7 février 2023 | Local, Terrestre

Canadian Army fast-tracking purchase of air defence, anti-tank missiles and counter-drone gear

In addition, the army will buy a counter-drone system to be used for Operation Reassurance, the Canadian Forces mission in eastern Europe, according to the Feb. 3 briefing obtained by this newspaper.

https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/canadian-army-fast-tracking-purchase-of-air-defence-anti-tank-missiles-and-counter-drone-gear

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  • Renouveler la flotte de la Garde côtière canadienne et offrir d'importants services à la population canadienne

    23 mai 2019 | Local, Naval

    Renouveler la flotte de la Garde côtière canadienne et offrir d'importants services à la population canadienne

    QUÉBEC, le 22 mai 2019 /CNW/ - Toute la population du pays compte sur la Garde côtière canadienne pour protéger les équipages et notre environnement, et pour assurer le mouvement sécuritaire et efficace des navires qui contribuent grandement à la prospérité de notre économie. Après l'annonce faite par le premier ministre Justin Trudeau plus tôt aujourd'hui, l'honorable Jean-Yves Duclos, ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social et député de la circonscription de Québec, s'est rendu sur le quai de la Reine, à Québec, pour parler des futurs investissements du gouvernement du Canada en vue de renouveler la flotte de la Garde côtière canadienne, et de faire construire jusqu'à 18 nouveaux grands navires dans des chantiers navals canadiens. Gr'ce à ces nouveaux b'timents, la Garde côtière pourra continuer d'offrir aux Canadiens et aux Canadiennes des services de première importance. Les partenaires du Canada retenus dans le cadre de la Stratégie nationale de construction navale (SNCN), Irving Shipbuilding d'Halifax (Nouvelle-Écosse) et Vancouver Shipyards de Seaspan (Colombie-Britannique), construiront les nouveaux navires. Irving Shipbuilding d'Halifax construira deux nouveaux navires de patrouille extracôtiers et de l'Arctique, qui seront adaptés aux besoins de la Garde côtière pour accomplir une panoplie de missions essentielles, y compris les patrouilles de l'Organisation des pêches de l'Atlantique Nord-Ouest. Vancouver Shipyards de Seaspan construira jusqu'à concurrence de 16 navires polyvalents devant servir à diverses missions, dont les services de brise-glace léger, d'intervention environnementale et de recherche et sauvetage en haute mer. De plus, le gouvernement du Canada investira dans la prolongation de vie, le radoub et l'entretien de navires, des travaux qui seront confiés à des chantiers navals partout au Canada, y compris au Québec. Ainsi, la flotte de la Garde côtière actuelle pourra continuer d'assurer les services essentiels de recherche et sauvetage et d'intervention environnementale pendant que les nouveaux navires seront en construction. Malgré les sommes investies pour entretenir les navires de la Garde côtière, ceux-ci en arriveront néanmoins à la fin de leur vie utile, et il faudra d'autres navires pour renouveler comme il se doit la flotte de la Garde côtière. Afin de répondre aux futurs besoins en construction navale, d'attirer des personnes talentueuses et d'offrir de bons emplois dans diverses collectivités, le gouvernement du Canada ajoutera un troisième chantier naval canadien, à titre de partenaire dans le cadre de la SNCN. Le gouvernement du Canada mettra en œuvre un processus concurrentiel pour sélectionner ce troisième chantier dans les prochains mois. Citations « La Garde côtière canadienne sauve des vies en mer, assure la sécurité du transport maritime, soutient une économie autrement paralysée par les emb'cles, protège l'environnement marin et appuie la souveraineté et la sécurité du Canada. Étant donné la croissance du commerce maritime et les changements climatiques dont nous ressentons déjà les effets, la demande pour les services de la Garde côtière canadienne continuera de croître. Le renouvellement de la flotte de la Garde côtière garantit la confiance des Canadiens et des secteurs qui comptent sur les services de la Garde côtière pour demeurer concurrentiels. » L'honorable Jonathan Wilkinson Ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne « La Stratégie nationale de construction navale est la bonne approche à adopter pour garantir le soutien de la Garde côtière, de la Marine et des activités maritimes au moyen de navires modernes. En plus d'assurer une adaptation pour répondre aux besoins changeants du gouvernement fédéral en matière de construction navale, la Stratégie permet de créer des emplois, de générer des avantages et de la prospérité pour les collectivités de tout le Canada, ainsi que d'appuyer un secteur maritime durable. Nous demeurons fermement résolus à suivre la Stratégie et, pour en assurer le succès à l'avenir, nous poursuivrons notre étroite collaboration avec nos partenaires de construction navale. » L'honorable Carla Qualtrough Ministre des Services publics et de l'Approvisionnement et de l'Accessibilité « La Garde côtière canadienne offre des services essentiels en assurant la sécurité de la navigation dans nos cours d'eau, notamment le fleuve Saint-Laurent et le fjord du Saguenay. L'annonce d'aujourd'hui est particulièrement importante, car le gouvernement reconnait que nous devons ajouter un troisième chantier à la Stratégie nationale de construction navale. Il s'agit d'un changement majeur qui permettra au Chantier Davie de participer au processus pour sélectionner ce troisième chantier dans les prochains mois. De plus, l'annonce de 2 milliards de dollars pour la prolongation de vie, le radoub et l'entretien de navires est une excellente nouvelle pour les chantiers navals du Québec, qui pourront obtenir de nombreux contrats. » L'honorable Jean-Yves Duclos Ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social Les faits en bref La Garde côtière canadienne fournit des services essentiels de recherche et sauvetage, d'intervention environnementale et de déglaçage dans la région du Centre et de l'Arctique, avec plus de 1 400 employés et une flotte de 18 navires et 6 hélicoptères. Les centres de commandement en recherche et sauvetage dans la région du Centre et de l'Arctique (secteurs du Saint‑Laurent et des Grands Lacs) reçoivent plus de 5 600 appels par année. En 2018, le Programme d'intervention environnementale du Centre et de l'Arctique de la Garde côtière a reçu 1 370 rapports de pollution, principalement des cas de pollution par un navire. La Garde côtière canadienne supervise également les opérations de déglaçage en hiver le long du fleuve Saint‑Laurent et dans le golfe du Saint-Laurent. Au printemps, la Garde côtière aide à dégager les glaces sur la voie maritime entre Montréal et les Grands Lacs, une opération qui permet aux navires commerciaux d'entrer et de sortir des ports de façon sécuritaire et efficace. Son aéroglisseur aide au déglaçage printanier d'une quinzaine de rivières, principalement au Québec. Le coût total des 18 nouveaux grands navires est de 15,7 milliards de dollars, ce qui correspond à l'estimation préliminaire des budgets de projets, y compris les coûts de construction, de logistique et de soutien, des éventualités, de gestion de projet et d'infrastructure. Le coût de chacun des navires sera annoncé une fois que les contrats auront été négociés. De surcroît, le gouvernement procédera, par l'entremise d'un processus concurrentiel, à la conception d'une nouvelle classe de navires plus petits, le navire semi-hauturier polyvalent, qui sera un complément à la flotte de grands navires, car il servirait à des missions en eau peu profonde et à des activités scientifiques semi-hauturières. Des travaux de réparation, de radoub et de prolongation de la durée de vie des navires seront effectués sur la flotte existante jusqu'à ce que les nouveaux navires soient livrés, et plus de 2 milliards de dollars seront investis sur une base concurrentielle à cette fin. Outre le financement destiné à la construction de navires, le gouvernement du Canada consacre 351,3 millions de dollars pour renforcer, sur une base permanente, les capacités de la Garde côtière canadienne, notamment en améliorant la supervision de la gestion et en faisant la promotion de l'innovation écologique. À ce jour, le gouvernement du Canada a conclu des contrats de plus de 11 milliards de dollars dans le cadre de la SNCN dans l'ensemble du pays. De cette somme, environ 1,6 milliard de dollars, ou 16 %, ont été versés à des entreprises au Québec. https://www.newswire.ca/fr/news-releases/renouveler-la-flotte-de-la-garde-cotiere-canadienne-et-offrir-d-importants-services-a-la-population-canadienne-870410190.html

  • Top Aces sees expanded role for red air as Air Force training evolves

    7 juin 2019 | Local, Aérospatial

    Top Aces sees expanded role for red air as Air Force training evolves

    by Chris Thatcher The federal government's request for proposals for a next-generation fighter jet may be delayed until July, but the company that provides aggressor or “red air” training for the fighter fleet is already preparing for a more data-driven training environment. “More and more, that is how you fight: Take data, process data, share data, accomplish the mission,” said Paul Bouchard, a former CF-188 Hornet pilot and the president and CEO of Montreal-based Top Aces. “We have put a lot of thought into that.” In October 2017, Top Aces, then under the banner of Discovery Air Defence, edged out a joint venture between CAE and Draken International to retain the Contracted Airborne Training Services (CATS) contract, a program it pioneered in the mid-2000s. The 10-year deal is worth $480 million, but includes options that could extend the service to 2031 and the value to as much as $1.4 billion. Though the CATS contract cemented the company's footprint in Canada and strengthened its export potential, Bouchard said it will have to evolve to meet a changing training environment. “CATS is the largest program of its kind in the world today,” he told Skies during an interview at CANSEC on May 30. “That allows us to deliver the current service and have growth potential within that for Canada, which we think is really exciting given the next generation fighter and the future aircrew training program — as they roll out, there will be a need for more advanced training.” That will likely mean the addition of a more advanced aircraft such as the Lockheed Martin F-16A to the Top Aces fleet of Dornier Alpha Jets and Bombardier Learjet 35As, if the Royal Canadian Air Force acquires the Lockheed Martin F-35A Joint Strike Fighter. “That is quite logical,” said Bouchard, though he noted that a decision on the next training jet for the Fighter Lead-In Training (FLIT) program could also be a factor in any future fleet. “What's interesting for Canada is whether they will treat programs like FLIT and advanced adversary as separate or combine them, because the capabilities required for both those aircraft could be quite similar,” he said. The company has invested significantly in a flexible and expandable proprietary mission system architecture for its aircraft to “effectively plug and play different applications or capabilities” as the Air Force, Canadian Army and Royal Canadian Navy develop their digital networks and synthetic training environments. As part of the CATS requirements to enhance training, Top Aces has begun modifying both the Alphas and Lear jets at its facility in Bagotville, Que., updating avionics suites, electro-optical and infrared capability, and night vision systems. It is also configuring some Learjets into special mission aircraft. Consequently, Bouchard said the “workhorse” Alpha Jet would remain the prime adversary fighter for the foreseeable future, and he suspects that could involve more enemy role playing with new pilots as the Air Force seeks to introduce more advanced skills earlier in the training curriculum. “I think that is what is likely to occur,” he said. “As that gets pushed down, it creates an opportunity for CATS and future aircrew training to take on more of the mandate that was inside the CF-188 training pipeline for years, including at 419 [Tactical Fighter Training Squadron].” Top Aces is not one of the qualified bidders for the Future Aircrew Training program (FAcT), but he believes the company has some insight to support any future primate contractor. “We think we offer a very deep understanding of how the Air Force trains, especially the fighter force,” he said. “So I think we have a role in providing expertise and the flying support as it evolves.” The high standards set by the CATS program have been crucial to international opportunities. Top Aces secured a similar training support contract with the German Armed Forces in 2014 and, more recently, a two-year trial with the Australian Defence Force. And it will be a bidder on several large U.S. Air Force and Navy aggressor air programs, as well as a partnership with Leonardo and Inzpire on the U.K.'s Air Support to Defence Operational Training (ASDOT) program. “Canada did it right,” explained Bouchard. “They thought through how they were going to regulate and oversee this, because it is a commercial service. Normally, it would be regulated by Transport Canada as an air regulator. But this is providing a very specialized military mission, so they formulated a MOU [memorandum of understanding] in the mid-2000s and updated it for the CATS program, and it really represents the highest standard that this type of business is regulated to in the world, and that is a calling card for us. It was a differentiator in Germany and Australia.” He said the same market forces that drove Canada to outsource aggressor air over a decade ago are still in play and forcing many NATO allies to consider contracting red air training, opening markets in Europe and Asia. “You have this general downward pressure on operating budgets, you have fourth generation fleets that have had to operate longer and harder than was expected, you have the impact of fifth-gen, which is significant in terms of how air forces train and how robust the training has to be, and then there is an evolving and capable threat,” he observed. “There are less than a handful of companies in the world that are qualified to do this. We are by all metrics the world leader in terms of hours flown, programs we operate, geographic footprint, safety record. We are really proud of that. And it's made in Canada. The CATS contract is a foundation we can build off of ... I think we're in a great position and I'm really excited for our future.” https://www.skiesmag.com/news/top-aces-sees-expanded-role-for-red-air-as-air-force-training-evolves/

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    12 septembre 2023 | Local, Sécurité

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    For decades, national security has been an afterthought for federal governments of all stripes. The problem, say the experts, is that Canadians themselves tend not to take their security seriously — and as a result, neither do the people they elect.

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