March 3, 2021 | International, Aerospace
Australia makes another order for Boeing’s Loyal Wingman drones after a successful first flight
The design will also be the basis of one of the U.S. Air Force's Skyborg entrants.
June 22, 2018 | International, C4ISR
By: Aaron Mehta
WASHINGTON – The Pentagon's belief in its technology drove the Department of Defense to trust it would have control over the electromagnetic spectrum for years to come, but that decision has left America vulnerable to new leaps in technology from China and Russia, according to a top military official.
Gen. Paul Selva, vice chairman of the Joint Chiefs, has now concluded that the Pentagon needs to ensure it is keeping up with those near-peer nations, let along reestablishing dominance of electronic warfare and networking.
“I think we assumed wrongly that encryption and our domination over the precision timing signals would allow us to evade the enemy in the electromagnetic spectrum. I think that was a bad assumption,” Selva said Thursday at the annual Center for a New American Security conference.
“It's not that we disarmed, it's that we took a path that they have now figured out,” Selva said. China and Russia instead focused on deploying “digitally managed radio frequency manipulation, which changed the game in electronic warfare.”
He added that a DoD study looking at the next decade concluded “We have some work to do.”
Specifically, the United States needs to discover what Selva dubbed “alternative pathways” for communications and command and control systems.
“It doesn't have to be a [radiofrequency] game. It's an RF game because we choose to make it so. And we're going to have to do some targeted investments in expanding the capacity of the networks that we use for command and control and battle management,” he said. “If we fail to do that, we're going to kick ourselves into the force-counterforce game inside the electromagnetic spectrum for the balance of the next couple of decades.
“We have to adapt to that, and adapt quickly. The work has been done to characterize the problem, and the problem is, we're locked in this point-counterpoint fight with two potential competitors who have taken alternative paths. So we have to unlock a different way to do that work.”
March 3, 2021 | International, Aerospace
The design will also be the basis of one of the U.S. Air Force's Skyborg entrants.
June 18, 2019 | International, Naval
Dans le prolongement de l'annonce faite le 23 octobre 2018, Fincantieri et Naval Group signent aujourd'hui à Rome l'Alliance Cooperation Agreement qui fixe les termes opérationnels de l'incorporation d'une joint-venture détenue à parts égales. L'accord, approuvé par les Conseils d'Administration des deux entreprises, incarne l'avancement du projet « Poseidon » et est une étape dans le renforcement de la coopération dans le naval de défense en vue de constituer une industrie européenne de construction navale plus efficiente et compétitive. L'accord a été signé par les PDG des deux entreprises, Giuseppe Bono et Hervé Guillou, à bord de la frégate Frederico Martinengo, amarrée à La Spezia sur la base navale de la marine italienne. Ce navire fait partie du programme franco-italien de frégates multi-missions (FREMM) et souligne la cohérence de vingt ans de collaboration entre les deux pays, leurs industries et leurs marines. La mise en place de la JV, prévue dans les prochains mois et en tout état de cause avant la fin de l'année, sera soumise aux conditions habituelles pour ce type de transaction et à l'obtention des autorisations nécessaires par les autorités compétentes. Gr'ce à la joint-venture, Fincantieri et Naval Group : Partageront leurs bonnes pratiques ; Mèneront ensemble des projets de recherche et développement sélectionnés ; Optimiseront les processus d'achat ; Prépareront conjointement des offres pour des programmes binationaux et les marchés à l'export. Sur la base de cet accord, l'entreprise aura son siège social à Gênes (Italie) avec une filiale à Ollioules (France). Comme cela a été établi dans l'accord d'actionnaires, la JV sera structurée autour d'un conseil d'administration composé de six membres avec trois membres nommés par chaque entreprise. Pour ce premier mandat de trois ans, Fincantieri nommera le Président et le Directeur des Opérations tandis que Naval Group nommera le Directeur Général Executif et le Directeur Financier. En raison de l'importance stratégique accordée par Fincantieri et Naval Group à cette opération, les membres du Conseil d'administration incluront Giuseppe Bono, nommé Président de la JV et Hervé Guillou. Cette JV doit permettre aux deux groupes et à leurs écosystèmes d'améliorer leurs capacités à servir les marines française et italiennes, de remporter de nouveaux contrats à l'export, de développer de nouvelles solutions technologiques et enfin, d'améliorer leur compétitivité de la filière navale des deux pays. A l'occasion de cette signature, Giuseppe Bono et Hervé Guillou ont déclaré : « Nous sommes très satisfaits des résultats obtenus et, surtout, nous souhaitons remercier nos gouvernements qui ont travaillé main dans la main avec nous au cours de ces derniers mois et continuent à le faire aujourd'hui, afin de parvenir à un accord qui puisse assurer la protection des actifs souverains tout en promouvant la coopération entre nos deux équipes. Cet engagement nous permettra de mieux servir nos marines, de fournir le support adéquat aux opérations à l'export et établira de manière effective les fondations d'une industrie de défense Européenne renforcée. » Fincantieri Fincantieri est l'un des plus grands groupes de construction navale au monde et le premier constructeur de navires du monde occidental en termes de chiffre d'affaires, de diversification et d'innovation. Il occupe une place de chef de file dans la conception et la construction de navires de croisière et se positionne comme un acteur de référence sur tous les segments haute technologie de l'industrie de la construction navale, depuis le naval aux navires off-shore, des navires spécialisés hautement complexes et ferries aux méga-yachts, en passant par la réparation navale et la conversion de navires, la production de systèmes et composants jusqu'aux services après-vente. Basé à Trieste (Italie), le groupe a plus de 19.000 employés, dont plus de 8.400 en Italie, 20 chantiers navals répartis sur 4 continents, et a construit plus de 7 000 navires en plus de 230 ans d'histoire maritime. www.fincantieri.com Naval Group Naval Group est le leader européen du naval de défense. Entreprise de haute technologie d'envergure internationale, Naval Group répond aux besoins de ses clients gr'ce à ses savoir-faire exceptionnels, ses moyens industriels uniques et sa capacité à monter des partenariats stratégiques innovants. Le groupe conçoit, réalise et maintient en service des sous-marins et des navires de surface. Il fournit également des services pour les chantiers et bases navals. Enfin, le groupe propose un panel de solutions dans les énergies marines renouvelables. Attentif aux enjeux de responsabilité sociale d'entreprise, Naval Group est adhérent au Pacte mondial des Nations unies. Le groupe réalise un chiffre d'affaires de 3,6 milliards d'euros et compte 14 860 collaborateurs (données 2018). https://www.naval-group.com/fr/news/fincantieri-et-naval-group-signent-un-accord-de-joint-venture-le-projet-poseidon-prend-forme/
February 28, 2020 | International, C4ISR, Security
February 27, 2020 - The U.S. Marshals Service (USMS), a component of the U.S. Department of Justice, has selected BAE Systems for a $126 million task order1 to provide mission critical sustainment and engineering services to the USMS' Information Technology (IT) Division. This press release features multimedia. View the full release here: https://www.businesswire.com/news/home/20200227005087/en/ “We are a leading systems integrator with strong experience unifying the people, processes, and tools needed to deliver advanced solutions for our nation's IT security challenges,” said Mark Keeler, vice president and general manager of BAE Systems' Integrated Defense Solutions business. “We have supported the U.S. Department of Justice for more than two decades and look forward to partnering with the U.S. Marshals in their critical mission.” Through this task order, BAE Systems will provide IT infrastructure engineering, deliver full lifecycle operations, and execute comprehensive portfolio management. The company will also provide service desk support and modernize IT tools and capabilities through cloud service innovations and process improvement. The task order was awarded under the National Institutes of Health (NIH) Information Technology Acquisition and Assessment Center's Chief Information Officer–Solutions and Partners 3 (CIO-SP3) Government-Wide Acquisition Contract. CIO-SP3 is an Indefinite Delivery/Indefinite Quantity contract. This contract is intended to provide information technology solutions and services. BAE Systems delivers a broad range of services and solutions enabling militaries and governments to successfully carry out their respective missions. The company provides large-scale systems engineering, integration, and sustainment services across air, land, sea, space, and cyber domains. BAE Systems takes pride in its support of national security and those who serve. 1 U.S. Marshals Service Functional Operations and Resources for Core Enterprise (FORCE) Services Contract PO: 15UC0C19F00002697 / DJU4500576263. View source version on businesswire.com: https://www.businesswire.com/news/home/20200227005087/en/