2 avril 2024 | International, C4ISR, Sécurité

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    Le choix du remplaçant des F-16 belges va tomber

    Le gouvernement fédéral est désormais en mesure de formaliser sa décision sur le choix du prochain avion de combat de l'aviation belge. Un appareil qui devrait voler à partir de 2023 et durant au moins quatre décennies sous les cocardes tricolores rouges, jaunes et noires, qu'il soit américain ou européen. Les principaux ministres de l'équipe Michel ont été «briefés» mercredi par des experts sur le «retour sociétal» (les retombées économiques et les autres formes de coopération offertes à la Belgique) proposé par les promoteurs des deux candidats officiellement en lice pour le remplacement des F-16 vieillissants: le F-35 Lightning II du groupe américain Lockheed Martin et l'Eurofighter – alias Typhoon – du consortium européen éponyme promu par le Royaume-Uni, dans le cadre d'un marché d'État à État. Le 4 octobre, le conseil ministériel restreint (»kern») avait déjà entendu le rapport des militaires qui ont conduit l'évaluation exhaustive des deux candidats, sous l'égide d'une cellule de l'état-major de la Défense, l' «Air Combat Capability Program» (ACCaP), dirigée par le colonel Harold Van Pee. Un troisième candidat potentiel est le Rafale de l'avionneur français Dassault Aviation, pour lequel peu de données chiffrées sont disponibles. Car Paris n'a pas répondu à l'appel d'offres officiel, préférant proposer à la Belgique un «partenariat approfondi et structurant» fondé sur le Rafale et une implication belge dans le développement d'un avion de combat de nouvelle génération, envisagé par la France et l'Allemagne à l'horizon 2040 dans le contexte d'une relance de la défense européenne. Avant le départ de Vandeput? Le gouvernement dispose de toutes les informations pour faire son choix, dans un climat de lobbying intense et alors que les États-Unis ont accepté de prolonger pour une courte période – apparemment jusqu'à la fin du mois – leur offre pour le F-35 qui expirait formellement le 14 octobre, date des élections communales et provinciales. Le ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA), qui quittera cette fonction d'ici le 1er janvier pour devenir bourgmestre de Hasselt, a dit lundi espérer encore pouvoir boucler cet épineux dossier avant son départ. «Ce serait beau si je pouvais conclure les gros investissements. Nous avons mis beaucoup de choses sur les rails qui sont aujourd'hui mûres pour être tranchées», a-t-il déclaré. Le Premier ministre Charles Michel (MR) a lui aussi cité, dans sa déclaration de politique générale à la Chambre le 8 octobre, les chantiers à boucler par le gouvernement – dont les décisions à prendre pour plusieurs programmes militaires, comme le remplacement des F-16 – mais en se montrant plus prudent sur l'échéance. «Nous prendrons très vite, et en tout cas avant la fin de la législature (en mai prochain, NDLR), les décisions qui s'imposent pour chacun de ces programmes», a assuré M. Michel. Car, comme souvent en Belgique, le dossier ACCaP s'est retrouvé mêlé à au moins deux autres programmes militaires: l'achat de nouveaux drones, potentiellement armés, et de nouveaux blindés pour la composante Terre, un programme baptisé «CaMo» portant sur 477 engins et à mener en coopération avec la France. L'approche de la dernière ligne droite avant une décision sur le nouveau chasseur-bombardier a accentué les efforts de lobbying dans ce marché d'un montant initial de 3,6 milliards d'euros – et une quinzaine de milliards sur la durée de vie attendue de l'appareil, soit une quarantaine d'années – même si les offres américaine et britanniques semblent «en dessous» de ce cadre financier, selon des sources concordantes. Les Britanniques, qui promeuvent le Typhoon au nom du consortium Eurofighter (rassemblant également l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie), craignent une décision (trop) h'tive en faveur du F-35 prise en dépit de nombreuses incertitudes sur le coût du chasseur furtif américain, tant à l'achat – la version proposée à la Belgique est le Block 4, dont le développement n'a pas encore été financé – qu'à l'utilisation. Plusieurs ministres britanniques, dont ceux des Affaires étrangères et du Commerce international, Jeremy Hunt et Liam Fox, viennent ainsi d'écrire à leurs homologues belges pour, selon une source informée, leur rappeler l'intérêt pour la Belgique d'une solution européenne, l'Eurofighter étant produit à 75% sur le continent. https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181018_01244354/le-choix-du-remplacant-des-f-16-belges-va-tomber

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    22 février 2021 | International, Aérospatial

    U.S. Air Force looks to radically overhaul its fighter plans - Skies Mag

    New clean-sheet designs, legacy fighters, and fifth-generation stealth could all operate together. Future use of the F-35A, in particular, could be impacted by ongoing engine wear issues.

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    19 décembre 2018 | International, C4ISR

    DoD IG: Military networks are exposed to ‘unnecessary’ cyber risks

    By: Mark Pomerleau The military services are exposing networks to “unnecessary cybersecurity risks” thanks in part to a lack of visibility over software application inventories, according to a Department of Defense Inspector General report. The IG investigated whether DoD components rationalized their software applications by identifying and eliminating any duplicative or obsolete applications. Rationalizing software applications seeks to improve enterprise IT by identifying all software applications on the network; determining if existing applications are needed, duplicative or obsolete; and determining if applications already existing within the network prior to purchasing new ones. The audit — which focused on Marine Corps, Navy and Air Force commands and divisions — found that the groups examined did not consistently perform this rationalization process. By not having visibility into software application inventories, these organizations were unable to identify the extent of existing vulnerabilities within their applications, the report found. Moreover, such a process could lead to cost savings associated with eliminating duplicative and obsolete applications. Fleet Forces Command was the only command the IG reviewed that had a process in place for eliminating duplicative or obsolete applications. The Air Force did not have a process in place to prevent duplication when purchasing new applications. The report placed blame on the DoD chief information officer for not implementing a solution for software rationalization in response to Federal Information Technology Acquisition Reform Act requirements. The IG made three recommendations for the CIO, who did not provide a response to draft recommendations: Develop an enterprisewide process for conduction software application rationalization throughout DoD; Establish guidance requiring DoD components to conduct rationalization and require DoD component CIOs to develop implementation guidance outlining responsibilities for rationalization. Such a policy should also require components on at least an annual basis to validate the accuracy of their owned and in use software applications inventory; and Conduct periodic review to ensure components are regularly validating the accuracy of their inventory and they are eliminating duplicative and obsolete applications. https://www.fifthdomain.com/dod/2018/12/18/dod-ig-military-networks-are-exposed-to-unnecessary-cyber-risks

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