June 4, 2024 | International, Aerospace
NATO space enterprise must throttle up — or risk falling short
Opinion: Here are some actions NATO should undertake and articulate as specific objectives at the 2024 NATO summit in Washington.
January 22, 2020 | International, Aerospace, C4ISR
By: Nathan Strout
The Air Force awarded Raytheon a $442 million contract Jan. 16 to develop new technology that will allow the B-52 and RC-130 aircraft to utilize the nation's advanced anti-jamming communications satellites.
The contract is part of the Family of Advanced Beyond Line-of-Sight Terminals (FAB-T) program, an effort to replace legacy communication terminals with secure, nuclear-survivable terminals capable of utilizing the nation's most secure communications satellites for protected communications — including Presidential and National Voice Conferencing — and nuclear command and control. In 2015, the Department of Defense divided the FAB-T program into two segments: the Command Post Terminals (CPT) subprogram, which will provide terminals for ground posts and E-4 and E6 aircraft, and the Force Element Terminal (FET) subprogram, which will place new terminals in B-52 and RC-135 aircraft.
The $442,265,464 cost-plus-incentive-fee undefinitized contract will provide for the latter, with Raytheon designing, developing, testing, integrating and providing logistical support for force element terminals for the two aircraft.
Once in place, the terminals will allow airmen within those aircraft to utilize a trio of highly advanced satellites: the Advanced Extremely High Frequency satellites, the Enhanced Polar System satellites, and the legacy Milstar satellites. The FAB-T terminals will also allow command and control of those three constellations.
According to the Government Accountability Office, the force element terminals are essential to the FAB-T program — without them, the program “cannot achieve its planned capabilities that are based on the interaction of bomber aircraft with intelligence, surveillance, and reconnaissance aircraft and CPTs.” The GAO also reports that due to delays in the FAB-T program, all six AEHF satellites are expected to be on orbit before the system is in place, resulting in an underutilization of costly satellite capabilities.
The same day, The FAB-T contracting office award Raytheon a $36,848,806 cost-plus-fixed-fee contract modification to develop a software encryption platform for the system approved by the National Security Administration. Work is expected to be completed by March 2023.
The Air Force Life Cycle Management Center also issued a Request for Information Jan. 15 seeking industry sources that can support the installation of the FAB-T Command Post Terminals worldwide. According to a May 2019 Government Accountability Office report, the CPT subprogram is expected to reach initial operating capability in June 2021 and full operational capability by March 2023. Raytheon is also the primary contractor for the CPT subprogram. Responses to that RFI are due Jan. 22.
 
					June 4, 2024 | International, Aerospace
Opinion: Here are some actions NATO should undertake and articulate as specific objectives at the 2024 NATO summit in Washington.
 
					August 31, 2020 | International, Aerospace
Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le peuple suisse est à nouveau appelé à voter pour ou contre l'acquisition d'avions de combats. La Suisse doit renouveler sa flotte d'avions de combat. Les appareils en service actuellement seront en fin de vie d'ici 2030. Le Conseil fédéral et le Parlement veulent acquérir de nouveaux avions pour six milliards de francs. Les opposants y voient une dépense inutile. Le peuple tranchera le 27 septembre. La votation porte sur le montant maximal destiné à l'achat des avions de combat qui remplaceront les 26 F-5 Tiger et les 30 F/A-18 de l'armée. Les premiers, acquis en 1978, sont déjà obsolètes. Ils ne peuvent voler que de jour et par temps clair, et ne servent plus qu'à l'instruction. Les seconds atteindront leur limite dans une dizaine d'années. Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le gouvernement a décidé de ne soumettre aux urnes que le cadre général de l'acquisition. Le choix du type et du nombre d'appareils nécessaires lui reviendra ensuite. L'enveloppe de 6 milliards de francs, soit deux fois plus que le Gripen, est plafonnée et ne pourra pas être augmentée. Elle pourra en revanche être ajustée à l'évolution des prix. L'achat des nouveaux avions de combat recueille dans les derniers sondages une majorité en sa faveur. Le clivage droite/gauche est marqué, le camp bourgeois étant favorable à la dépense et le camp rose-vert opposé. Objectif controversé Pour le comité référendaire, composé du PS, des Verts et du Groupe pour une suisse sans armée, dépenser 6 milliards de francs pour les avions est une fausse promesse de sécurité. Le scénario d'une guerre aérienne en Europe n'est pas réaliste. La Suisse doit plutôt se préparer à de nouveaux types de menace: catastrophes, cyberattaques, pandémies ou changement climatique. Les avions de combat ne pourront pas contrer ces menaces. Des investissements dans la lutte contre le réchauffement climatique ou la pénurie d'électricité seraient plus sensés, selon les opposants. L'émergence de nouvelles formes de guerre ne remplace pas les anciennes menaces, répond le camp des partisans dans les rangs duquel se trouvent des membres du PLR, de l'UDC, du PDC, du PBD, des Vert'libéraux, du PEV et de nombreuses organisations militaires. Bien qu'il n'y ait pas de conflit armé en Suisse, les conditions peuvent rapidement changer. Il s'agit de l'avenir de la politique de sécurité. Une menace imprévisible La menace évolue constamment et la population doit être protégée contre les attaques imprévisibles, argumente la ministre de la Défense Viola Amherd. L'armée de l'air a de nombreuses t'ches pour lesquelles des avions de combat sont nécessaires. Elle intervient si un avion se trouve en situation critique ou s'il viole les règles. Lorsque Genève accueille une conférence internationale sur la paix, des avions doivent en permanence être dans les airs. L'armée doit également pouvoir contrôler de manière plus intense ses frontières en cas de tensions dans les environs et s'assurer qu'aucun appareil militaire étranger ne survole le territoire. Elle doit protéger son espace aérien en cas d'attaque directe. Coûts à définir L'argent dépensé pour les avions fera défaut dans d'autres domaines comme l'éducation, la santé, la sécurité publique ou sociale ou encore la culture, rétorquent les opposants. Cet achat serait en outre un chèque en blanc donné au gouvernement et au Parlement. Le jour de la votation, les électeurs ne connaîtront pas les coûts concrets. Si l'on prend en compte l'ensemble des coûts sur la durée de vie des avions, la facture s'élève à 24 milliards, avancent les référendaires. Le Département fédéral de la défense estime pour sa part la dépense à 18 milliards. Le PS propose l'acquisition d'avions de combat légers, moins onéreux. Pour Viola Amherd, ces appareils ne valent rien pour le service de police de l'air et encore moins pour protéger la Suisse en cas de crise. Ils ne volent pas assez haut, sont trop lents ou n'ont pas les radars ou l'armement nécessaires. Compensations prévues L'arrêté sur lequel le peuple doit se prononcer inclut des conditions. Il précise que le constructeur remportant l'appel d'offres devra investir 60% du montant du contrat dans l'économie suisse (65% en Suisse alémanique, 30% en Suisse romande et 5% en Suisse italienne). L'achat sera coordonné avec la modernisation du système de défense sol-air. Quatre jets sont encore en lice: le Rafale du français Dassault, l'Eurofighter de l'européen Airbus et les deux avions américains, le Super Hornet de Boeing et le F-35A de Lockheed-Martin. https://www.lematin.ch/story/six-milliards-en-jeu-pour-renouveler-la-flotte-aerienne-de-larmee-442405814349
 
					April 19, 2021 | International, Aerospace
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