October 20, 2024 | International, Land
HENSOLDT secures contract to deliver radar systems for Space Centre Australia
The total order volume of the initial phase is worth around 20 million euros (around $30 million AUD).
July 27, 2018 | International, C4ISR
The Defense Department took a large step forward Thursday in its march toward procuring a secure cloud software, an acquisition potentially worth up to $10 billion.
After a nearly two-month delay, the Pentagon released its final request for proposal for the Joint Enterprise Defense Infrastructure, or JEDI, contract. The long-awaited final request for proposal simply outlines what companies will have to deliver in order to get the lucrative deal.
The Pentagon's cloud project will transition massive amounts of data to a commercially operated secure cloud system. The deal is a "single-source" award, meaning that only one company will win the entirety of the contract.
Amazon is considered the front-runner for the contract since the tech giant already services the cloud system used by U.S. intelligence agencies.
Amazon's cloud boasts the highest possible security level, while many of its competitors' clouds do not. However, other cloud providers — such as IBM, Microsoft and Oracle — have worked with government agencies for many decades. That could help their chances of winning the decade-long JEDI contract.
The DoD "has an incredibly unique and complex technology estate and finite set of talent and resources," Pentagon Chief Information Officer Dana Deasy said in a statement. "We need help learning how to put in place an enterprise cloud and the JEDI Cloud is a pathfinder effort that will help Department of Defense do that."
Experts think the deal could be a seismic development in the defense-tech world.
"This award could be market-shaping," Andrew Hunter, director of the Defense-Industrial Initiatives Group at the Center for Strategic and International Studies, said in an interview.
"I think industry's concern is that this will be the premier cloud contract, the flagship one, and that other parts of DoD will gravitate to it," he added. "So, I think whoever wins the contract is likely to have a real advantage in the marketplace going forward but not necessarily a decisive one."
The desire to award a multibillion-dollar, two-year cloud contract was largely set into motion after Secretary of Defense James Mattis visited Silicon Valley last year.
Federal defense agencies widely use Microsoft's server software, which integrates easily with the company's Azure public cloud, and among employees, Windows is the most popular operating system, Leigh Madden, Microsoft's general manager of defense, told CNBC in a prior interview.
"I think it certainly should make a difference," he said.
Similarly, IBM has worked alongside the military for decades.
"We look forward to submitting a thoughtful, comprehensive proposal for a JEDI cloud that will serve the long-term needs of America's men and women in uniform," Sam Gordy, IBM's Federal general manager, said in a statement.
In the midst of all this, President Donald Trump has attacked Amazon on Twitter, particularly as he rails against The Washington Post, which is owned by Amazon CEO Jeff Bezos, for the newspaper's coverage of his administration.
A Vanity Fair report said the Trump administration might try to "cancel Amazon's pending contract" with the Pentagon, but the department maintains that there has been no political pressure from the White House on who should win the multibillion-dollar deal.
U.S. Navy Commander Patrick Evans, a Department of Defense spokesperson, reiterated that the Pentagon's process is "transparent" and will remain "a full and open competition."
"No companies were pre-selected. We have no favorites, and we want the best solution for the department," Evans said.
Similarly, chief Pentagon spokesperson Dana White also addressed speculation Thursday that Amazon was in the lead to take the lucrative defense contract.
"The secretary has been very clear that we need to be good stewards of the American people's money," White said. "So, nothing is taken for granted and nothing is presumed. We will get a full, open and transparent competition, and this is the first of many competitions with respect to the cloud."
The Pentagon is scheduled to award the contract in September.
— CNBC's Jordan Novet contributed to this report.
October 20, 2024 | International, Land
The total order volume of the initial phase is worth around 20 million euros (around $30 million AUD).
March 4, 2021 | International, Aerospace
Le gouvernement fédéral a approuvé le mécanisme qui permettra les investissements nécessaires à la production de certaines pièces des F-35 de Lockheed Martin par Asco, Sabca et Sonaca.
February 8, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR
Par Challenges le 08.02.2018 à 08h45 Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Objectif de cet "effort budgétaire inédit", selon les propos du président Emmanuel Macron : porter les dépenses de défense de la France à 2% du PIB en 2025, conformément à ce que réclame l'Otan de la part de ses membres, selon cette LPM présentée jeudi matin en conseil des ministres dont l'AFP a obtenu les détails. Le budget des armées, de 34,2 milliards d'euros en 2018, va bénéficier d'une hausse de 1,7 milliard d'euros par an jusqu'en 2022, avant des "marches" de 3 milliards par an à partir de 2023. Soit après la prochaine élection présidentielle. Cette trajectoire budgétaire ascendante contraste avec les réductions d'effectifs et les tensions financières endurées pendant plus d'une décennie par l'institution militaire, avant un redressement amorcé après les attentats de 2015. Reste une incertitude quant à la forte hausse des moyens programmée en 2024 et 2025, au-delà du quinquennat Macron. Pour l'heure, ce sont 198 milliards d'euros de besoins, de 2019 à 2023, qui sont "couverts de manière ferme", souligne-t-on au ministère. Les montants des années suivantes seront "précisés" lors d'une actualisation de la LPM en 2021. L'ancien chef d'Etat-major des armées Pierre de Villiers a appelé à la vigilance mercredi soir sur France 3, en soulignant que la mise en oeuvre de ces projections budgétaires était rarement fidèle aux engagements initiaux. "Nous sommes sur une pente à 1,7 milliard jusqu'en 2022 et ensuite la pente est à 3 milliards à partir de 2023 (...) Evidemment, nous avons l'expérience, il faudra être vigilant" sur l'exécution de ces engagements, a lancé le général, qui a démissionné en juillet 2017 après un conflit avec le chef de l'Etat en raison de coupes budgétaires. Le projet de LPM érige en priorités l'amélioration du quotidien du soldat et à la modernisation d'équipements à bout de souffle, alors que la France est engagée tous azimuts, au Sahel (opération Barkhane), au Levant (Chammal) et sur le territoire national (Sentinelle). Livraisons accélérées et augmentées Après quelque 60.000 suppressions d'effectifs entre 2005 et 2015, le ministère des Armées ambitionne de créer quelque 6.000 postes d'ici à 2025, en particulier dans la cyberdéfense (1.500) et le renseignement (1.500). Pour améliorer la condition des quelque 200.000 militaires français et les fidéliser, la LPM augmente nettement les crédits consacrés aux petits équipements (+34% sur 2019-23) -- gilets pare-balles, treillis... --, à l'entretien du matériel (+30%) et aux infrastructures (+71%), longtemps négligés. Deuxième grand axe : la modernisation accélérée des matériels existants, nombreux à aligner plusieurs décennies de service, a été privilégiée, et l'accent mis sur les capacités de renseignement (avions, drones, satellites...) susceptibles d'accroître l'autonomie stratégique française et européenne. L'armée de Terre va voir le renouvellement accéléré de ses véhicules blindés médians (programme Scorpion), dont 50% des nouveaux modèles seront livrés d'ici à 2025. Les fameux VAB, 40 ans au compteur, seront remplacés par les blindés Griffon, dont 150 exemplaires supplémentaires seront commandés. La Marine obtient quatre pétroliers ravitailleurs nouvelle génération, dont deux d'ici à 2025, un b'timent spécialisé dans le recueil de renseignement, et 19 patrouilleurs au lieu des 17 prévus pour surveiller les zones économiques exclusives françaises outre-mer. L'armée de l'Air se voit allouer 8 avions légers de surveillance, et le renouvellement accéléré de sa flotte quinquagénaire d'avions ravitailleurs Boeing KC-135 par 15 A330 MRTT, dont 12 auront été livrés en 2023. Pour préparer l'avenir, la France va lancer des études sur le remplacement de son unique porte-avions, qui sera retiré du service vers 2040. Seront également financées des études sur le système de combat aérien du futur et sur le char de combat du futur. Sur le plan de la dissuasion nucléaire, clé de voûte de la défense française, les travaux de renouvellement des deux composantes (navale et aérienne) seront engagés au cours du quinquennat. Budget estimé : 37 milliards d'euros entre 2019 et 2025. (Avec AFP) https://www.challenges.fr/entreprise/defense/la-france-veut-consacrer-pres-de-300-milliards-d-euros-a-sa-defense-en-sept-ans_566000