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September 22, 2022 | Local, Security

Government of Canada invests $1.4 million to improve search and rescue in Canada

As Canadians play, work, and explore outdoors, search and rescue personnel stand ready to respond when someone goes missing or is in distress. The Government of Canada is committed to supporting the search and rescue community by providing them with the tools and technology they need to best serve Canadians and ensure a seamless approach to operations across the country.

Today, on behalf of the Honourable Bill Blair, President of the Queen's Privy Council and Minister of Emergency Preparedness, Parliamentary Secretary Yasir Naqvi announced $1.4 million in funding for Counter Crisis Technology Inc. The funding, available through Public Safety Canada's Search and Rescue New Initiatives Fund, will support the development and implementation of a shared incident command system software solution for ground search and rescue volunteers and employees, including police services across the country.

The new system will improve ground search and rescue, building on existing technology to enhance coordination between search and rescue organizations, by supporting information, data and knowledge sharing between jurisdictions. It will deliver and support an integrated solution to police services across Canada, fostering mutual aid, cooperation, and improving disaster response capabilities and outcomes for Canadians.

https://www.canada.ca/en/public-safety-canada/news/2022/09/government-of-canada-invests-14-million-to-improve-search-and-rescue-in-canada.html

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  • Enjeux de l’aéronautique et de la défense dans le monde: la vision d’Accenture

    June 17, 2019 | Local, Aerospace

    Enjeux de l’aéronautique et de la défense dans le monde: la vision d’Accenture

    POSTED BY: AEROMORNING « Accelerating through digital turbulence », tel est le titre de l'étude menée par Accenture en 2017, et Jean-Louis Rassineux, directeur exécutif, nous fait partager la vision de sur les enjeux de l'aéronautique et de la défense dans le monde. « Le secteur aéronautique et spatial a connu une croissance extrêmement forte jusqu'en 2014, date où l'on annonçait des prises de commandes record dans les salons, et Accenture souligne une baisse de 50% qui se fait sentir depuis 3 ans au niveau mondial » affirme Jean-Louis Rassineux. L'un des défis majeurs de cette industrie consiste à accroître efficacité et croissance dans un secteur qui évolue lentement avec une baisse des commandes de nouveaux appareils en Europe et en Amérique du Nord, mais aussi avec des climats instables, des risques géopolitiques, et l'aggravation des conditions économiques dans certains pays. L'accroissement des cadences chez les avionneurs pèse aussi sur la production qui doit se réinventer pour être plus compétitive. Au niveau du marché de la défense, Accenture évoque de nouvelles perspectives de croissance avec un budget monde estimé à 400 Milliards de dollars, en augmentation faible sur 5 ans. Toutefois une forte croissance sur ce marché défense est liée aux risques, avec une part croissante sur les drones, une tendance de fond qui se confirme. Bien que le contexte d'évolution soit lent, la défense se porte bien et progresse. En croissance depuis deux ans gr'ce aux succès importants qui se sont succédés, et notamment en France avec le Rafale par exemple, l'enjeu aujourd'hui pour la défense est aussi de remplir les accords de contrepartie qui vont avec les ventes et d'arriver à avoir une chaîne de production qui permette de donner un équilibre à ces contrats, de gérer les questions de compétences dans le pays. L'avènement de la transformation numérique, la clé pour affronter tous les enjeux: Accenture analyse l'avènement de la transformation numérique du secteur aéronautique et spatial comme une tendance lourde pour faire face aux nouveaux enjeux. L'une des clés pour la croissance est d'utiliser des technologies d'analyse de données afin d'améliorer les opérations, la chaîne d'approvisionnement et l'intégration de systèmes afin de proposer des services plus attractifs pour leurs clients. Autre tendance lourde observée, le développement des services. L'aspect service digital est devenu un des leviers de croissance. Pour illustrer cette transformation numérique, dans son enquête menée en 2017, pour 68% des entreprises de l'aéronautique et du spatial des sommes considérables ont été investies dans les technologies du numérique, aussi bien pour l'externe que pour l'interne qu'il s'agisse de fabrication additive, de machine learning, d'applications intelligentes, de réalité augmentée. Déjà à la pointe du mumérique depuis la conception du B777 ou de l'Airbus A350 conçu à l'origine entièrement en CAO sur les logiciels de Dassault Systèmes, les entreprises du secteur Aérospatial et défense vont encore plus loin. Au-delà de cette première étape de transformation numérique l'enjeu majeur est d'appliquer cette transformation numérique déjà initiée sur toute la chaîne de valeur, à partir d'objets connectés. Pour citer un exemple, Accenture et Airbus ont collaboré en « mode start-up » pour développer une application « wearable » de pointe dédiée au secteur de l'aérospatial et de la défense : des lunettes intelligentes qui permettent d'améliorer la précision et de réduire la complexité des procédés d'aménagement des cabines, en réduisant notamment le temps nécessaire pour le marquage des sièges en moins d'un mois.. Opérant à partir d'Instructions contextuelles à propos du marquage, les lunettes connectées affichent toutes les informations nécessaires pour aider l'opérateur à marquer le sol plus rapidement et à éliminer tout risque d'erreur. Cette technologie implémentée par Accenture permet une grande interactivité en offrant un accès à diverses fonctions telles que la lecture de codes à barres, la récupération des données dans le cloud, la commande vocale et la réalité augmentée. Gr'ce à cette innovation technologique, les emplacements des sièges peuvent être marqués au millimètre près, permettant ainsi de vérifier leur précision et leur qualité dans tous les avions. De multiples applications digitales de réalité virtuelle sont ainsi portées sur l'industrialisation, sur le développement du produit. L'enjeu, et on assiste à énormément d'essais, c'est de passer du POC, du pilote, à l'industrialisation en série. C'est en ce sens qu'Accenture développe la stratégie digitale en interne à travers toutes ces opérations de production, de support (finance, RH, achats) et assiste ses clients dans la bonne utilisation du digital de la meilleure façon. Il y a eu beaucoup d'apports à l'industrie gr'ce à la réalité augmentée, avec d'heureux effets sur l'emploi, car elle aide l'aéronautique à avoir une meilleure image, moins ancienne et traditionnelle, apporte un facteur d'attractivité sur les aspects formation, en privilégiant l'interactivité plutôt que les « slides » froids et muets. En somme, selon Accenture, tout l'enjeu est d'arriver à trouver les bons leviers pour permettre en interne d'être compétitif, en externe, d'offrir les meilleurs produits et services. Et le big data dans tout ça ? Dans un avion, on a 1 teraoctet (mille milliard d'octets) de données sur un vol, ce qui équivaut à environ 200 vidéodisques numériques et le traitement des données peut devenir clé pour la maintenance prédictive aéronautique. Le grand enjeu est de savoir comment utiliser ces données en vol, et au sol sans s'y perdre et d'en sortir de la valeur ajoutée en matière de conception, de maintenance, de services et de coûts. Par exemple, imaginer des avions performants qui s'échangent les données de vol, ou tout un tas d'applications qui permettent en temps réel de saisir des trajectoires, d'utiliser des données, d'optimiser des routes, d'économiser du gazoil, etc.... Le data lake est né, pour stocker et restituer de façon intéressante et innovante les données en vue de plus de compétitivité. L'intelligence artificielle améliore les Fonctions du support, offre de nouvelles possibilités en matière financière ou en matière de ressources humaines Big data, et mise en place d'applis intelligentes (machine learning), permettent d'envisager l'intelligence artificielle dans l'industrie aéronautique et de doper la croissance. l'innovation, les universités et les startups : Les entreprises aéronautiques ont compris cette nécessité de se remettre en question. L'innovation est aujourd'hui un levier incontestable et c'est pourquoi en 2017 la connection avec les startups et les universités est devenue centrale dans les stratégies de ces dernières, qui de plus en plus nouent des partenariats pour être à la pointe de la meilleure bonne idée, pour créer les meilleurs produits et services, et puisqu'on est souvent en phase de proof en concept, pour réduire les coûts au cas où le POC ne dépasserait pas la phase pilote. Autant pour la recherche que pour le financement, les alliances réduisent les coûts, agrègent des compétences, et en s'allliant avec des petites startups, les grandes entreprises créent de cette façon un réseau d'intelligence. La solution est de se rapprocher de l'écosystème de l'innovation et de travailler collaborativement. Accenture, acteur du digital, apporte de nombreuses solutions gr'ce à son expertise, à sa philosophie, et non moins important son sens de la responsabilité sociétale, n' oubliant jamais l'humain au centre de ces évolutions. Elle remporte ainsi de nombreux succès, fait d'ailleurs partie des grands partenaires du Gifas depuis plus de 10 ans, est aussi partenaire des plus grands salons mondiaux tels Le Salon du Bourget ou celui de Farnborough. « On vit une période fabuleuse d'opportunités, et Accenture, au cœur de cette révolution est passé de consultant à acteur, partenaire industriel du marché de l'aéronautique et de la défense. Nadia Didelot pour AeroMorning http://www.aeromorning.com/blog/enjeux-de-laeronautique-de-defense-monde-vision-daccenture/

  • Canadian cities from coast to coast Recognize Naval Reserve Centennial

    September 24, 2023 | Local, Security

    Canadian cities from coast to coast Recognize Naval Reserve Centennial

    Today the Naval Reserve will mark 100 years of service to Canada with approximately 4,000 Naval Reservists marching in Freedom of the City parades across 24 Canadian cities.

  • Irving Shipbuilding pushing for two more Arctic/Offshore Patrol Ships, all Halifax-class work

    October 16, 2018 | Local, Naval

    Irving Shipbuilding pushing for two more Arctic/Offshore Patrol Ships, all Halifax-class work

    DAVID PUGLIESE, OTTAWA CITIZEN Efforts are underway by Irving Shipbuilding to convince the federal government to build two more Arctic and Offshore Patrol Ships at its Halifax yard. Irving also wants all Halifax-class frigate maintenance work to remain with the yard in Nova Scotia. The federal government is looking at splitting up maintenance work on the Canadian navy's frigates between Irving and Davie in Quebec. It is facing objections from Irving and its workers. The Irving employees warn the change will mean lost jobs in Nova Scotia. There are seven frigates that will need maintenance on the east coast over a five-year period. But military and Department of National Defence officials are concerned the Irving yard in Halifax won't be able to handle all the work as it will also be in the midst of building the new fleet of Canadian Surface Combatant warships. There are concerns that the navy's capabilities could suffer if the work isn't split up between Davie and Irving yards. Each of the aging Halifax-class frigates will require about a year of maintenance work, and in 2020 the navy expects maintenance will be needed on two frigates at the same time. Irving argues it needs all the Halifax-class work and the construction of two more AOPS so it doesn't face any downturn in activity at the yard. “ We are hopeful that the Government of Canada will continue the work at Halifax Shipyard,” Irving spokesman Sean Lewis said of the frigate maintenance. Asked about the need for two more AOPS, Lewis stated the following: “We continue to work closely with the Government of Canada to explore the overall transition between the Arctic and Offshore Patrol Ship (AOPS) and Canadian Surface Combatant (CSC) programs. The construction of additional AOPS for Canada or international export opportunities is being considered and various options pursued. At this time it is premature to comment further.” In response to Irving's push, Davie official Frédérik Boisvert has noted that while Irving has $ 65 billion in contracts from the federal government and 1900 workers, Davie has received less than $ 1billion in contracts and has less than 200 people working and 1400 laid off workers, waiting to be recalled. “If they (Irving) are concerned about Nova Scotian jobs, they should explain to their union workers why they are building their own tugs in Eastern Europe,” Boisvert added. https://lfpress.com/news/national/defence-watch/irving-shipbuilding-pushing-for-two-more-arctic-offshore-patrol-ships-all-halifax-class-work/

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