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January 9, 2024 | International, Aerospace

Taiwan's EVA Air finalises up to $10.1 bln order for 33 Airbus planes

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  • SCAF : la phase du démonstrateur est lancée

    February 13, 2020 | International, Aerospace

    SCAF : la phase du démonstrateur est lancée

    Les gouvernements français et allemands ont notifié à Dassault Aviation, Airbus, MTU Aero Engines, Safran, MBDA et Thales le contrat cadre initial de démonstrateur du Système de combat aérien du futur (SCAF) Les gouvernements français et allemands ont notifié ce jeudi 13 février le contrat cadre initial de démonstrateur du Système de combat aérien du futur ou SCAF aux industriels français et allemands associés au programme. En l'occurrence, Dassault Aviation, Airbus et leurs partenaires MTU Aero Engines, Safran, MBDA et Thales. Cette notification était attendue à l'occasion du dernier salon du Bourget en juin 2019, puis avait été repoussée pour l'automne. En parallèle aux discussions serrées entre partenaires industriels sur la répartition du rôle de chacun, les gouvernements français et allemand devaient trouver un accord concernant l'exportation des systèmes, dont le SCAF. Un véritable enjeu pour les industriels impliqués dans ces programmes car leur permettant de trouver des débouchés commerciaux et de pérenniser leurs activités. Et le 16 octobre 2019, Florence Parly, ministre des Armées, pouvait annoncer : « Décision fondamentale qui acte une confiance mutuelle : un accord a été conclu aujourd'hui entre France et Allemagne. Il permet l'exportation d'équipements issus de nos coopérations. Etape essentielle pour construire sereinement une Europe de la défense ambitieuse ». Florence Parly indiquait également que le contrat visant à lancer de démonstration pour le NGF ou "New Generation Fighter" devait être signé "dès janvier 2020" et que "le premier vol devant ensuite être réalisé en 2026". « Cet avion de combat du futur et les drones qui l'accompagneront entreront dans nos forces à l'horizon 2035/2040 », avait précisé Florence Parly. Le contrat cadre notifié aujourd'hui porte sur une première phase (Phase 1A) de 18 mois et lance donc les travaux qui mèneront au développement d'un démonstrateur du NGF avec pour rappel Dassault Aviation associé à Airbus pour le NGF, Airbus et MBDA sur les "remote carriers" à la fois drones et missiles et dont le rôle sera de saturer les défenses ennemies, mener des missions de brouillage, désigner des cibles ou même larguer des missiles; Airbus et Thales sur le "combat cloud" (mise en réseau informationnelle et opérationnelle de tous les éléments du SCAF), et Safran et MTU Aero Engines sur la motorisation du SCAF. "Les entreprises concernées développeront conjointement un environnement de simulation visant à garantir la cohérence des différents démonstrateurs". https://www.air-cosmos.com/article/scaf-la-phase-du-dmonstrateur-est-lance-22559

  • UAE could get up to 50 F-35s in $10B sale

    October 30, 2020 | International, Aerospace

    UAE could get up to 50 F-35s in $10B sale

    By: Joe Gould , Aaron Mehta , and Valerie Insinna WASHINGTON — The U.S. State Department is backing the sale of as many as 50 F-35 joint strike fighters to the United Arab Emirates in an arms deal worth an estimated $10.4 billion, according to multiple reports. The news came as the Trump administration informally briefed Congress on its plan to sell the advanced F-35 fighter to the United Arab Emirates Thursday. It follows weeks of speculation and behind-the-scenes debates about how to structure an F-35 deal with the UAE without cutting into Israel's qualitative military edge. If the sale is permitted by Congress and the UAE opts to buy the full number of F-35A conventional takeoff and landing variants covered by the deal, it would have parity with Israel, which has 50 F-35 “Adir” jets under contract, although the country is considering buying 25 more. (The quantities and values of such deals often change from initial estimates.) Amid reports the Trump administration is fast-tracking the F-35 sales, key Democratic lawmakers are continuing to urge a deliberate approach, citing concerns for Israel's security and the security of the warplane's sensitive technology. “This technology would significantly change the military balance in the Gulf and affect Israel's military edge," House Foreign Affairs Committee Chairman Rep. Eliot Engel, D-N.Y., said in a statement. "The F-35 Joint Strike Fighter is a game-changing stealth platform boasting advanced strike capability and unique sensor technology. The export of this aircraft requires very careful consideration and Congress must analyze all the ramifications. Rushing these sales is not in anyone's interest.” The consultations came days after Israel said last week it will not oppose the U.S. sale of “certain weapon systems,” widely considered to mean the F-35. That followed an agreement between Israel and the United States to upgrade its capabilities to preserve its edge. Engel said he plans to weigh the U.S. legal obligation to maintain Israel's military superiority in the region, as well the question of whether the sale would drive demands from other Middle Eastern nations to buy the F-35 in exchange for normalized ties with Israel. (The Trump administration recently brokered such a pact between Israel and the UAE.) “Israel currently has exclusive access in the region to the F-35, which has guaranteed its military edge over the last several years. As Congress reviews this sale, it must be clear that changes to the status quo will not put Israel's military advantage at risk,” Engel said. “This technology also must be safeguarded from our greatest global adversaries. With Russia and China active in the region, the American people will require unimpeachable assurances that our most advanced military capabilities will be protected.” For decades, the State Department has informally consulted with the Senate Foreign Relations and House Foreign Affairs committees before formally notifying Congress of sales, which affords lawmakers a chance to block them. Though lawmakers typically consider such deliberations sensitive and rarely speak publicly about them, Engel broke the news Congress had been informally notified. Assistant Secretary Bureau of Political-Military Affairs R. Clarke Cooper told reporters Wednesday the department plans to honor that process. Though Reuters has reported there is a goal to have a letter of agreement between the U.S. and the UAE by Dec. 2, Cooper said “there are no dates associated with the work that's being done.” He declined to provide specifics of a potential deal and the State Department declined to comment on Thursday. F-35 prime contractor Lockheed Martin referred questions to the State Department. Israeli opposition would be fatal to the deal in Congress, where Israel enjoys strong support. Two key Democrats introduced legislation earlier this month that would place restrictions on F-35 sales to Middle Eastern nations to address their concerns about both the Israel's security and the security of F-35 technology. On Thursday, Engel invited colleagues to join him in legislation, “to ensure that the sale of these types of weapons adhere to our most important national security goals.” https://www.defensenews.com/2020/10/29/uae-could-get-up-to-50-f-35s-in-10b-sale/

  • Le français Parrot retenu par l’armée américaine pour construire des drones de reconnaissance

    May 31, 2019 | International, Aerospace

    Le français Parrot retenu par l’armée américaine pour construire des drones de reconnaissance

    Sérieusement concurrencée par DJI sur le domaine des drones grand public, la marque française Parrot élargit son horizon. Elle travaille de plus en plus sur des engins destinés aux professionnels et pourrait bientôt décrocher un contrat de grande ampleur. La firme a en effet été retenue (avec cinq autres sociétés) par le département de la Défense des États-Unis pour un appel d'offres visant à développer et à prototyper une nouvelle génération de drones compacts, de courte portée et dédiée à la surveillance (« Short Range Reconnaissance drone » ou SRR). Il semblerait donc que la méfiance envers les acteurs chinois (majoritaires) du secteur fasse le bonheur des autres. Henri Seydoux, président et PDG de Parrot, a réagit à l'annonce de la sélection : « Parrot est fier d'avoir été sélectionné par l'U.S. Army pour travailler sur ce projet hautement stratégique [...] Nous comprenons parfaitement combien un drone ultra-compact, à l'instar de la plateforme de drone ANAFI, possède les atouts pour devenir un élément central de la défense. Nous sommes impatients de mettre à profit l'excellence de notre R&D pour répondre aux plus hautes exigences de l'U.S. Army afin d'intégrer l'efficacité offerte par les drones dans leurs opérations et d'accompagner la plus importante force armée et de défense au monde. » Ledit programme a en effet alloué 11 millions de dollars de dollars à ces six acteurs afin qu'il puisse rapidement mettre au point un drone capable d'être déployé rapidement sur le terrain par les soldats. Il permettra ainsi de disposer d'un meilleur champ de vision et d'une « compréhension immédiate et élargie » de l'environnement dans lequel ils évoluent. Évidemment, l'armée a défini plusieurs objectifs que l'appareil doit remplir pour être sélectionné. Il devra notamment bénéficier d'un temps de vol de 30 minutes et d'une portée allant jusqu'à 3 kilomètres. Son poids ne pourra excéder 1,3 kg/ Il faudra qu'il soit opérationnel en moins de 2 minutes et doit pouvoir être transporté dans les sacs à dos standards utilisés par les soldats. Rien qui ne paraisse impossible à réaliser pour la firme, qui joue très gros sur ce marché. https://www.journaldugeek.com/2019/05/30/le-francais-parrot-retenu-par-larmee-americaine-pour-construire-des-drones-de-reconnaissance/

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