December 19, 2022 | International, Aerospace
L3Harris moves to acquire Aerojet Rocketdyne
L3Harris, the countryâs sixth largest defense contractor, plans to acquire propulsion expert Aerojet Rocketdyne in a deal valued at $4.7 billion.
August 1, 2018 | International, C4ISR
By: Justin Lynch
In the face of increasing cyberattacks, the Department of Homeland Security is creating a new center to share threat information with private companies and kicking off a 90 day sprint to identify the country's digital “crown jewels" that may be especially vulnerable, the agency's secretary said July 31.
The National Risk Management Center is expected to provide a centralized home where firms and local agencies can turn for cybersecurity solutions.
“The next major attack is more likely to reach us online than on an airplane,” said Homeland Security Secretary Kirstjen Nielsen. She added that “intruders are in our systems” and “everyone and everything is now a target.”
The announcement came during a cybersecurity summit that the Department of Homeland Security hosted in New York City. The event aimed to bridge the gap between the government and some of the top companies in the United States that make up the critical parts of American digital life. It was envisioned as the start of a new relationship between the private and public sector.
Nielsen said that the threat center is “driven by industry needs” and is spurred by a ”re-emergence of the nation state threat” and the “hyperconnected environment” of the United States. She said that previously some local governments have called 911 during a cyberattack. In the future, they would call the new cyber center.
“Nation-state actors attempt to infiltrate critical infrastructure operations across multiple sectors,” a Homeland Security fact sheet on the new center read. It added there is a “need for an agreed-upon playbook to integrate government and industry response efforts.”
The center also provides a playbook for risk management and identifying critical cyber supply chain elements. Although there are already government-backed risk-sharing initiatives, DHS leaders hope that the private sector will be more willing to share their challenges and expertise.
Jeanette Manfra, the assistant secretary for the Office of Cybersecurity and Communications at Homeland Security, told reporters that the new center is "going to start small, we don't want to sign up for all sorts of things and then fail.”
The hope is for the national counterterrorism center to be able to focus on incident response, and the center announced on Tuesday will focus on identifying national risk. The risk center will pull staff from other parts of government, Manfra said. A leader has not been named, and it has not received an increased budget.
Throughout the conference, government officials were eager to entice the private sector to work with the new risk center. It appears that business participation is a necessary condition for the centers' success.
The announcement comes just one week after Homeland Security warned that the Russian government is conducting cyberattacks against critical infrastructure sectors that include energy, nuclear, water, aviation and critical manufacturing.
“The warning lights are blinking red," Coats said during a July 13 event at the Hudson Institute.
Current threat sharing portals have been described as ineffective. The Cybersecurity Information Sharing Act of 2015 already attempted to spur collaboration between the public and private sector.
Some experts told Fifth Domain that they did not expect the new portal to be groundbreaking.
Only six companies are currently sharing cyberthreats with government, according to Chris Krebs, head of the national protection and programs directorate at Homeland Security.
“We have to age to establish a value proposition for an organization to share into the system,” said Krebs. He highlighted better supply chain risk management as an incentive that would set the new center apart from previous intelligence-sharing schemes.
Companies can write into their contracts that their vendors must use the threat-sharing portal so they know that contractors are managing third-party risks, Krebs said.
At the event in New York City, some of the largest corporations praised the new program while speaking onstage with top government officials.
“This was an obvious thing to do for a decade but it didn't happen,” said John Donovan, the chief executive of AT&T.
 
					December 19, 2022 | International, Aerospace
L3Harris, the countryâs sixth largest defense contractor, plans to acquire propulsion expert Aerojet Rocketdyne in a deal valued at $4.7 billion.
 
					December 14, 2018 | International, Aerospace
Par Michel Cabirol L'Organisation Conjointe de Coopération en matière d'Armement a lancé le 31 octobre un appel d'offres portant sur le développement, la production et la phase initiale de maintien en condition opérationnelle du drone MALE européen. Le drone MALE européen est sur la piste de décollage. Le système européen de drone de moyenne altitude et longue endurance MALE RPAS (Medium Altitude Long Endurance Remotely Piloted Aerial System) a franchi le 22 novembre dernier une nouvelle étape importante avec la réalisation de la revue de conception préliminaire, ont annoncé jeudi les trois industriels Airbus, Dassault Aviation et Leonardo. D'ici le milieu de la prochaine décennie, le MALE RPAS, conçu pour opérer dans l'espace aérien non ségrégué, pourra être déployé dans le monde entier pour des missions de renseignement, surveillance, acquisition de cible et reconnaissance (ISTAR). "Ce succès majeur intervient après le lancement par l'Organisation Conjointe de Coopération en matière d'Armement (OCCAR) le 31 octobre d'un appel d'offres portant sur le développement, la production et la phase initiale de maintien en condition opérationnelle du programme", ont précisé les trois industriels dans le communiqué. Cette nouvelle étape permettra aux nations et aux industriels partenaires de commencer le développement du système avec des spécifications harmonisées et une vision claire de sa conception globale. Surtout, la question du prix va être importante mais pas déterminante pour le lancement du programme s'il y a bien sûr toujours une volonté politique. D'autant que l'Allemagne se serait engagée à prendre à son compte les surcoûts liés à la motorisation du MALE. Mi-2017, les pays partenaires avaient conclu un accord sur la configuration du drone, optant in fine pour un système biturbopropulseur. Résultat, la facture pourrait s'élever à plus de 2 milliards d'euros, soit plus du double de l'estimation d'un projet précédent (1 milliard d'euros). Airbus, maître d'oeuvre Désigné comme futur maître d'œuvre, Airbus Defence and Space coordonnera la réponse industrielle à l'appel d'offres avec les principaux sous-traitants : Airbus Defence and Space, Dassault Aviation SA et Leonardo. Airbus va passer un test grandeur nature, le groupe n'a jusqu'ici pas particulièrement brillé dans la conduite de certains grands programmes militaires, dont il a eu la maîtrise d'oeuvre (A400M, drone SIDM, hélicoptère NH90...). Et plus spécifiquement quand le groupe européen a lui-même dû développer des missions de défense dans ces programmes. Selon le communiqué, cet appel d'offres témoigne de la volonté des nations partenaires (France, Allemagne, Italie et Espagne) de poursuivre le programme "à l'issue d'une phase extrêmement fructueuse d'alignement des exigences et d'une démonstration convaincante de la qualité et de l'adéquation de la conception proposée à l'usage prévu". La revue de conception préliminaire du système conclut avec succèsl'étude de définition de deux ans lancée en septembre 2016 par les nations partenaires. Trois d'entre elles avaient signé en mai 2015 une déclaration d'intention en vue du développement commun d'un système de drone européen MALE, puis l'Espagne a rejoint le programme en 2016. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/airbus-dassault-leonardo-le-drone-male-europeen-sur-la-piste-de-decollage-800954.html
 
					February 2, 2021 | International, Aerospace
Jean-Marc Tanguy Les deux C-160G Gabriel, opérés par l'escadron « Dunkerque » d'Evreux, vont subir un dernier rétrofit avant le retrait de service. En attendant les Dassault Falcon Archange Les deux C-160G Gabriel, opérés par l'escadron « Dunkerque » d'Evreux, vont subir un dernier rétrofit avant le retrait de service. Cette ultime opération est sensée leur permettre de durer au-delà de 2025, la date de retrait qui était initialement envisagée, et qui, on le sait désormais, ne sera pas tenue, à quelques années près. Leur relève doit être assurée par les trois Archange, co-développés par Dassault Aviation et Thales. Les deux appareils recevront des améliorations dans les interfaces homme-machine et les capacités de recueil de l'appareil. Un retrofit confié à l'AIA de Clermont-Ferrand ? C'est l'AIA de Clermont-Ferrand qui est traditionnellement chargé de ces opérations de rétrofit (comme d'entretien). On ignore, à ce stade, si ce sera encore le cas. Il est, en tout état de cause, le dernier industriel à travailler sur les Transall. Les deux Gabriel sont entrés en service en 1989 et tutoieront donc les 40 ans de service, à leur retrait. Ils ont été de toutes les opérations extérieures majeures depuis la guerre du Golfe, notamment dans les Balkans, en Afghanistan. En Libye, ils ont pris une nouvelle dimension, confirmée au Sahel puis au Levant. Des Gabriel aux frontières russes Les C-160G Gabriel sont néanmoins régulièrement aperçu aux frontières russes, comme d'ailleurs les Mirage 2000D qui ont repris la mission ROEM aux Mirage F1CR, en emportant le pod Astac. L'escadron dispose désormais de ses propres Transall ravitailleurs (également utilisables pour d'autres missions) et de quatre ALSR (avions légers de surveillance et de renseignement) dont deux postés à Barkhane. Des ALSR dont certains répondent au doux nom de Vador. https://www.air-cosmos.com/article/arme-de-lair-vers-un-dernier-retrofit-des-gabriel-24148