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February 1, 2023 | International, Aerospace

Ukraine plans to spend $540 million on drones this year

“This is just the beginning. After all, this is not only about the needs of aerial reconnaissance,” Ukraine's defense minister said.

https://www.c4isrnet.com/unmanned/2023/02/01/ukraine-plans-to-spend-540-million-on-drones-this-year/

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  • General Atomics Starts SeaGuardian RPAS Validation Flights In Japan

    October 21, 2020 | International, Aerospace, Naval, C4ISR

    General Atomics Starts SeaGuardian RPAS Validation Flights In Japan

    General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA-ASI), a global leader in Remotely Piloted Aircraft Systems (RPAS), kicked off a series of validation flights on Oct. 15 for Japan Coast Guard (JCG) in Hachinohe, Aomori Prefecture, Japan. GA-ASI is working with Asia Air Survey (AAS) in Japan to conduct the flights. Naval News Staff GA-ASI press release “We appreciate Asia Air Survey's support in demonstrating how the MQ-9B SeaGuardian RPAS can provide affordable, long-endurance airborne surveillance of Japan's maritime domain,” said Linden Blue, CEO, GA-ASI. “The system's ability to correlate multiple sensor feeds and identify vessel anomalies provides effective, persistent maritime situational awareness.” The SeaGuardian flights will validate the wide-area maritime surveillance capabilities of RPAS for carrying out JCG's missions, from search and rescue to maritime law enforcement. These flights follow successful “legacy” MQ-9 maritime patrol demonstrations in the Korea Strait in 2018 and the Aegean Sea in 2019. The Hachinohe operation features the MQ-9B configuration, capable of all-weather operations in civil national and international airspace. The SeaGuardian RPAS features a multi-mode maritime surface-search radar with Inverse Synthetic Aperture Radar (ISAR) imaging mode, an Automatic Identification System (AIS) receiver, a High-Definition – Full-Motion Video sensor equipped with optical and infrared cameras. This sensor suite, augmented by automatic track correlation and anomaly-detection algorithms, enables real-time detection and identification of surface vessels over thousands of square nautical miles. GA-ASI's MQ-9B is revolutionizing the long-endurance RPAS market by providing all-weather capability and compliance with STANAG-4671 (NATO airworthiness standard for UAVs). These features, along with an operationally proven collision-avoidance radar, enables flexible operations in civil airspace. https://www.navalnews.com/naval-news/2020/10/general-atomics-starts-seaguardian-rpas-validation-flights-in-japan/

  • General Dynamics gets $1.2 billion to build short-range air defense systems for US Army

    October 2, 2020 | International, Land, Security

    General Dynamics gets $1.2 billion to build short-range air defense systems for US Army

    Jen Judson WASHINGTON — General Dynamics Land Systems has secured a $1.2 billion contract at the close of the fiscal year to build and deliver the U.S. Army's Interim Maneuver Short-Range Air Defense system, or IM-SHORAD. The Stryker combat vehicle-based system includes a mission equipment package designed by Leonardo DRS. That mission equipment package includes Raytheon's Stinger vehicle missile launcher. The estimated completion date of the contract is Sept. 30, 2025, according to a Defense Department contract announcement. Work locations and funding will be determined with each order. GDLS officials told Defense News on Oct. 1 that the initial order for the contract, worth $230 million, is for 28 vehicles, and that the company has begun ordering material and laying out production for those vehicles. The first vehicle under this contract will roll off the line in roughly 18 months, but the first platoon will be fielded in March 2021 and the first battalion (of 32 vehicles) will be fielded in September 2021 using prototypes already built to fill it out. A second battalion will be fielded in 2022. The Army wrapped up developmental testing for the SHORAD system after experiencing a minor “hiccup” that, when paired with complications due to the coronavirus pandemic, set the program back by a few weeks, Maj. Gen. Robert Rasch, the service's program executive officer for missiles and space, said Aug. 5. The production contract award came on time. It took just 19 months from the time the service generated the requirement to the first delivery of a platform for testing, answering an urgent call in 2016 from U.S. Army Europe to fill the short-range air defense capability gap. The service received the requirement to build the system in February 2018. After a shoot-off in the desert of White Sands Missile Range, New Mexico, and subsequent evaluations of vendors, the Army selected a Stryker combat vehicle-based system with the Leonardo DRS mission equipment package. Training has already begun at White Sands in preparation for an early user assessment in the latter part of the year. https://www.defensenews.com/land/2020/10/01/general-dynamics-gets-12-billion-to-build-short-range-air-defense-systems-for-us-army/

  • Londres lance une force ‘européenne’ de protection maritime dans le Golfe. Les Français répondent présent

    July 22, 2019 | International, Naval

    Londres lance une force ‘européenne’ de protection maritime dans le Golfe. Les Français répondent présent

    Une montée en puissance lente La présence va être renforcée peu à peu. Aux côtés du HMS Montrose (F-236), une frégate de type 23 déjà sur place, la Royal Navy a envoyé sur place le HMS Duncan (D-37), un destroyer de Type 45 destroyer), qui devrait sur zone dans quelques jours, d'ici « le 29 juillet ». Ce sera la « première étape dans ce processus de montée en puissance ». Objectif : protéger les navires battant pavillon britannique (tankers pétroliers, transporteurs de gaz liquéfié, cargos...) naviguant dans le détroit d'Ormuz. Jérémy Hunt a tenu à cependant à avertir que cet effort n'était pas militaire. « Nous faisons cela, non pas accroitre la tension, mais parce que nous estimons que la liberté de navigation est importante. Ce que nous recherchons est la désescalade. » Une force européenne, la France répondra présent « La coalition proposée sera placée sous le leadership européen » a précisé Jérémy Hunt. Plusieurs pays ont été contactés pour participer à cette force, dont le format n'est pas précisé exactement. La France et l'Allemagne notamment a précisé le ministre britannique, ayant indiqué avoir parlé avec ses homologues Jean-Yves Le Drian et Heiko Maas. Les Pays-Bas et la Norvège — deux pays avec une industrie pétrolière — auraient aussi été contactés selon nos informations. La France répondra présent. La ministre de la Défense française Florence Parly l'a assuré ce lundi après-midi après un entretien téléphonique avec son homologue britannique Penny Mordaunt. Il y a une « pleine solidarité » entre la France et le Royaume-Uni « alors qu'un pétrolier britannique est toujours retenu par l'Iran ». « La liberté de navigation dans le Golfe est un enjeu majeur de sécurité pour les Européens » a-t-elle indiqué. « Nous souhaitons travailler ensemble à la garantir. » Une force bien distincte de l'effort américain Cette force agira en coordination avec les autres forces, notamment américaines présentes dans la zone. « On ne peut pas exclure les Américains. Nous agirons en coordination avec eux ils ont des moyens de ravitaillement en mer ou d'information » qui sont utiles à l'opération. Mais cette force sera bien distincte. Le chef de la diplomatie britannique a tenu cependant à le préciser devant la Chambre des communes, il ne s'agit pas pour les Britanniques de s'associer aux efforts américains en cours visant à briser l'Iran. « Cela ne fait pas partie de l'effort maximum des Américains sur l'Iran, car nous sommes engagés dans l'accord sur le nucléaire iranien. » Des règles d'engagement élaborées Les règles d'engagement sont en cours d'élaboration, mais le ministre n'a pas tenu devant la chambre à en donner tous les détails. Les navires marchands devront aussi faire un effort pour accroitre leur sécurité. « On pourra pas assurer un risque zéro, mais on pourra le réduire. » Tous les navires battant pavillon britannique transitant par le détroit d'Ormuz devront ainsi communiquer la date de leur passage pour « nous permettre d'offrir la meilleure protection possible ». D'autres mesures pourraient aussi être nécessaires. Un élément doublement stratégique Ce lancement est intéressant. On avait connu des Britanniques beaucoup plus atlantiques et moins européennes. Aussi quand Jérémy Hunt, un ministre tory bon teint, annonce une « European-led maritime force », menée en « coalition » (1) on se pince presque pour se dire qu'on ne rêve pas. Même le plus audacieux Européen n'aurait jamais imaginé une situation où Londres réclame une opération ‘européenne'. C'est assez ironique qu'il fallait le Brexit (et Donald Trump) pour que les Britanniques se souviennent qu'avoir une force européenne peut avoir autant d'intérêt qu'une force euro-atlantique. Mais c'est une affaire de haute politique. Il s'agit pour les Britanniques de bien se distinguer des efforts américains en cours contre l'Iran. Le chef du Foreign Office l'a répété à plusieurs reprises, interrogé par les députés de la Chambre des communes : cette force sera bien distincte de l'effort américain. Un geste de puissance douce Et placer cette force sous commandement de l'OTAN serait un signe immédiat d'hostilité. Le placer sous commandement européen est un geste de ‘puissance douce'. L'Europe peut afficher qu'elle ne vise que la protection des navires, comme elle l'a fait dans l'Océan indien, contre les pirates somaliens, de concert d'ailleurs avec des navires iraniens. Et parmi les députés britanniques, cette force européenne de lutte contre la piraterie (commandée par les Britanniques depuis Northwood) est un « véritable succès ». Les députés britanniques l'ont rappelé lors du débat à la chambre. Une campagne en cours N'oublions pas cependant un élément principal : Jérémy Hunt est en campagne actuellement pour briguer le poste de chef du parti conservateur et dans le même temps celui de Premier ministre. Il a intérêt à la fois à durcir le ton, mais aussi à affirmer sa différence avec Boris Johnson sur un point essentiel : la coopération avec l'Europe. En défendant la mise en place d'une force européenne dans le détroit d'Ormuz, il affirme sa détermination. En la plaçant sous l'emblème de l'Europe, il affiche la nécessité d'avoir une approche plus mesurée qu'un hard deal. Car, dès aujourd'hui, les Britanniques peuvent et auront besoin des Européens. Un besoin d'Europe Soyons clairs. Même dynamique, la flotte britannique ne suffira pas à assurer la protection des navires soit battant pavillon britannique, soit propriété ou armé par une compagnie britannique. Il faut une coalition d'Européens. Au passage, cela permet à la marine britannique de retrouver un rôle et une mission de premier plan, depuis qu'elle ne participe plus ni à la force anti-piraterie de l'UE déployée dans l'Océan indien, ni dans les opérations en Méditerranée. Le QG d'opération de Northwood va pouvoir ainsi retrouver une vocation maritime qu'il avait perdue avec le départ de l'opération EUNAVFOR Atalanta pour un QG espagnol (pour cause de Brexit). (Nicolas Gros-Verheyde)https://www.bruxelles2.eu/2019/07/22/londres-lance-une-force-europeenne-de-protection-maritime-dans-le-golfe-les-francais-repondent-present/

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