Back to news

September 10, 2018 | International, C4ISR

Refining the Defense Department’s cyberwarrior ‘carrier’

By:

The Department of Defense cyber community knows it has a critical need for a centralized platform for cyberwarriors, so the joint community is collaborating to ensure the final system has everything everyone needs.

The Unified Platform, as it's known, will serve as the aircraft carrier, airplane or tank, so to speak, from which cyberwarriors plan and launch attacks.

“We're working with Cyber Command to make sure we've got the requirement right for Unified Platform,” Lt. Gen. Stephen Fogarty, commander of Army Cyber Command, said during a keynote presentation at TechNet Augusta in August.

He said there was a meeting in August to define what the Unified Platform is and what it is not as to develop it appropriately.

“Where I think we've got to ensure is we don't make this so large that it just becomes unsustainable ... this very bloated program,” he told Fifth Domain in an interview during the same conference.

There was some initial confusion with the Unified Platform, as it was conflated with the Military Cyber Operations Platform, Fogarty said. MCOP has been described in the past as the sum total of portfolios and capabilities Cyber Command's Capabilities Development Group manages with MCOP being CDG's top project.

Others have described MCOP as an environment that will include the Unified Platform along with other services like analytics. In the most recent budget request, DoD asked for $52.4 million in fiscal 2019 under “Joint Common Services,” to include continued development of MCOP.

Fogarty noted that while MCOP was the umbrella and the Unified Platform was one component underneath, sometimes the totality of MCOP was miscast as the Unified Platform, despite the Unified Platform being a more discrete piece of that.

Fogarty added that there is a good understanding of what the essential elements of the Unified Platform are outside of what the services have been directed to do, noting there have been some good sessions with U.S. Cyber Command recently, who is the principal requirement owner.

While the Air Force is serving as the executive agent for the program, Cyber Command's acquisition executive, speaking Sept. 6 at the Billington Cybersecurity Summit in Washington, said the full transition of the program to the Air Force won't occur until fiscal 2019.

The official, Stephen Schanberger, said that while Cyber Command as the requirements owner for the program has a lot of influence to drive the first few deliverables and how they are implemented, each service cyber component will have their say in the program.

Full article: https://www.fifthdomain.com/dod/cybercom/2018/09/07/refining-the-defense-departments-cyberwarrior-carrier/

On the same subject

  • Cisco Warns of Global Surge in Brute-Force Attacks Targeting VPN and SSH Services

    April 17, 2024 | International, C4ISR, Security

    Cisco Warns of Global Surge in Brute-Force Attacks Targeting VPN and SSH Services

    Researchers alert of a global rise in brute-force attacks from TOR nodes targeting VPNs, web interfaces, and SSH services

  • L3Harris, Leidos collaborate on US Army’s ATHENA reconnaissance jet

    July 26, 2023 | International, Aerospace, Security, Other Defence

    L3Harris, Leidos collaborate on US Army’s ATHENA reconnaissance jet

    The companies plan to fit Bombardier Global 6500 jets with radar, electronic and communications intelligence equipment tailored to ATHENA rules.

  • Le choix du remplaçant des F-16 belges va tomber

    October 21, 2018 | International, Aerospace

    Le choix du remplaçant des F-16 belges va tomber

    Le gouvernement fédéral est désormais en mesure de formaliser sa décision sur le choix du prochain avion de combat de l'aviation belge. Un appareil qui devrait voler à partir de 2023 et durant au moins quatre décennies sous les cocardes tricolores rouges, jaunes et noires, qu'il soit américain ou européen. Les principaux ministres de l'équipe Michel ont été «briefés» mercredi par des experts sur le «retour sociétal» (les retombées économiques et les autres formes de coopération offertes à la Belgique) proposé par les promoteurs des deux candidats officiellement en lice pour le remplacement des F-16 vieillissants: le F-35 Lightning II du groupe américain Lockheed Martin et l'Eurofighter – alias Typhoon – du consortium européen éponyme promu par le Royaume-Uni, dans le cadre d'un marché d'État à État. Le 4 octobre, le conseil ministériel restreint (»kern») avait déjà entendu le rapport des militaires qui ont conduit l'évaluation exhaustive des deux candidats, sous l'égide d'une cellule de l'état-major de la Défense, l' «Air Combat Capability Program» (ACCaP), dirigée par le colonel Harold Van Pee. Un troisième candidat potentiel est le Rafale de l'avionneur français Dassault Aviation, pour lequel peu de données chiffrées sont disponibles. Car Paris n'a pas répondu à l'appel d'offres officiel, préférant proposer à la Belgique un «partenariat approfondi et structurant» fondé sur le Rafale et une implication belge dans le développement d'un avion de combat de nouvelle génération, envisagé par la France et l'Allemagne à l'horizon 2040 dans le contexte d'une relance de la défense européenne. Avant le départ de Vandeput? Le gouvernement dispose de toutes les informations pour faire son choix, dans un climat de lobbying intense et alors que les États-Unis ont accepté de prolonger pour une courte période – apparemment jusqu'à la fin du mois – leur offre pour le F-35 qui expirait formellement le 14 octobre, date des élections communales et provinciales. Le ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA), qui quittera cette fonction d'ici le 1er janvier pour devenir bourgmestre de Hasselt, a dit lundi espérer encore pouvoir boucler cet épineux dossier avant son départ. «Ce serait beau si je pouvais conclure les gros investissements. Nous avons mis beaucoup de choses sur les rails qui sont aujourd'hui mûres pour être tranchées», a-t-il déclaré. Le Premier ministre Charles Michel (MR) a lui aussi cité, dans sa déclaration de politique générale à la Chambre le 8 octobre, les chantiers à boucler par le gouvernement – dont les décisions à prendre pour plusieurs programmes militaires, comme le remplacement des F-16 – mais en se montrant plus prudent sur l'échéance. «Nous prendrons très vite, et en tout cas avant la fin de la législature (en mai prochain, NDLR), les décisions qui s'imposent pour chacun de ces programmes», a assuré M. Michel. Car, comme souvent en Belgique, le dossier ACCaP s'est retrouvé mêlé à au moins deux autres programmes militaires: l'achat de nouveaux drones, potentiellement armés, et de nouveaux blindés pour la composante Terre, un programme baptisé «CaMo» portant sur 477 engins et à mener en coopération avec la France. L'approche de la dernière ligne droite avant une décision sur le nouveau chasseur-bombardier a accentué les efforts de lobbying dans ce marché d'un montant initial de 3,6 milliards d'euros – et une quinzaine de milliards sur la durée de vie attendue de l'appareil, soit une quarantaine d'années – même si les offres américaine et britanniques semblent «en dessous» de ce cadre financier, selon des sources concordantes. Les Britanniques, qui promeuvent le Typhoon au nom du consortium Eurofighter (rassemblant également l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie), craignent une décision (trop) h'tive en faveur du F-35 prise en dépit de nombreuses incertitudes sur le coût du chasseur furtif américain, tant à l'achat – la version proposée à la Belgique est le Block 4, dont le développement n'a pas encore été financé – qu'à l'utilisation. Plusieurs ministres britanniques, dont ceux des Affaires étrangères et du Commerce international, Jeremy Hunt et Liam Fox, viennent ainsi d'écrire à leurs homologues belges pour, selon une source informée, leur rappeler l'intérêt pour la Belgique d'une solution européenne, l'Eurofighter étant produit à 75% sur le continent. https://www.lavenir.net/cnt/dmf20181018_01244354/le-choix-du-remplacant-des-f-16-belges-va-tomber

All news