence] to increase the availability of aircraft to the Air Force and decrease backlogs and lead times for the production of parts.”
The assistant secretary is able to use up to $42.8 million for research, development, test and evaluation.
1 septembre 2024 | International, Terrestre
17 février 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
(Munich) Les dépenses militaires mondiales ont connu l'an dernier leur hausse la plus élevée depuis dix ans, sur fond de rivalités croissantes et de ce que le chef de l'État allemand a qualifié de « dynamique destructrice » au plan mondial. La progression a atteint au total 4 %, selon le rapport annuel de l'institut IISS publié vendredi peu avant le début de la Conférence sur la sécurité de Munich. En ouverture de cette grand-messe annuelle internationale sur les questions de défense, le président allemand Frank-Walter Steinmeier a planté le décor. « Année après année, nous nous éloignons de l'objectif d'une coopération internationale visant à créer un monde pacifique », a-t-il regretté. La « compétition des grandes puissances » gagne « toute la planète », a dit le président allemand, en critiquant l'égoïsme national répandu à ses yeux par les États-Unis de Donald Trump qui refusent « l'idée même d'une communauté internationale » . «Course aux armements» « Le monde ne peut pas se permettre une course aux armements », lui a fait écho la présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, parlant d'« érosion préoccupante des cadres pour le contrôle qui ont rendu le monde sûr pendant des décennies ». Les dépenses militaires « ont augmenté avec la sortie des économies de la crise financière (de 2008) et sous l'effet d'une perception accrue des menaces », a relevé le directeur général de l'Institut international d'études stratégiques (IISS, International Institute for Strategic Studies). La mort du traité FNI sur les forces nucléaires intermédiaires (portée de 500 à 5500 km) en 2019 et l'extinction potentielle du traité New Start sur les armes nucléaires intercontinentales en 2021 bouscule l'ordre international post-Guerre froide, tout comme la montée en puissance de la Chine ainsi qu'une série de crises régionales, de l'Ukraine à la Libye. Dans un tel contexte, les deux plus gros budgets militaires mondiaux, ceux des États-Unis (685 milliards de dollars) et de la Chine (181 milliards), poursuivent leur croissance exponentielle, avec une hausse de 6,6 % dans les deux pays en 2019 par rapport à 2018. Les dépenses américaines ont augmenté à elles seules de 53,4 milliards de dollars l'an dernier, soit l'équivalent du septième budget mondial de la défense, après ceux de l'Arabie saoudite (3e), de la Russie (4e), mais avant ceux de la France (8e). « En Europe, les inquiétudes liées à la Russie continuent d'alimenter la croissance des dépenses avec une hausse de 4,2 % par rapport à 2018 », pointe également John Chipman. L'accroissement massif des capacités militaires chinoises est une source majeure d'inquiétude aux États-Unis comme auprès de leurs partenaires en Asie-Pacifique. La Chine s'est aussi lancée, comme la Russie, dans le développement d'armes hypersoniques susceptibles de déjouer les défenses antimissiles adverses, met en garde l'institut londonien. L'armée russe a annoncé en décembre la mise en service de ses premiers missiles hypersoniques Avangard, l'une des nouvelles armes vantées par le président Vladimir Poutine comme « invincibles » et « indétectables ». Europe bousculée En Europe, les interrogations grandissent devant le risque de désengagement des États-Unis, de plus en plus centrés sur l'Asie-Pacifique, même si ces derniers ont renforcé pour l'heure leur présence militaire dans l'est du continent face à la Russie, tout comme dans le Golfe face aux menaces iraniennes. Les pays membres de l'OTAN, Allemagne en tête, sont aussi budgétairement sous la pression du président américain Donald Trump qui leur réclame un effort plus massif pour arriver à l'objectif de dépenses égales à 2 % du PIB. Après Donald Trump en 2018, le président français Emmanuel Macron a en outre « semblé jeter le doute » à son tour sur l'engagement de solidarité collective au sein de l'Alliance en cas d'agression de l'un de ses membres, rappelle l'ISS. Il a aussi ébranlé ses partenaires en estimant l'OTAN en état de « mort cérébrale ». « Deux des trois puissances nucléaires de l'Alliance (la troisième étant le Royaume-Uni) ont ainsi semé l'incertitude sur cette question clé de la sécurité collective », souligne John Chipman. https://www.lapresse.ca/international/202002/14/01-5261007-plus-forte-hausse-depuis-dix-ans-pour-les-depenses-militaires-mondiales.php
15 juillet 2022 | International, Naval, C4ISR
An Italian Navy official also suggested cables themselves might act as sensors to help the service.