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November 4, 2021 | International, Land

Shaken and stirred: British Army's Ajax troubles cast a long shadow

General Dynamics' land systems operation in Spain has already built half of the hulls for the British Army's Ajax armored cavalry program, even as the future of the vehicle is threatened by noise and vibration problems.

https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/feindef/2021/11/03/shaken-and-stirred-british-armys-ajax-troubles-cast-a-long-shadow/

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  • Could Textron Become Purer A&D Company, Or Be Sold?

    August 13, 2019 | International, Aerospace

    Could Textron Become Purer A&D Company, Or Be Sold?

    By Michael Bruno As a multi-industrial manufacturer, Textron sells many transportation vehicles, from military helicopters to UAVs and even snowmobiles and recreational four-wheelers. But a new corporate review may indicate the conglomerate could be looking to become an aerospace and defense (A&D)-focused company similar to other large rivals, according to analysts. Earlier this month, Textron announced it is reviewing strategic alternatives such as a sale or spin-off of its German Kautex business unit, which produces fuel systems and other functional components. Kautex operates more than 30 plants in 14 countries and generated more than $2.3 billion in revenue in 2018. “Kautex strategic review suggests Textron wants to become an A&D ‘pure-play,'” Cowen analysts Cai von Rumohr and his team said Aug. 9. “The thesis is that ‘new Textron' could command a higher [valuation] multiple closer to A&D pure-plays; and it would have optionality for merger and acquisition (M&A) or stock repurchasing to leverage its new product-driven growth.” The Cowen analysts said they think that if Kautex is disposed of, so could golf cart maker Textron Specialized Vehicles or other units in Textron's Industrial division. In turn, the company could use proceeds and money saved to bolt on smaller A&D businesses, or it could continue active share repurchases to lever benefits of expected growth from new products such as Longitude, Sky Courier, Denali and V-280. “A third possibility is that free of Industrial, Textron could be of interest to larger primes, who would bring more lobbying clout to V-280,” the analysts said. Buying candidates could be Boeing or General Dynamics, they added. Separately, a well-known adviser to the A&D industry recently told Aerospace DAILY that Textron would make a good acquisition target for other A&D players. “Over the years I've had my clients take a hard look at that one,” the consultant said. This person listed Boeing and Lockheed for possible top-level consolidation, although getting Pentagon and Trump administration approval could be more of a challenge than for other recent M&A deals. To be sure, Textron is already an aerospace-focused multi-industrial. According to Cowen, it is the leader in Class 1-5 business jets (which make up 24% of annual total revenue), with positions in helicopters via Bell (26%), defense systems (12%), and then industrial products (25%). Defense as an end-market accounts for 29%. But conglomerates are increasingly breaking up and those with A&D elements continue to focus on those businesses. United Technologies is working to spin off its elevators and air conditioning businesses while adding Raytheon. General Electric is divesting major units but favoring aviation. Honeywell International in recent years has spun off units to focus more on A&D and related businesses. One reason for the portfolio shaping is because of pressure from major investors who want companies to be more focused, in part so they can balance their own investment portfolios rather than relying on a company to try to play in various industries. Goldman Sachs is advising Textron on its review. Textron reiterated that no decision has been made and there are no assurances that the process will result in any transaction being announced or completed. The company has not set a definitive timetable for completion of its review of strategic alternatives and does not intend to make any further announcements related to its review unless and until its board of directors has approved a specific transaction or Textron otherwise determines that further disclosure is appropriate. https://aviationweek.com/business-aviation/could-textron-become-purer-ad-company-or-be-sold

  • Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains

    January 28, 2019 | International, Aerospace

    Les Européens achètent de plus en plus d’avions de chasse américains

    Par : Nicolas Gros-Verheyde | EURACTIV France La Slovaquie, la Roumanie, et bientôt la Bulgarie et la Croatie : les avions de chasse américains séduisent toute l'Europe. Pour les armées européennes, voler non américain se fait rare. Seuls six pays n'ont pas équipé leur flotte aérienne de chasse avec du matériel américain. La Suède et la France s'équipent uniquement en national (respectivement le Gripen et le Rafale), et l'Allemagne avec du matériel européen certes (Eurofigther), mais fabriqué sur son sol. Tandis que l'Autriche, la République tchèque et la Hongrie se sont équipées, le premier, en Eurofighter, les deux autres, en Gripen suédois. Un équipement made in US ou panaché Plusieurs pays, notamment dans le sud de l'Europe (Espagne, Grèce, Italie) ont choisi de panacher, prenant un produit européen (Eurofighter ou Mirage) et un produit américain (F-16 ou/et F-35). Un exemple suivi par le Royaume-Uni. Bien que fervente défenseure du lien transatlantique, la Royal Air Force équilibre ses achats entre le made in USA (F-35) et le made in Europa (l'Eurofighter renommé Typhoon outre-Manche). Un pragmatisme qui a un fondement très industriel. Une partie de ces avions sont fabriqués dans les usines britanniques. Les pays d'Europe centrale ou orientale, proches de la Russie sont plus monogames. Sauf les trois exceptions mentionnées (Autriche, Hongrie, Tchéquie), ils s'équipent exclusivement en matériel américain, en général avec des avions F-16 (Lockheed Martin). Il en est de même des pays du nord de l'Europe (Norvège, Danemark, Pays-Bas, Belgique) tous équipés en matériel américain. La tendance ne s'inverse pas Aucun signe ne montre une inversion de tendance. Au contraire ! Les derniers pays qui viennent de s'équiper (Belgique, Roumanie, Slovaquie) l'ont fait avec du matériel américain. Et les Bulgares et Croates s'apprêtent à suivre ce chemin. Tandis que les Grecs qui vont devoir renouveler leur flotte se t'tent pour déterminer leur choix, qui sera largement guidé par le poids économique de l'investissement. Même les Suisses, équipés actuellement de F-18 de chez Boeing,, se demandent s'ils ne vont pas reprendre américain à nouveau. Cette prééminence américaine pose un défi à l'industrie européenne, et à la velléité d'autonomie stratégique et industrielle des « 27 ». L'équipement en avion de chasse est, en effet, un investissement lourd. Le renouvellement n'intervient que tous les 20 ans en cas d'achat d'occasion, et à 40 ans en cas d'achat en neuf. Autant dire que les acquisitions prévues aujourd'hui vont réduire d'autant les capacités de l'industrie européenne jusqu'à 2060 minimum ! D'autant que l'arrivée de l'avion américain de nouvelle génération F-35 dans la flotte de plusieurs États (Belgique, Danemark, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni) risque de « siphonner » durablement les budgets de ces pays. Le futur avion franco-allemand-espagnol prévu pour 2035-2040 risque d'avoir un marché « bouché » et réduit à l'espace de ses pays constructeurs. Cette inconséquence européenne est troublante. Mais plutôt que d'accuser les États-Unis d'interventionnisme industriel, les Européens devraient se regarder dans le miroir. L'industrie aéronautique européenne est aujourd'hui éclatée entre trois constructeurs (Airbus, Dassault, Saab). Ce qui l'empêche d'avoir un modèle unique et donc de faire des économies d'échelle. Elle ne dispose pas d'une offre de « second choix », les fameux F-16 d'occasion, qui permet de s'équiper à moindre coût. Et les pays européens sont incapables de proposer une offre complète, politique, économique, académique et opérationnelle, comme le font les Américains. Offre qui va de l'accueil des stagiaires officiers dans les écoles militaires aux facilités financières pour l'équipement, à la présence militaire, parfois permanente, dans le pays, à titre de réassurance politique. Or, acheter un avion de chasse est une décision éminemment stratégique. Il ne s'agit pas seulement d'acquérir un véhicule aérien avec des capacités. On achète une « assurance-vie » et une protection militaire. Et on assure ainsi à cet allié un « retour » sur l'investissement politique et militaire. On bénéficie d'une culture stratégique et d'un réseau académique puissant. Tant que les Européens ne pourront offrir l'équivalent, l'avion de chasse, made in US, a de beaux jours devant lui. https://www.euractiv.fr/section/commerce-industrie/news/les-europeens-achetent-de-plus-en-plus-davions-de-chasse-americains/

  • Lithuania signs deal with Rheinmetall for ammunition plant

    April 16, 2024 | International, Land

    Lithuania signs deal with Rheinmetall for ammunition plant

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