2 février 2021 | Local, Aérospatial

Boeing Launchpad Canada

Message de Philippe Huneault, Délégué du Québec à Los Angeles :

L'accélérateur Boeing Launchpad Canada, développé par Boeing HorizonX Global Ventures, Boeing Commercial Airplanes, Boeing Canada et le Service des délégués commerciaux du Canada, prenait fin la semaine dernière.
Je tiens à féliciter les dix entreprises canadiennes participantes, notamment les trois entreprises québécoises @KEITAS SYSTEMS, @Paladin AI et @Warp Solutions Inc. Des félicitations toutes particulières à Paladin AI (@Adofo Klassen et @Mikhail Klassen), qui ont été déclarés gagnants du programme !
La performance des entreprises québécoises à ce programme est un parfait exemple de la pensée novatrice et orientée vers les solutions que le Québec peut apporter à l'industrie aérospatiale en ces temps difficiles.
J'ai très h'te de poursuivre les démarches que la Délégation du Québec à Los Angeles a entamées à Seattle et de continuer à supporter les entreprises québécoises qui visent ce marché à fort potentiel pour leurs produits et services.

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  • Thanatologie forensique: Apport de cerveaux au Québec

    26 octobre 2018 | Local, Sécurité

    Thanatologie forensique: Apport de cerveaux au Québec

    Une experte médico-légale de premier plan obtient une chaire de recherche Canada 150 à l'Université du Québec à Trois-Rivières Le 26 octobre 2018 — Trois-Rivières (Québec) Le Canada est une destination de premier choix pour certains des plus grands scientifiques et universitaires du monde entier. Pour faire du Canada un pays audacieux et innovateur, nous devons tirer profit des percées des scientifiques canadiens et de leurs homologues du monde entier. Aujourd'hui, le ministre de l'Infrastructure et des Collectivités, l'honorable François-Philippe Champagne, au nom de la ministre des Sciences et des Sports, l'honorable Kirsty Duncan, était à l'Université du Québec à Trois-Rivières pour souligner l'attribution d'une chaire de recherche Canada 150 en thanatologie forensique à Mme Shari Louise Forbes. Mme Forbes, qui travaillait auparavant à l'Australian Facility for Taphonomic Experimental Research, mènera des recherches sur les changements qui surviennent dans le corps après la mort pour étudier l'incidence de l'environnement unique du Canada sur les taux de décomposition. Ses travaux de recherche médico-légale amélioreront la collecte, l'identification et le rapatriement des restes humains lors des enquêtes sur des personnes disparues, des cas d'homicides et des victimes de catastrophes de grande ampleur et de crimes de guerre. Mme Forbes est l'une des 25 nouvelles recrues du Programme des chaires de recherche Canada 150 qui ont fait l'objet d'une annonce par la ministre Duncanplus tôt cette année. Des 25 titulaires, 60 % sont des femmes et 40 % sont des chercheurs canadiens qui ont choisi de revenir au Canada pour mener à bien leurs ambitieux programmes de recherche. Chaque titulaire de chaire pourra recruter des étudiants au Canada et ailleurs pour l'aider dans ses travaux dans des disciplines comme la chimie, la microbiologie, la génomique de l'évolution et la psychologie. Le gouvernement du Canada a fait de la science une priorité en investissant 4 milliards de dollars dans la recherche fondamentale dans le budget de 2018 pour renforcer notre capacité d'innover et d'être des chefs de file en matière d'emplois de l'avenir. Citations « Le Canada appuie la science et nos scientifiques qui travaillent vraiment fort pour faire du Canada un chef de file en matière de recherche et d'innovation. Les travaux de Mme Forbes rehausseront encore plus la réputation de premier plan qu'a le Québec à l'échelle internationale dans le domaine de la recherche médico-légale spécialisée et aideront les policiers à identifier les restes des personnes qui sont mortes à la suite de crimes ou lors de catastrophes de grande envergure. » — Le ministre de l'Infrastructure et des Collectivités, l'honorable François-Philippe Champagne « C'est un privilège de célébrer nos nouveaux titulaires de chaires de recherche Canada 150, dont les contributions à la recherche rendront l'économie plus florissante et la classe moyenne plus forte. Leur arrivée représente par ailleurs un apport de cerveaux pour notre pays, un pays dont la réputation n'est plus à faire pour ce qui est de l'ouverture, de la diversité et du bon accueil qu'il réserve aux scientifiques et aux chercheurs passionnés de partout dans le monde. » — La ministre des Sciences et des Sports, l'honorable Kirsty Duncan « Nous croyons que le Canada est vraiment l'un des meilleurs endroits au monde où mener des recherches d'avant-garde et innovatrices, où l'ingéniosité et la créativité humaines sont mises à contribution pour nous faire progresser dans l'atteinte de nos objectifs communs. Les titulaires de chaires de recherche Canada 150 sont la preuve que le Canada réussit à attirer les chercheurs les plus talentueux au monde. Nous sommes fiers qu'ils aient choisi de poursuivre leurs travaux novateurs dans notre pays, et d'encadrer et de former les étudiants universitaires et des chercheurs postdoctoraux qui formeront la prochaine génération de leaders dans tous les domaines de l'économie et de la société. » — Le président du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, Ted Hewitt « Nous sommes très fiers de l'obtention de cette prestigieuse chaire de recherche Canada 150. Seulement 25 chaires de ce type ont été attribuées au Canada, dont 4 au Québec, afin de souligner le 150e anniversaire du pays. Nous nous réjouissons également que la professeure Shari Forbes, de réputation internationale, ait choisi de poursuivre ses travaux à l'UQTR. Notre université continuera ainsi d'accroître sa renommée en criminalistique, tout en développant de nouvelles collaborations, ici et à l'étranger. En plus de former la relève en criminalistique, l'équipe de la Chaire contribuera certainement au succès des enquêtes policières. » — Le recteur de l'Université du Québec à Trois-Rivières, Daniel McMahon Faits en bref Dans le budget de 2017, le gouvernement du Canada a investi 117,6 millions de dollars pour lancer un concours visant à doter les chaires de recherche Canada 150. Il s'agit d'un programme de financement ponctuel destiné à favoriser l'afflux de cerveaux au Canada. Le financement des chaires de recherche Canada 150 provient des trois organismes subventionnaires : le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, et les Instituts de recherche en santé du Canada. Les chaires sont attribuées pour une période de sept ans et reçoivent 350 000 $ par année ou 1 million de dollars par année, selon le type de recherche. La Fondation canadienne pour l'innovation fournit un investissement additionnel de plus de 830 000 $ pour appuyer les chaires de recherche Canada 150. L'investissement dans le Programme des chaires de recherche Canada 150 s'inscrit dans le soutien global du gouvernement à la science, ce qui inclut plus de 4 milliards de dollars pour la science fondamentale. Liens connexes Programme des chaires de recherche Canada 150 Titulaires de chaire de recherche Canada 150 Université du Québec à Trois-Rivières Personnes-ressources Suivez les titulaires des chaires de recherche Canada sur Twitter : @CRC_CRC Nyree St-Denis Conseillère en communications Cabinet de la ministre des Sciences et des Sports 343-291-4051 nyree.st-denis@canada.ca Relations avec les médias Innovation, Sciences et Développement économique Canada 343-291-1777 ic.mediarelations-mediasrelations.ic@canada.ca Ann-Clara Vaillancourt Attachée de presse Cabinet du ministre de l'Infrastructure et des Collectivités 613-697-3778 ann-clara.vaillancourt@canada.ca https://www.canada.ca/fr/innovation-sciences-developpement-economique/nouvelles/2018/10/apport-de-cerveaux-au-quebec.html

  • Contrat d’achat des F-35 | Les négociations entre Ottawa et Lockheed Martin sur le point d’aboutir

    16 décembre 2022 | Local, Aérospatial

    Contrat d’achat des F-35 | Les négociations entre Ottawa et Lockheed Martin sur le point d’aboutir

    Les négociations entre le Canada, Lockheed Martin et le gouvernement des États-Unis concernant l’achat de 88 avions furtifs F-35 progressent. À un point tel que la ministre de la Défense nationale, Anita Anand, laisse entendre dans une entrevue à La Presse qu’elle pourra annoncer de bonnes nouvelles « bientôt ».

  • Canada jumps closer to military-spending target thanks to COVID-19's economic damage

    22 octobre 2020 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

    Canada jumps closer to military-spending target thanks to COVID-19's economic damage

    The Canadian Press OTTAWA — Canada has taken a big leap closer to meeting its promise to the NATO military alliance to spend a larger share of its economy on defence thanks to an unexpected assist from COVID-19. New NATO figures released Wednesday show that largely thanks to the pandemic, Canada is poised to spend the equivalent of more of its gross domestic product on defence this year than at any point in the past decade. That is because the alliance expects the Liberal government to hold Canadian defence spending steady even as COVID-19 batters the country's economic output. Yet defence analyst David Perry of the Canadian Global Affairs Institute says the results are unlikely to appease the United States, as Canada continues to fall far short of its promise to NATO to spend two per cent of GDP on defence. "I think they'll be pleased to see positive momentum," Perry said of the U.S., "but it doesn't resolve their concern about where we are." All NATO members, including Canada, agreed in 2014 to work toward spending the equivalent of two per cent of their GDP — a standard measurement of a country's economic output — on defence within the next decade. The promise followed complaints from the U.S. about burden-sharing among allies and broader concerns about new threats from Russia and China as the two countries increased their own military spending. NATO and the U.S. have repeatedly criticized Canada for not meeting the target, with President Donald Trump in December calling Canada "slightly delinquent" during a meeting with Prime Minister Justin Trudeau. His predecessor, Barack Obama, also called out Canada over its defence spending during an address to Parliament in 2016. The U.S. spends more than any other NATO member on defence, both in terms of raw cash and as a share of GDP. NATO Secretary-General Jens Stoltenberg on Wednesday said the continued importance of increasing military spending would be discussed when defence ministers from across the alliance meet this week. The NATO figures show that Canada is poised to spend 1.45 per cent of its GDP on the military this year. That is not only a big jump from the 1.29 per cent last year, but the largest share of the economy in a decade. It also exceeds the government's original plan, laid out in the Liberals' defence policy in 2017, to spend 1.4 per cent of GDP on the military by 2024-25. That is when NATO members were supposed to hit the two-per-cent target. Yet the figures show the expected increase isn't the result of a new infusion of cash for the Canadian Armed Forces this year as spending is expected to hit $30 billion, up just over $1 billion from 2019. Rather, NATO predicts Canadian GDP will shrink by about eight per cent this year as COVID-19 continues to ravage the economy. The fact Canadian defence spending is expected to remain largely steady despite the pandemic is noteworthy, particularly as there have been fears in some corners about cuts to help keep the federal deficit under control. The NATO report instead appears to lend further credence to recent assertions from Defence Minister Harjit Sajjan, Defence Department deputy minister Jody Thomas and others that the Liberals are not readying the axe. Canada also remained 21st out of 29 NATO members in terms of the share of GDP spent on the military as other allies also got a surprise boost from the economic damage wrought by COVID-19. At the same time, Perry said the government has yet to lay out a timetable for when it plans to meet the two per cent target. Military spending is instead expected to start falling after 2024-25, according to the Liberal defence plan. Despite having agreed to the target during the NATO leaders' summit in Wales in 2014, successive Canadian governments have repeatedly described the NATO target as "aspirational." This report by The Canadian Press was first published Oct. 21, 2020. https://www.kamloopsthisweek.com/news/canada-jumps-closer-to-military-spending-target-thanks-to-covid-19-s-economic-damage-1.24224303

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