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September 28, 2023 | International, Other Defence

From parts to hypersonics, Pentagon sees 3D printing as ‘game changer’

A top Pentagon official said additive manufacturing can be used to make complex parts for hypersonic weapons.

https://www.c4isrnet.com/pentagon/2023/09/28/from-parts-to-hypersonics-pentagon-sees-3d-printing-as-game-changer/

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  • Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    October 25, 2019 | International, Aerospace

    Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    OPINION. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », mais le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Par un groupe de travail au sein de l'association EuroDéfense-France(*). « Le Charles-de-Gaulle aura besoin d'un successeur », souligna Florence Parly, la ministre des Armées, au salon Euronaval en octobre 2018, en lançant une phase d'études pour la construction d'un nouveau porte-avions, qui pourrait entrer en service vers 2030-2035. Ce successeur sera-t-il isolé ? Ou en couple, comme le furent naguère le Clemenceau et le Foch ? Cette solution serait militairement préférable, permettant à la France de toujours disposer d'un b'timent opérationnel, tandis que l'autre serait en période d'entretien ou en refonte. Elle aurait toutefois un coût élevé, celui d'un seul navire étant estimé à 4,5 milliards d'euros. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. Dans sa mission Clemenceau, entre mars et juillet derniers, le groupe aéronaval, constitué par le Charles de Gaulle avec ses b'timents d'accompagnement, a participé à l'opération Chammal contre Daech au Moyen-Orient, puis a rejoint la région indo-pacifique pour une série d'exercices avec les marines de l'Inde, des États-Unis, de l'Australie, de la Malaisie et du Japon, et celle de l'Egypte au retour. Combat contre le terrorisme et coopération avec nos alliés ont ainsi conjugué guerre et diplomatie. Dans sa réponse aux propositions d'Emmanuel Macron en vue d'une réforme de l'Union européenne, Annegret Kramp-Karrenbauer, alors successeure d'Angela Merkel à la présidence de l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne et désormais ministre fédérale de la Défense, a écrit en mars de cette année : close volume_off « Dès à présent, l'Allemagne et la France travaillent ensemble au projet d'un futur avion de combat européen... La prochaine étape pourrait consister en un projet hautement symbolique, la construction d'un porte-avions européen commun, pour souligner le rôle de l'Union européenne dans le monde en tant que puissance garante de sécurité et de paix. » Macron et Merkel ont plusieurs fois exprimé l'ambition d'une « armée européenne. » Si l'Europe veut tenir sa place dans le concert mondial, tel qu'il se dessine avec des puissances-continent comme les États-Unis, la Chine, la Russie ou l'Inde, elle doit se doter d'une capacité militaire d'action. Des progrès indéniables sont intervenus depuis 2017, notamment gr'ce à la coopération structurée permanente, le fonds européen de défense, l'initiative européenne d'intervention, mais l'Union européenne reste loin de disposer d'une véritable armée. Un porte-avions aux couleurs de l'Europe ? L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », comme l'écrit la responsable allemande, et ce navire pourrait montrer le drapeau de l'Union sur les mers du globe et aux approches des continents. Cependant, le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Un porte-avions est un navire de guerre et, s'il peut remplir des missions diplomatiques de présence, il faut, pour que celles-ci soient crédibles, qu'il soit aussi capable d'intervenir militairement, qu'il sache effectivement combattre. À cet égard, la réalisation d'un porte-avions peut paraître prématurée à ce stade de l'intégration européenne. Florence Parly a, en effet répondu, sur les ondes de RMC en mai dernier qu'on « n'en est pas encore tout à fait là », en évoquant les conditions d'emploi d'un tel navire. Il ne suffit pas de construire un porte-avions, encore faut-il être capable de l'employer, certes pour des missions de présence, mais également, si besoin, pour un engagement armé dans une crise ou un conflit. Or, l'on n'en est pas encore là. La brigade franco-allemande est déployée au Sahel, mais seules ses composantes françaises se battent contre les djihadistes, la partie allemande intervenant dans le cadre d'un mandat de l'Union européenne pour la formation de l'armée malienne ou dans celui de la force onusienne Minusma. Conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Faut-il alors abandonner l'idée d'un porte-avions européen ? Ne pourrait-on conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Un second porte-avions serait utile à la marine française. Un porte-avions européen signifierait une étape considérable dans l'affirmation militaire de l'Union, qui est en chemin. Pourquoi la France ne partagerait-elle pas un porte-avions ? Pourquoi ne pas engager la construction de deux porte-avions, le premier français, le second franco-européen. Celui-ci naviguerait sous le pavillon national, celui-là naviguerait généralement sous le pavillon européen et arborerait le pavillon français, quand l'autre serait indisponible. Le premier serait financé uniquement par la France, le second le serait à parité par la France et l'Union européenne. Budgétairement, l'opération serait rentable : la France disposerait toujours d'un porte-avions opérationnel pour un coût probablement inférieur à celui d'un b'timent et demi, une série de deux s'avérant à l'unité moins couteuse que la construction d'un seul ; l'Union européenne acquérait, de même, un porte-avions pour un budget inférieur sans doute à la moitié du coût d'un navire isolé. Mettre en œuvre un groupe aérien de qualité Des questions sensibles seraient à résoudre, l'une des premières concernant le groupe aérien. En effet, la puissance d'un porte-avions réside dans sa capacité mettre en œuvre un groupe aérien de qualité. La France est le seul pays européen à utiliser, comme les Etats-Unis, des catapultes. La Grande-Bretagne, l'Espagne et l'Italie déploient des porte-aéronefs avec des avions à décollage court ou vertical, aux capacités moindres. Le groupe aérien, qui réunirait des appareils capables d'apponter sur les nouveaux porte-avions, serait logiquement composé du futur avion de combat européen, dont le projet a été lancé par la France et l'Allemagne, rejointes par l'Espagne. Des évolutions devraient intervenir chez nos amis, soit, comme en Allemagne, pour reconstituer une aviation embarquée, soit, comme en Italie, pour choisir un avion européen. Des décisions significatives seraient nécessaires, mais ces pays, voire d'autres, pourraient vouloir développer une composante aéronavale moderne, dès lors que le coût budgétaire, né de la coopération européenne, serait raisonnable. Rien, techniquement, n'interdirait de créer des flottilles européennes d'avions pouvant apponter sur ces porte-avions. Un autre sujet délicat est celui de l'équipage. Celui-ci rend opérationnel le porte-avions, qui accueille des flottilles d'avions et l'état-major du groupe aéronaval. Il doit être en phase avec son navire. Quand le b'timent franco-européen naviguerait sous pavillon français, son équipage devrait, au besoin, pouvoir être engagé au combat, y compris avec ses membres non français. Développer la participation, étendre le périmètre de discussion S'agissant du groupe aéronaval, d'ores et déjà l'habitude est prise que des navires européens intègrent celui du Charles-de-Gaulle, y compris dans des missions d'engagement armé. Ainsi, chaque fois que ce b'timent a été déployé pour frapper Daech, il a été accompagné par de tels navires (allemand, belge, britannique et italien). L'existence d'un porte-avions européen développerait la participation des marines européennes, en contribuant à leur excellence. L'accord devrait intervenir également sur le système de propulsion, nucléaire ou non, et sur le partage des t'ches entre les industries navales, la France étant la seule, à ce jour, à disposer des compétences pour construire des porte-avions dotés de catapultes. D'autres sujets seraient à traiter, comme le port d'attache, la formation et l'entrainement, la chaîne de commandement... La résolution de certaines questions serait indéniablement délicate, mais possible en présence d'une vraie volonté politique. Cette volonté témoignerait d'un pas nouveau et significatif de l'Europe pour sa défense et de son rayonnement dans le monde. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/pourquoi-pas-un-porte-avions-franco-europeen-831590.html

  • Pentagon seeks 21% boost in cyberspace spending

    March 13, 2023 | International, C4ISR

    Pentagon seeks 21% boost in cyberspace spending

    The fiscal 2024 budget blueprint arrives days after the Biden administration shared its latest national cybersecurity strategy.

  • Arms firms fret over delays in Franco-German fighter project

    October 8, 2019 | International, Aerospace

    Arms firms fret over delays in Franco-German fighter project

    PARIS — France's Dassault Aviation and Europe's Airbus have stepped up pressure on France and Germany to agree the next stage of a planned fighter project, warning Europe's arms industry and long-term security could suffer from delays. The two companies are the leading industrial partners in a project to build a futuristic swarm of manned and unmanned warplanes, announced by the leaders of France and Germany two years ago and expanded earlier this year to include Spain. Dassault and Airbus won a 65-million-euro contract in January to develop the concept for the Future Combat Air System (FCAS) but await a new contract to build demonstrators for interlinked fighters, drones and an “air combat cloud” by 2026. Dassault Aviation Chief Executive Eric Trappier told a conference of policymakers last month that the demonstrator contract should have been launched in September but this was now slipping towards end-year. He called it “indispensable” to avoid any further delays in order to maintain the 2026 deadline. No reason has been given for the delays. On Monday evening, Dassault and Airbus amplified those warnings with a joint statement. “If Europe does not move forward — and move forward quickly — on this program, it will be impossible to maintain the development and production capabilities needed for a sovereign defense industry,” the companies said. The warplane system is expected to be operational from 2040, with a view to replacing Dassault's Rafale and the four-nation Eurofighter, in which Airbus represents both Germany and Spain. The new project faces competition from Britain and its plans for a new combat jet dubbed “Tempest”. The fighter developments have split the current Eurofighter consortium and led to a shake-up of industrial alliances as Italy joins Eurofighter partner Britain on Tempest, turning its back on Germany and Spain, while Sweden has opened the door to abandoning its independent stance by co-operating on Tempest. The FCAS is also overshadowed by differences between France and Germany over export policy after Germany imposed a ban on arms exports to Saudi Arabia over the death of killing of journalist Jamal Khashoggi a year ago by Saudi operatives. The ban, recently extended to March, has raised questions over a long-delayed Saudi border systems contract run by Airbus. Airbus Defence and Space Chief Executive Dirk Hoke called in a magazine interview last week for the export ban to be relaxed. German Chancellor Angela Merkel's government has said there is no reason for the moratorium to be lifted. France and Germany are expected to discuss the issue at ministerial meetings this week. AIRBUS SETBACK IN SPAIN Airbus meanwhile faces a battle to shore up its position as a top defense contractor in Spain after losing its place as the representative of Spain's interests on the upcoming fighter project to local defense electronics firm Indra Sistemas. Spain last month named Indra as contractor for the Spanish share of the Franco-German-led FCAS project, displacing Airbus from the Spanish coordinator role it had held on Eurofighter. Airbus officials have pledged to try to overturn the move but a Spanish defense source told Reuters there was no change in the decision. Indra declined to comment. Publicly, Airbus has said it was surprised by the decision but has pledged to continue to defend Spain's best interests. Dassault will meanwhile mark a long-awaited milestone on Tuesday when it delivers the first of 36 Rafales to India, the culmination of a fighter procurement process that lasted almost 20 years and involved the cancellation of a much larger deal. La Tribune reported on Monday that France and India were discussing a possible repeat order for 36 more Rafales. (Additional reporting by Emma Pinedo Gonzalez in Madrid, Tassilo Hummel in Berlin, Editing by Deepa Babington) https://business.financialpost.com/pmn/business-pmn/arms-firms-fret-over-delays-in-franco-german-fighter-project

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