September 18, 2024 | International, Aerospace
Marines reopen second WWII-era airfield to prep for future combat
The opening of the North Carolina airfield follows the service’s June recertification of an airfield on the Pacific island of Peleliu.
February 1, 2021 | International, Aerospace
PARIS – The French Air and Space Force will be getting 12 new Rafales to replace those being removed from its inventory to sell to Greece, Defense Minister Florence Parly said on Friday.
The announcement comes a few weeks later than originally planned. Florence Parly had told the National Assembly's Defense Commission last fall that the order would be placed with Dassault Aviation, the Rafale's manufacturer, before the end of 2020. But that was on the provision that the $3 billion contract with Greece for 18 Rafales had been signed by then.
That Greek contract was signed four days ago so Parly took the opportunity of a visit to Dassault Aviation's flight controls factory in Argonay, in the French Alps on Jan. 29 to announce the new order. Eric Trappier, Dassault's CEO, had earlier underlined the fact that “Dassault is the only aircraft manufacturer in the world to design and produce its own flight controls.”
Contracts to Dassault Aviation, Safran (the engine manufacturer) and Thales (the electronics) will be sent out by the DGA procurement agency in the next few days. While no price tag was given during Parly's announcement, Trappier has previously said one fully equipped fighter costs around 100 million euros, or $121 million, which would put the total package at just under $1.5 billion.
Parly said the 12 new aircraft would be built to the latest F3R standard. She added, “We sold 18 Rafales to Greece so it is indeed 18 Rafales that Dassault will have to produce.” Speaking at the factory, the defense minister said one Rafale would come off the production line per month, “which represents 7,000 jobs, jobs within Dassault of course, but also within the 500 or so small and medium enterprises that work with you.” She added that in the current economic context “this is good and reassuring news”.
The French Air and Space Force will have its 12 new aircraft by the end of 2025. Together with the 28 Rafales that Dassault is to deliver between 2022 and 2024, this will bring the total to 129, as projected in the 2019-2025 military program law.
September 18, 2024 | International, Aerospace
The opening of the North Carolina airfield follows the service’s June recertification of an airfield on the Pacific island of Peleliu.
October 5, 2020 | International, Aerospace
Eric Felley La votation à peine digérée, le lobbyiste Thomas Borer invite déjà des parlementaires à une rencontre la semaine prochaine avec les Américains du Super Hornet. Malaise dans la commission. Les urnes sont encore tièdes d'une mince victoire pour l'acquisition des avions de combat que déjà s'active à Berne le lobbyisme pour influencer les élus sur le choix de l'avion: le Rafale de Dassault, l'Eurofighter d'Airbus, le F-35 de Lockheed Martin ou le Super Hornet de Boeing. Et les défenseurs de ce dernier ont semble-t-il tiré les premiers. En début de semaine déjà, certains conseillers nationaux, membres de la Commission de la politique de sécurité, avaient reçu une invitation pour venir se renseigner à propos de leur engin. Cette invitation leur est parvenue par quelqu'un de bien connu à Berne, l'ancien ambassadeur devenu lobbyiste de haut vol, Thomas Borer. Dans un courrier envoyé par mail, il invite certains parlementaires à rencontrer le directeur des ventes et du marketing des avions de combat à l'international chez Boeing, qui est responsable du processus d'achat en Suisse. Il semble que des élus de tous les partis l'ont reçu, même chez les socialistes et les Verts, opposés à l'achat. «Ils n'ont aucune pudeur, s'agace l'un d'entre eux. J'ai renvoyé aussitôt pour dire que je ne viendrai pas». Ancien pilote de F/A-18, le directeur des ventes de Boeing, Alain Garcia, «aimerait prendre le temps de parler avec vous sur l'offre de Boeing et de répondre directement à vos questions», écrit Thomas Borer. Les parlementaires pouvaient choisir entre mardi 6 octobre ou mercredi 7 octobre pour le rencontrer. D'après nos sources, la grande majorité d'entre eux ont refusé. S'abstenir de tout contact avec les avionneurs La Commission de la politique de sécurité, dans sa composition d'avant les élections de 2019, avait convenu que ses membres devaient s'abstenir de tout contact avec des avionneurs. Certains socialistes avaient été remis à l'ordre parce qu'ils étaient allés visiter un constructeur en Italie, pour chercher une alternative aux quatre concurrents qui sont en lice. La nouvelle commission, sous la présidence d'Ida Glanzmann-Hunkeler (PDC/LU), n'a pas encore pris de décision à ce sujet. Sa prochaine réunion a lieu les 26 et 27 octobre prochains. En interpellant les parlementaires seulement quelques jours après la votation, Thomas Borer est fidèle à sa réputation de fonceur. Mais au Parlement, ce n'est pas peut-être pas la meilleure façon d'agir. L'ancien ambassadeur a déjà troublé la quiétude des Chambres fédérales dans le cadre de ses activités de lobbyiste pour le Kazakhstan. Une enquête avait été ouverte contre lui par le Ministère public de la Confédération (MPC) et le conseiller national Christian Miesch (UDC/BL) suite à des soupçons de corruption passive et d'acceptation d'avantages. Mais l'affaire a été classée sans suite en juillet 2019. https://www.lematin.ch/story/avions-de-combat-boeing-passe-a-lattaque-426165817866
October 10, 2023 | International, Land, Security
The framework agreement for 155mm artillery ammunition concluded in July runs until 2029 and represents gross potential order volume of around €1.2 billion