1 août 2024 | International, Aérospatial

Air Force sees spike in overseas weapon sales

The service expects its annual foreign military sales to grow by 60% this fiscal year due largely to increases in F-35 and F-16 purchases.

https://www.defensenews.com/air/2024/08/01/air-force-sees-spike-in-overseas-weapon-sales/

Sur le même sujet

  • Darpa-Led Satellite Servicing Industry Consortium Forms

    19 juin 2018 | International, Aérospatial

    Darpa-Led Satellite Servicing Industry Consortium Forms

    Michael Bruno An industry consortium aiming to standardize on-orbit satellite servicing technologies, including many rivals for the burgeoning space market, has figured out how to work together, according to an update June ... http://aviationweek.com/awindefense/darpa-led-satellite-servicing-industry-consortium-forms

  • Florence Parly, ministre des Armées, lance la fabrication d’une série de nouvelles frégates à Lorient

    25 octobre 2019 | International, Naval

    Florence Parly, ministre des Armées, lance la fabrication d’une série de nouvelles frégates à Lorient

    L'événement s'est déroulé en présence du délégué général pour l'armement, Joël Barre, du chef d'état-major de la marine nationale, l'amiral Christophe Prazuck, de son homologue grec, le vice-amiral Nikolaos Tsounis , et de Hervé Guillou, PDG de Naval Group. Les FDI sont des navires de combat de la classe 4 500 tonnes avec un équipage de 125 marins. Aptes à intervenir dans tous les domaines de la lutte en haute mer, elles intègrent de nombreuses innovations, parmi lesquelles le premier radar à panneaux fixes entièrement numérique au monde. Le programme FDI a été lancé en 2017. La loi de programmation militaire 2019-2025 prévoit que les deux premières FDI seront livrées à la Marine nationale d'ici à 2025. Cinq FDI seront en service au sein de la Marinenationale en 2030. Sur proposition de l'amiral Prazuck, la ministre des Armées a décidé que l'une d'entre elles portera le nom de l'amiral Louzeau, décédé récemment. Le programme FDI participe au renouvellement et au renforcement de la flotte de surface de la Marine nationale, conformément aux conclusions de la revue stratégique de 2017 qui prévoit 15 frégates de premier rang en 2030 : 8 frégates multi-missions (FREMM), 2 frégates de défense aérienne (FDA Horizon) et 5 frégates de défense et d'intervention (FDI). La première FDI a été commandée en avril 2017 par la Direction générale de l'armement (DGA) à l'industriel Naval Group associé à Thales et MBDA. Sa livraison à la Marine nationale est prévue fin 2023. Complémentaires des FREMM, les FDI sont des navires de combat d'un déplacement de la classe 4 500 tonnes, polyvalents, endurants, embarquant un équipage de 125 marins. Les FDI intègrent dès leur conception un concentré d'innovations : Elles peuvent intervenir dans tous les domaines de la lutte en haute mer: antinavire, antiaérien, anti-sous-marin. Aptes au contrôle de vastes espaces aéro-maritimes, elles sont aussi capables de se défendre contre les menaces asymétriques et de projeter un détachement des forces spéciales. Pour évoluer dans un monde de plus en plus digital, les FDI disposent nativement d'une protection contre la menace cyber et de deux centres numériques (Data Centers) qui regroupent les capacités de calculs de tous les senseurs et armements du bord. Parmi les équipements de nouvelle génération installés à bord on trouve un radar à quatre panneaux fixes permettant une veille permanente sur 360 degrés, fixés sur une m'ture unique, et des lanceurs capables de tirer plusieurs types de missiles antiaériens en fonction de la menace. Ce sont également les premières frégates à pouvoir embarquer simultanément un hélicoptère et un drone de la classe 700 kg. Conçues pour être évolutives, les FDI évolueront en standards de manière à s'adapter à l'évolution de la menace. Depuis la notification du marché par la DGA au printemps 2017, chaque jalon technique a été franchi dans les temps que ce soit pour la conception du navire ou pour le développement des innovations embarquées, gr'ce à un travail collaboratif en plateau réunissant la DGA, l'industrie et la Marine. *L'amiral Pierre Alexis Ronarc'h, connu pour avoir été à la tête de la « brigade Ronarc'h », brigade de fusiliers marins ayant participé à la défense héroïque de Dixmude en 1914, commandant supérieur de la Marine pour la zone des armées du Nord de 1916 à 1918, un des pères de la lutte anti-sous-marine, puis chef d'état-major de la Marine entre 1919 et 1920. https://www.defense.gouv.fr/dga/actualite/florence-parly-ministre-des-armees-lance-la-fabrication-d-une-serie-de-nouvelles-fregates-a-lorient

  • New Spy Drone Flies Non-Stop for a Month

    14 août 2018 | International, Aérospatial

    New Spy Drone Flies Non-Stop for a Month

    Airbus's Zephyr solar-powered drone flew for 25 days straight during a test-flight over Yuma, Arizona beginning on July 11, 2018. The flight represented a record for aircraft endurance, breaking the previous 14-day record also set by a Zephyr back in 2015. The long flight has big implications for military surveillance. Drones like Zephyr could loiter over a low-intensity battlefield far longer than current drones can do. The latest high-endurance Reaper drone maxes out at 40 hours in the air. The propeller-driven Zephyr belongs to a class of aircraft known as “high-altitude pseudo-satellites,” or HAPs. Flying as high as 70,000 feet for weeks or even months at a time, HAPs perform many of the same missions that low-orbiting satellites do. “The main HAP applications are in telecommunications and remote sensing, both civilian and military,” Flavio Araripe d'Oliveira, Francisco Cristovão Lourenço de Melo and Tessaleno Campos Devezas wrote in a 2016 paper. Compared to comms satellites, HAPs have the advantages of lower latency and the ability to land for maintenance or reconfiguration, d'Oliveira, de Melo and Devezas explained. For surveillance missions, HAPs unlike satellites can linger over a particular area and could produce images with better resolution, since they fly lower than satellites do. HAPs could be more vulnerable to enemy defenses, however. Where satellites orbit many hundreds of miles over Earth, beyond the reach of most conventional weaponry, Zephyr — so far the only HAP undergoing realistic testing — attained a maximum altitude of 70,000 feet, well under the ceiling for modern air-defense missile systems such as the Russian S-300. Also, the drone is slow, with a cruising speed of just 20 miles per hour. Zephyr and similar pseudo-satellite drones could be best-suited for operations over lightly-defended territory. In 2016, the U.K. ministry of defense bought three Zephyrs for around $6 million apiece in order to evaluate them for potential use by the military and other government agencies. “Zephyr is a cutting edge, record-breaking piece of kit that will be capable of gathering constant, reliable information over vast geographical areas at a much greater level of detail than ever before,” then-defense secretary Michael Fallon said in a statement. Airbus is still refining Zephyr, in particular its power-consumption. During daytime, the lightly-built solar-powered drone — which features an 82-foot wingspan and yet weighs just 165 pounds — can fly as high as 70,000 feet while also charging its batteries. After the sun goes down, Zephyr runs on batteries ... and slowly loses altitude. During the record-setting Yuma flight, the drone dipped as low as 50,000 feet at night. The challenge for Airbus is to balance weight and power-consumption to produce the optimal flight profile for a particular task. “You have to find the right equation between flying altitude plus battery life, maintaining this or that power,” said Alain Dupiech, an Airbus spokesperson. It's unclear just how long Zephyr could stay aloft under the right conditions. The drone's lithium-ion battery eventually dies, forcing it to land for maintenance. But battery technology is advancing rapidly, driven in part by consumer demand for electric cars, d'Oliveira, de Melo and Devezas wrote. In the short term, a maximum endurance of several months is not inconceivable. But longer flights might not be particularly useful for surveillance and comms missions, Dupiech said. “At this stage, most of those missions are not calling for a year and half up there.” Airbus has scheduled Zephyr's next test flight for October in western Australia. http://warisboring.com/new-spy-drone-flies-non-stop-for-a-month/

Toutes les nouvelles