6 mars 2024 | International, C4ISR

Carmaker model may yield cheaper drone wingmen: Air Force Research Lab

AFRL hopes building drones on a common chassis structure, the way the auto industry builds cars, will let it turn out aircraft cheaper and more quickly.

https://www.defensenews.com/air/2024/03/06/carmaker-model-may-yield-cheaper-drone-wingmen-air-force-research-lab/

Sur le même sujet

  • Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains

    28 janvier 2019 | International, Aérospatial

    Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains

    Par : Nicolas Gros-Verheyde | EURACTIV France La Slovaquie, la Roumanie, et bientôt la Bulgarie et la Croatie : les avions de chasse américains séduisent toute l'Europe. Pour les armées européennes, voler non américain se fait rare. Seuls six pays n'ont pas équipé leur flotte aérienne de chasse avec du matériel américain. La Suède et la France s'équipent uniquement en national (respectivement le Gripen et le Rafale), et l'Allemagne avec du matériel européen certes (Eurofigther), mais fabriqué sur son sol. Tandis que l'Autriche, la République tchèque et la Hongrie se sont équipées, le premier, en Eurofighter, les deux autres, en Gripen suédois. Un équipement made in US ou panaché Plusieurs pays, notamment dans le sud de l'Europe (Espagne, Grèce, Italie) ont choisi de panacher, prenant un produit européen (Eurofighter ou Mirage) et un produit américain (F-16 ou/et F-35). Un exemple suivi par le Royaume-Uni. Bien que fervente défenseure du lien transatlantique, la Royal Air Force équilibre ses achats entre le made in USA (F-35) et le made in Europa (l'Eurofighter renommé Typhoon outre-Manche). Un pragmatisme qui a un fondement très industriel. Une partie de ces avions sont fabriqués dans les usines britanniques. Les pays d'Europe centrale ou orientale, proches de la Russie sont plus monogames. Sauf les trois exceptions mentionnées (Autriche, Hongrie, Tchéquie), ils s'équipent exclusivement en matériel américain, en général avec des avions F-16 (Lockheed Martin). Il en est de même des pays du nord de l'Europe (Norvège, Danemark, Pays-Bas, Belgique) tous équipés en matériel américain. La tendance ne s'inverse pas Aucun signe ne montre une inversion de tendance. Au contraire ! Les derniers pays qui viennent de s'équiper (Belgique, Roumanie, Slovaquie) l'ont fait avec du matériel américain. Et les Bulgares et Croates s'apprêtent à suivre ce chemin. Tandis que les Grecs qui vont devoir renouveler leur flotte se t'tent pour déterminer leur choix, qui sera largement guidé par le poids économique de l'investissement. Même les Suisses, équipés actuellement de F-18 de chez Boeing,, se demandent s'ils ne vont pas reprendre américain à nouveau. Cette prééminence américaine pose un défi à l'industrie européenne, et à la velléité d'autonomie stratégique et industrielle des « 27 ». L'équipement en avion de chasse est, en effet, un investissement lourd. Le renouvellement n'intervient que tous les 20 ans en cas d'achat d'occasion, et à 40 ans en cas d'achat en neuf. Autant dire que les acquisitions prévues aujourd'hui vont réduire d'autant les capacités de l'industrie européenne jusqu'à 2060 minimum ! D'autant que l'arrivée de l'avion américain de nouvelle génération F-35 dans la flotte de plusieurs États (Belgique, Danemark, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni) risque de « siphonner » durablement les budgets de ces pays. Le futur avion franco-allemand-espagnol prévu pour 2035-2040 risque d'avoir un marché « bouché » et réduit à l'espace de ses pays constructeurs. Cette inconséquence européenne est troublante. Mais plutôt que d'accuser les États-Unis d'interventionnisme industriel, les Européens devraient se regarder dans le miroir. L'industrie aéronautique européenne est aujourd'hui éclatée entre trois constructeurs (Airbus, Dassault, Saab). Ce qui l'empêche d'avoir un modèle unique et donc de faire des économies d'échelle. Elle ne dispose pas d'une offre de « second choix », les fameux F-16 d'occasion, qui permet de s'équiper à moindre coût. Et les pays européens sont incapables de proposer une offre complète, politique, économique, académique et opérationnelle, comme le font les Américains. Offre qui va de l'accueil des stagiaires officiers dans les écoles militaires aux facilités financières pour l'équipement, à la présence militaire, parfois permanente, dans le pays, à titre de réassurance politique. Or, acheter un avion de chasse est une décision éminemment stratégique. Il ne s'agit pas seulement d'acquérir un véhicule aérien avec des capacités. On achète une « assurance-vie » et une protection militaire. Et on assure ainsi à cet allié un « retour » sur l'investissement politique et militaire. On bénéficie d'une culture stratégique et d'un réseau académique puissant. Tant que les Européens ne pourront offrir l'équivalent, l'avion de chasse, made in US, a de beaux jours devant lui. https://www.euractiv.fr/section/commerce-industrie/news/les-europeens-achetent-de-plus-en-plus-davions-de-chasse-americains/

  • Here’s what we know about Turkey’s newly launched homemade frigate

    26 janvier 2021 | International, Naval

    Here’s what we know about Turkey’s newly launched homemade frigate

    By: Burak Ege Bekdil ANKARA, Turkey — Turkey on Jan. 23 launched its first locally built frigate, the I-class TCG Istanbul, advancing a program that involves the production of four corvettes and four frigates. Under the MILGEM program, Turkey manufactured and delivered four Ada-class corvettes to the Navy. The Istanbul is the first of the four I-class frigates. The Istanbul was built under a 2019 contract awarded by the government procurement agency SSB to STM, a government-controlled defense company. The warship will be used in advanced air defense, naval warfare and patrolling missions, and it will support underwater warfare missions. It will be delivered to the Navy in 2023. “The MILGEM program dates back to early 2000s. But it is delivering critical platforms just when needed, i.e., when Turkey needs hard power to support its assertive foreign policy in the eastern Mediterranean,” defense analyst Ozgur Eksi said. Turkey and its traditional Aegean rival Greece came close to military conflict several times during 2020 due to their disputes over continental shelf, airspace, territorial waters, demilitarization of Greek islands and islets, air traffic centers, and exclusive economic zones in addition to the broader territorial disputes around Cyprus. The I-class frigates will feature weapons systems including a locally made 16-cell MDAS vertical launching system (a total of 64 surface-to-air missiles yet to be specified); four-by-four SSM launch canisters for the Atmaca weapon; an Aselsan-made 76mm Gokdeniz close-in weapon system; two Aselsan-made 25mm machine guns; and a HIZIR torpedo countermeasures system. The ship class' specifications are: Dimensions: Length: 113.2 meters; Beam: 14.4 meters; Draught: 4.05 meters Displacement: 3,000 tons Speed: Max: 29-plus knots; Economic: 14 knots Range with economic speed: About 5,700 nautical miles Main Propulsion: CODAG, two MTU 20V 4000 M93L diesel engines (driving two shafts) and a LM2500 gas turbine (in CODAG configuration) Power generation: Four diesel generators Platforms: Capacity to carry two S70 Seahawk helicopters (one in the hangar and one on the platform); Two rigid hull inflatable boats Endurance: Minimum 15 days of operational capability without replenishments https://www.defensenews.com/naval/2021/01/25/heres-what-we-know-about-turkeys-newly-launched-homemade-frigate

  • Germany, nine other nations push ahead with joint air defence procurement | Reuters

    11 octobre 2023 | International, Aérospatial

    Germany, nine other nations push ahead with joint air defence procurement | Reuters

    Germany and nine other countries on Wednesday took the next step in their efforts to jointly purchase air defence systems such as Patriot, IRIS-T and Arrow 3 as NATO allies scramble to plug gaps created by Russia's war on Ukraine.

Toutes les nouvelles