15 avril 2024 | Local, Terrestre

ANALYSIS | Shooting blanks: Why so many Canadian defence policies fail to launch | CBC News

With absolutely no exceptions, every defence policy presented by the Canadian government over the past five decades has presented a vision of the world beyond our borders going to hell in a handbasket. The wars may be different, the adversaries might change, threats might have evolved — but the language almost always stays the same.

https://www.cbc.ca/news/politics/defence-policy-canadian-forces-trudeau-nato-1.7172835

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    Interview de fin d’année avec le Ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan

    Par Nicolas Laffont À l'occasion de la fin d'année et peu après le Discours du Trône, 45eNord.ca a discuté de l'année écoulée et de ses futures priorités avec le ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan. Processus d'acquisition D'entrée de jeu le ministre Sajjan se dit satisfait cette année des avancées faites dans le domaine de l'approvisionnement. «Nous avons des projets comme celui des navires de combat de surface qui avance très bien, mais on a également le processus en lui-même qui est plus rapide. Le projet des véhicules de soutien devait prendre cinq ans, mais nous avons été en mesure d'annoncer l'attribution d'un contrat cet été». La livraison des premiers véhicules doit intervenir aussi tôt que fin 2020. «Nous avons aussi le nouvel avion de recherche et sauvetage qui s'en vient [le CC-295 d'Airbus], c'est une autre étape importante pour les Forces armées canadiennes». Inconduites et extrémisme Reconnaissant clairement qu'il y a «encore du travail à faire», le ministre de la Défense fait savoir que dès qu'un incident se produit, «il est pris très au sérieux. Les Canadiens doivent comprendre que notre organisation est «focusé» à répondre vigoureusement à ce genre de situation». «Le travail est en cours et pendant que nous faisons tout notre possible pour créer un environnement de travail plus inclusif, nous voulons aussi nous assurer que notre réponse soit toujours en phase avec la situation». Réserve en force Le Canada sera de plus en plus fragile face aux changements climatiques. Déjà les effets s'en font sentir, avec une augmentation sensible d'évènements climatiques de grande ampleur. En raison de ces changements climatiques, les Forces armées canadiennes se déploient de plus en plus au pays, pour combattre les feux de forêts ou les inondations, «et cela ne fait qu'empirer». La présence de la Réserve et de ses réservistes sera donc plus forte à l'avenir, en raison évidemment du lien entre les unités et leur communauté. «À chaque fois que j'ai visité les troupes et que l'on parle de l'intégration des réservistes avec les forces régulières, les opérations LENTUS sortent du lot. Les réservistes amènent en plus leur propre expérience acquise dans le civil. Je me souviens d'un endroit où l'officier commandant connaissait très bien les lieux parce qu'il travaillait dans le coin et il a pu faire des évaluations rapides et efficaces au point où des vies ont clairement été sauvées.» Les Nations Unies oubliées ? En 2018-2019, le Canada a envoyé une force opérationnelle au Mali pour évacuer des blessés et aider le transport tactique et logistique de la mission des Nations Unies (MINUSMA). La mission s'est achevée à l'été 2019 et s'il se dit «très fier» du travail accompli par les hommes et femmes des Forces armées canadiennes dans la région, le ministre Sajjan reste prudent quand on lui parle de contributions supplémentaires (pourtant annoncées!). «Nous sommes en Ouganda quelques jours par mois pour fournir un transport aérien tactique aux Nations Unies. Mais nous devons prendre une décision avec en tête où nous pouvons avoir le meilleur impact», explique Harjit Sajjan. «Avant d'aller au Mali, nous nous sommes posés cette question de où avoir le meilleur impact. N'oublions pas que pour être efficace, il est important que les nations apportent des capacités de haute valeur, comme nos hélicoptères d'évacuation médicale». Le ministre révèle que des discussions sont en cours avec le Secrétaire général des Nations Unies afin de déterminer quelle pourrait être la prochaine contribution canadienne. «Le travail est en cours, et dès que nous en saurons plus, nous informerons les Canadiens. [...] Nous regardons quelles autres capacités nous pouvons fournir, surtout en lien avec l'Initiative Elsie afin d'avoir plus de femmes dans les opérations de paix, et aussi [en lien] avec les Principes de Vancouver initiés par le général Romeo Dallaire, sur la prévention du recrutement et de l'utilisation d'enfants soldats. L'OTAN, les nouveaux engagements L'analyse réalisée pour établir la nouvelle politique de Défense canadienne a permis d'établir les priorités et l'une d'elle était l'OTAN. Le Canada a donc annoncé de multiples opérations et déploiement sous l'égide de l'alliance transatlantique. Dans cette perspective, la nouvelle lettre de mandat du premier ministre au ministre de la Défense cite l'opération IMPACT au Moyen-Orient, la présence avancée renforcée de l'OTAN en Lettonie, et la mission de l'OTAN en Irak. Et, toujours dans le même esprit, le Canada a annoncé le 4 décembre qu'il augmentait son engagement dans le cadre de l'initiative de préparation de l'OTAN en fournissant 6 avions de chasse additionnels et une frégate de plus, à la demande du Secrétaire général. Par conséquent, la contribution canadienne pourra s'élever au total, si besoin, à 12 avions de chasse CF-18, une force opérationnelle expéditionnaire aérienne, un avion de patrouille maritime, trois frégates, un sous-marin, un bataillon d'infanterie mécanisée, un hôpital mobile et un peloton spécialisé en décontamination chimique, biologique, radiologique et nucléaire. Par ailleurs, on apprenait cette semaine que le ministre de la Défense Harjit S. Sajjan, accompagné de deux parlementaires de l'opposition, se rendra en Italie et au Koweït, du 15 au 19 décembre 2019, pour assister à la cérémonie de passation de commandement du 2e Groupe maritime permanent de l'OTAN, dont le Canada assure le commandement, et pour rendre visite aux membres des Forces armées canadiennes en déploiement. Plus de contributions ? Plus d'argent ? Revenant sur le fait que le Président américain Donald Trump demande, dès que l'occasion se présente, à ses alliés d'augmenter drastiquement leurs dépenses en matière de Défense, le ministre Sajjan rappelle qu'en réalité la précédente administration demandait déjà cela. «En fait, c'est ce que la précédente administration demandait déjà lorsque j'ai effectué ma première visite en tant que ministre de la Défense lorsque le président Obama était là. C'est d'ailleurs pour cette raison que nous avons réalisé une étude approfondie pour étonner même quelque peu nos alliés avec notre plan, cette première politique de Défense qui avait enfin de l'argent attaché avec elle». Même si le président Trump répète à outrance que le Canada est «un peu délinquant» en ne respectant pas sa promesse d'atteindre les 2% de son PIB consacré à la Défense, il est clair pour nos voisins du sud que l'argent ne fait pas tout. «Nous n'avons même pas à leur dire, ce que nous apportons concrètement comme contributions», indique M. Sajjan. «Ils le savent déjà, parce qu'on le fait avec eux. Comme par exemple commander le groupement tactique en Lettonie ou la mission de l'OTAN en Irak. Et n'oublions pas non plus nos contributions en dehors de l'OTAN comme l'Opération NEON où nous aidons au renforcement des sanctions contre la Corée du Nord, avec l'aide des États-Unis. Ils savent aussi la contribution que nous apportons avec l'Opération CARIBBE, cette opération d'interdiction de drogues avec la Garde côtière américaine. Je sais que c'est quelque chose qui est immensément apprécié vu tout ce que est saisi et qui aurait fini aux États-Unis». Finalement, le ministre Sajjan rappelle de nouveau que même si les chiffres ne font pas tout, ils y sont cependant. La nouvelle politique de Défense promet ainsi une augmentation de 70% d'ici 20 ans du budget de la Défense nationale, et ce, sans inclure le coût des opérations qui vient en plus. «La politique de Défense porte strictement sur les politiques et l'approvisionnement dont ont besoin les Forces armées canadiennes. Les opérations ne font pas parties de la politique de Défense et sont une dépense séparée, en plus de ce que nous avons déjà promis». Une chose est sûre cependant, «le seul focus qui est et ne changera jamais pour moi est l'emphase à mettre sur nos hommes et nos femmes en uniforme. Les soutenir eux et leurs familles», de conclure le ministre de la Défense. http://www.45enord.ca/2019/12/interview-fin-annee-ministre-defense-nationale-harjit-sajjan/

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    Minister Blair announces defence investments in Halifax at 15th Halifax International Security Forum

    Today, the Honourable Bill Blair, Minister of National Defence, officially opened the 15th annual Halifax International Security Forum.

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    22 juillet 2019 | Local, Aérospatial

    Fighter jet firms mull pullout from Canadian competition – F-35 could be last plane standing

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN Airbus and Boeing may pull out of a bidding process to supply Canada with new fighter jets because they say the contest is unfairly tilted toward Lockheed Martin's F-35, Reuters has reported. Officials with Saab have expressed similar concerns. The news comes as the request for proposals (bids) is expected to be released soon. Boeing and Airbus have now formally written to the federal government expressing concerns about the current requirements, according to Reuters. Pat Finn, the Assistant Deputy Minister for Materiel at the Department of National Defence, has confirmed one of the companies sent a formal letter but he didn't provide details. It's no secret Saab, Airbus and Boeing are upset with the changes made to the competition after the Pentagon threatened to pull the F-35 out of the $19 billion competition. Officials with Lockheed Martin's three competitors say the Canadian government went overboard to please the Pentagon and the bid package is now designed so the F-35 would emerge as the clear winner. That would make the Royal Canadian Air Force happy since it has always wanted the F-35 stealth fighter. The Liberal government has committed to purchasing 88 new fighter jets. The competition was launched on Dec. 12, 2017. Four fighter jets are to be considered. Those include the F-35, the Super Hornet, the Eurofighter Typhoon and the Gripen. In the fall of 2018 Dassault Aviation pulled out as a potential bidder. The company had planned to offer the Rafale but decided against competing the aircraft because of the extensive requirements for interoperability with the U.S. military. The first delivery of the jets is expected in the mid-2020s with the full capability available in the early 2030s, according to the DND document. The requirements for a new Canadian fighter jet put emphasis on strategic attack and striking at ground targets during foreign missions, according to federal government procurement documents obtained by Postmedia. While the Liberal government has been highlighting the need to buy the jets to protect Canadian airspace and meet the country's commitments to the U.S.-Canadian North American Aerospace Defence Command, the procurement criteria, currently in draft form, provides additional weight to those aircraft that can excel at ground attack for overseas operations. That criteria is seen to favour Lockheed Martin's F-35 stealth jet, say those industry representatives allied with Lockheed's rivals. But Finn, the Department of National Defence's procurement chief, says there is such a wide variety of requirements to meet that while some aircraft might be seen to do well in some areas, they may not excel in others. “Somebody may be better in a high-end scenario but they're worst for cost,” Finn explained in a recent interview. “That's why we say it's the whole piece” that will be considered in the competition. Some will dismiss the latest news about companies threatening to pullout of the competition as a bluff or a last-ditch effort to force changes on the request for proposal package, which is expected to be released in a week or so. That is one scenario. The other scenario is this: the effort to prepare a bid is expected to cost each firm about $15 million and involve up to 30 staff members. It is an extensive process. If Canada's request for proposals is so tilted towards the F-35 – or seen to be tilted – then companies will think twice about committing to that process. (Analysis) https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/fighter-jet-firms-mull-pullout-from-canadian-competition-f-35-could-be-last-plane-standing

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