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September 6, 2022 | International, Land

Rheinmetall, Anduril join forces on optionally manned fighting vehicle

Anduril Technologies is joining the American Rheinmetall Vehicles-led team to competitively design a new vehicle for the U.S. Army.

https://www.c4isrnet.com/land/2022/09/06/rheinmetall-anduril-join-forces-on-optionally-manned-fighting-vehicle/

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    October 5, 2023 | International, Naval

    Japan, South Korea and the US should mirror AUKUS for destroyers

    But before breaking a celebratory bottle of champagne across the bow, obstacles must be addressed.

  • Exportations françaises d’armement : net rebond attendu en 2021

    June 3, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Exportations françaises d’armement : net rebond attendu en 2021

    Troisième pays exportateur d'armement en 2020, derrière les États-Unis et la Russie, avec 4,9 milliards d'euros de ventes, la France s'attend à un net rebond en 2021, notamment suite à la signature de contrats qui ont été discutés mais n'ont pas pu aboutir en raison de la crise sanitaire, et surtout à « l'entrée en vigueur des trois contrats de vente de l'avion de combat Rafale pour 7,7 milliards d'euros », comme l'a souligné Hervé Grandjean, porte-parole du ministère des Armées, qui a présenté, ce mercredi, le rapport sur les exportations d'armement en 2020 remis au Parlement. « Le contrat signé avec la Grèce est entré dans le carnet de commandes 2021. Notre objectif est une entrée en vigueur des contrats avec l'Égypte et la Croatie d'ici à fin 2021 », a-t-il ajouté. « Au total, l'Europe est la première destination de nos exportations avec 25% de la valeur, contre 17% en 2017. C'est la seconde fois que nous vendons autant en Europe, hors l'année 2019 (47%) marquée par des contrats exceptionnels», souligne Hervé Grandjean. Le Moyen-Orient a représenté 24% du total, l'Asie-Océanie 22%, et l'Afrique 16%. Le Figaro, La Tribune et L'Usine Nouvelle du 3 juin

  • Armement : la bombe incendiaire de la filière défense (GICAT) contre les banques françaises

    October 21, 2020 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Armement : la bombe incendiaire de la filière défense (GICAT) contre les banques françaises

    Michel Cabirol Sous la pression d'éventuelles sanctions américaines et des ONG, les banques françaises, dont BNP Paribas et Société Générale, appliquent désormais des règles de conformité (compliance) excessives pour les entreprises de défense considérées comme des entreprises à risque pour un financement. Cette tendance est en train d'étrangler progressivement une industrie de souveraineté. "Même si vos solutions semblent d'avenir et votre stratégie business cohérente, vous accompagner est trop risqué pour nous compte-tenu de la part de la défense dans vos contrats à venir". "Le critère de souveraineté n'est pas notre sujet quand nous évaluons un financement". "Ce n'est pas parce que la BPI vous soutient, que vous avez des contrats déjà signés, que nous devons vous suivre aveuglément"... Les refus de financement des banques françaises se multiplient, les témoignages désespérés, notamment des PME ou start-up de la filière défense, aussi. Clairement les banques, dont BNP Paribas et Société Générale, jouent de moins en moins le jeu pour financer et/ou accompagner une industrie souveraine, la défense, qui reste pourtant soutenue par l'État français, selon une note du GICAT (Groupement des industries françaises de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres) envoyée aux ministères des Armées et de l'Économie et que La Tribune a pu se procurer. Consciente du danger mortel que cette situation représente pour le secteur, la commission de la défense de l'Assemblée nationale souhaite s'emparer de ce sujet en lançant d'ici à la fin de la semaine une mission flash sur ce dossier extrêmement sensible. "Depuis maintenant deux ans, notre industrie de défense est confrontée à un problème croissant : le système bancaire et financier français est de plus en plus réticent à accompagner nos entreprises du secteur de la défense tant pour leur développement qu'en soutien à l'exportation", constate cette note du GICAT. Les directions juridiques ont pris le pouvoir Les refus de financement se décident principalement dans les bureaux discrets des équipes de juristes et d'avocats (compliance et éthique) devenues très puissantes (trop ?) au sein des directions des banques françaises. Ces dernières refusent des financements dans le développement, voire l'ouverture de compte auprès de jeunes entreprises "pure player" de la défense ou duales, assure le GICAT. "Les organismes bancaires décident de manière discrétionnaire de critères de compliance très poussés, se basant sur les analyses et recommandations de prestataires privés dont il n'est pas précisé le nom ou la nationalité", regrette l'organisation professionnelle. C'est le cas entre autre de la Société Générale, citée dans le document du GICAT : "l'industrie de la défense fait l'objet d'une attention particulière compte tenu du détournement potentiel d'usage de ses produits". "Au-delà des réglementations applicables, le groupe Société Générale définit dans la présente politique des critères additionnels d'exclusion et d'évaluation, qui... https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/armement-la-bombe-incendiaire-de-la-filiere-defense-gicat-contre-les-banques-francaises-860045.html

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