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February 13, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

US warns EU against defense market protectionism

BRUSSELS (AP) — The United States is warning the European Union not to use its deepened military cooperation as an excuse to protect Europe's defense industry, saying such practices could undermine NATO.

The U.S. ambassador to NATO, Kay Bailey Hutchison, said Tuesday that "we do not want this (cooperation) to be a protectionist vehicle for EU."

She said Washington is "going to watch carefully because if that becomes the case then it could splinter the strong security alliance that we have."

EU leaders — 22 of whose nations are also members of the U.S.-led NATO alliance — agreed last year to jointly develop or purchase military equipment like drones. Washington is concerned the bidding process might exclude U.S. firms.

http://www.businessinsider.com/ap-us-warns-eu-against-defense-market-protectionism-2018-2

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  • Air Force to Spend $31M to Research How Lasers, Energy Weapons Affect Operators

    September 6, 2019 | International, Aerospace

    Air Force to Spend $31M to Research How Lasers, Energy Weapons Affect Operators

    The Air Force has been testing directed energy weapons—i.e., lasers, high-powered electromagnetic and other radiological weapons—and plans to integrate them into its planes and wargames by next year. But the service still isn't sure how those weapons will affect the people that use them. Air Force Materiel Command announced the award of a $30.8 million contract to General Dynamics Information Technology to establish a rigorous research and testing methodology to establish “scientifically based health and safety standards,” according to a notice on FedBizOpps. The contract is not looking at what happens to humans targeted by directed energy weapons, but rather “to promote maximum use of [radio frequency/high-power microwave] technologies while protecting Air Force personnel from radiation hazards and minimizing negative operational impact,” according to solicitation information archived on BidNet.com. “This requires an extensive research program in dosimetry and bioeffects of ... radiation.” The research contract also calls for GDIT to create “exposure assessment tools” that will alert operators when they have had too much contact with certain forms of energy radiation and preempt over-exposure. The results of this research will be integrated with U.S. and international health and safety standards and adopted by the Air Force Surgeon General for Occupational Health and Environmental Safety. “Our goal is to provide the USAF with the world's best ... radiation bioeffects research and science-based exposure standards, allowing maximum safe exploitation of [directed energy] for national defense,” the solicitation states. https://www.nextgov.com/emerging-tech/2019/09/air-force-spend-31m-research-how-lasers-energy-weapons-affect-operators/159675/

  • Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains

    January 28, 2019 | International, Aerospace

    Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains

    Par : Nicolas Gros-Verheyde | EURACTIV France La Slovaquie, la Roumanie, et bientôt la Bulgarie et la Croatie : les avions de chasse américains séduisent toute l'Europe. Pour les armées européennes, voler non américain se fait rare. Seuls six pays n'ont pas équipé leur flotte aérienne de chasse avec du matériel américain. La Suède et la France s'équipent uniquement en national (respectivement le Gripen et le Rafale), et l'Allemagne avec du matériel européen certes (Eurofigther), mais fabriqué sur son sol. Tandis que l'Autriche, la République tchèque et la Hongrie se sont équipées, le premier, en Eurofighter, les deux autres, en Gripen suédois. Un équipement made in US ou panaché Plusieurs pays, notamment dans le sud de l'Europe (Espagne, Grèce, Italie) ont choisi de panacher, prenant un produit européen (Eurofighter ou Mirage) et un produit américain (F-16 ou/et F-35). Un exemple suivi par le Royaume-Uni. Bien que fervente défenseure du lien transatlantique, la Royal Air Force équilibre ses achats entre le made in USA (F-35) et le made in Europa (l'Eurofighter renommé Typhoon outre-Manche). Un pragmatisme qui a un fondement très industriel. Une partie de ces avions sont fabriqués dans les usines britanniques. Les pays d'Europe centrale ou orientale, proches de la Russie sont plus monogames. Sauf les trois exceptions mentionnées (Autriche, Hongrie, Tchéquie), ils s'équipent exclusivement en matériel américain, en général avec des avions F-16 (Lockheed Martin). Il en est de même des pays du nord de l'Europe (Norvège, Danemark, Pays-Bas, Belgique) tous équipés en matériel américain. La tendance ne s'inverse pas Aucun signe ne montre une inversion de tendance. Au contraire ! Les derniers pays qui viennent de s'équiper (Belgique, Roumanie, Slovaquie) l'ont fait avec du matériel américain. Et les Bulgares et Croates s'apprêtent à suivre ce chemin. Tandis que les Grecs qui vont devoir renouveler leur flotte se t'tent pour déterminer leur choix, qui sera largement guidé par le poids économique de l'investissement. Même les Suisses, équipés actuellement de F-18 de chez Boeing,, se demandent s'ils ne vont pas reprendre américain à nouveau. Cette prééminence américaine pose un défi à l'industrie européenne, et à la velléité d'autonomie stratégique et industrielle des « 27 ». L'équipement en avion de chasse est, en effet, un investissement lourd. Le renouvellement n'intervient que tous les 20 ans en cas d'achat d'occasion, et à 40 ans en cas d'achat en neuf. Autant dire que les acquisitions prévues aujourd'hui vont réduire d'autant les capacités de l'industrie européenne jusqu'à 2060 minimum ! D'autant que l'arrivée de l'avion américain de nouvelle génération F-35 dans la flotte de plusieurs États (Belgique, Danemark, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni) risque de « siphonner » durablement les budgets de ces pays. Le futur avion franco-allemand-espagnol prévu pour 2035-2040 risque d'avoir un marché « bouché » et réduit à l'espace de ses pays constructeurs. Cette inconséquence européenne est troublante. Mais plutôt que d'accuser les États-Unis d'interventionnisme industriel, les Européens devraient se regarder dans le miroir. L'industrie aéronautique européenne est aujourd'hui éclatée entre trois constructeurs (Airbus, Dassault, Saab). Ce qui l'empêche d'avoir un modèle unique et donc de faire des économies d'échelle. Elle ne dispose pas d'une offre de « second choix », les fameux F-16 d'occasion, qui permet de s'équiper à moindre coût. Et les pays européens sont incapables de proposer une offre complète, politique, économique, académique et opérationnelle, comme le font les Américains. Offre qui va de l'accueil des stagiaires officiers dans les écoles militaires aux facilités financières pour l'équipement, à la présence militaire, parfois permanente, dans le pays, à titre de réassurance politique. Or, acheter un avion de chasse est une décision éminemment stratégique. Il ne s'agit pas seulement d'acquérir un véhicule aérien avec des capacités. On achète une « assurance-vie » et une protection militaire. Et on assure ainsi à cet allié un « retour » sur l'investissement politique et militaire. On bénéficie d'une culture stratégique et d'un réseau académique puissant. Tant que les Européens ne pourront offrir l'équivalent, l'avion de chasse, made in US, a de beaux jours devant lui. https://www.euractiv.fr/section/commerce-industrie/news/les-europeens-achetent-de-plus-en-plus-davions-de-chasse-americains/

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    November 29, 2022 | International, Other Defence

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