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February 21, 2024 | International, Land

EDGE Group and Shipbuilding Giant Fincantieri Launch Multi-Billion Euro Joint Venture

Agreement will create a UAE-based naval manufacturing pipeline worth an estimated 30 billion euros.

https://www.epicos.com/article/790255/edge-group-and-shipbuilding-giant-fincantieri-launch-multi-billion-euro-joint-venture

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  • With all eyes on F-35, AAR Corp. looks to ‘clean up’ on F-16 maintenance

    June 25, 2019 | International, Aerospace

    With all eyes on F-35, AAR Corp. looks to ‘clean up’ on F-16 maintenance

    By: Jill Aitoro LE BOURGET, France — As a number of companies chase maintenance work for the F-35 fighter jet, one firm is planning to clean up on the F-16. AAR Corp., a provider of global aftermarket aviation services, won a seven-year contract with the Royal Danish Air Force to perform maintenance, repair and overhaul, or MRO, of Pratt & Whitney F100-220 engine components on the General Dynamics F-16 jet. That win, which came earlier this year, is the latest contract in a long-term relationship supporting the Danish Air Force and air forces across Europe with MRO services from the company's repair facility in Amsterdam. That facility supports about $500 million in business, much of it tied to the F-16. But the win also fits well into a grander ambition of the company, said Brian Sartain, senior vice president of repair and engineering services at AAR. “Everybody is running after F-35 capability,” he said. “But the Danish Air Force is still going to have a lot of F-16s for [the] foreseeable future, and there are still a lot of F-16s being flown around the world.” Sartain pointed to “fairly high-publicized” F-16 maintenance requirements coming down the pike for the U.S. Air Force, which reported a 65-70 percent mission-capable rate for F-16s in 2017. AAR has a facility in Duluth, Minnesota, which is located across the airfield from Duluth Air National Guard Base — home to the 148th Fighter Wing and its F-16C Fighting Falcon aircraft. “Our facility is a perfect place to do F-16 maintenance. We have a lot of capacity,” Sartain said. “We're three tiers down in the F-35 component chain in the way those are being bid. We're not interested. So, while others are running after the F-35, we're cleaning up on the F-16s, and we're happy to do that.” Beyond its F-16 work, AAR supports airframe maintenance for the P-8A fleet for the U.S. Navy, Australia and Foreign Military Sales customers. AAR and Boeing were each awarded seven-year indefinite delivery, indefinite-quantity contracts from Naval Air Systems Command in February 2018, competing each year on workshare. While Boeing performed the majority of work the first year, AAR was recently awarded the larger slice for 2019. “Frankly, we're moving to majority share because our performance has been better,” Sartain said. “Most program competitors will need to sub tier to another company and then stack profit on top of profit. For government, it's a better value for us to be a prime, and for us it's a great opportunity to be a prime.” AAR supports the P-8 work from its Indianapolis facility, where at any given time four P-8s are in the hanger, with two steady lines of maintenance. The location is also used to support maintenance of Southwest Airlines 737 aircraft, which share the same airframe as the P-8. It's gone from about 20 percent military and 80 percent commercial maintenance to an even split. “Southwest asks that airplanes are returned in about 21 days. For the P-8, the Navy allows 60 for turnaround,” Sartain said. “The airplane comes in, we have a small crew of 30-40 that hold secret clearances and lock in a room the top-secret equipment, and then I can flex mechanics from Southwest to take advantage of that experience." https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/paris-air-show/2019/06/21/with-all-eyes-on-f-35-aar-looks-to-clean-up-on-f-16-maintenance/

  • La Belgique joue la montre avec le F-35

    October 9, 2018 | International, Aerospace

    La Belgique joue la montre avec le F-35

    Non, la Belgique ne demande pas aux Américains de prolonger leur offre, dans le cadre de la procédure de remplacement de ses avions de combat. Simplement, elle leur demande jusqu'à quand les conditions remises pour le F-35 resteront valables. Autrement dit, s'ils tiennent tant que cela à l'échéance du 14 octobre. Nuance. Difficile de savoir si la partie qui se joue actuellement est à classer au rayon "diplomatie de haut vol", ou mérite plutôt l'étiquette "négociation de marchands de tapis". L'acte I s'est joué le mois dernier: l'ambassadeur américain en Belgique a fait mine de mettre un petit coup de pression sur le gouvernement fédéral. En septembre, donc, Ronald Gidwitz rappelait que l'offre déposée par le groupe américain Lockheed Martin pour le remplacement des chasseurs-bombardiers belges F-16 expirait le 14 octobre, soit précisément le jour du scrutin communal. Pareille offre ne pourrait être indéfiniment prolongée, avertissait l'ambassadeur, empruntant les manières d'un représentant de commerce. Ou du moins pas en l'état; en cas de prolongation, il ne faudrait pas s'étonner de voir les conditions – prix, délais ou termes en matière d'entraînement – être modifiées. Pas dans le bon sens, fallait-il comprendre. Une sortie pour la galerie, en quelque sorte. Puisqu'elle ne semble avoir infléchi en rien la ligne de Michel. À qui l'on doit la composition de cet acte II: Un comité ministériel restreint avait déjà t'té le terrain, et un autre, réuni ce jeudi matin, a validé l'option. La Belgique va, en quelque sorte, demander la prorogation de l'offre déposée par le constructeur du F-35, postposant dans la foulée sa décision dans cet épineux dossier.Une fois de plus, puisque, outre ce 14 octobre, le sommet de l'Otan de juillet dernier avait déjà été présenté comme date limite pour trancher. Enfin, c'est un tantinet plus subtil que cela. Alors précisons. Non, la Belgique ne demande pas officiellement d'allongement du délai. Michel a mandaté son ministre de la Défense, le N-VA Steven Vandeput, qui est chargé de demander aux Américains la date de péremption de leur dossier. Autrement dit, à quel point tiennent-ils à l'échéance du 14 octobre, jusqu'ici brandie? Nuance, nuance. Le "chouchou" F-35 La Belgique joue donc la montre dans ce dossier complexe. Qui mérite une piqûre de rappel. Les 54 F-16 dont dispose la Belgique approchent tout doucement de l''ge de la retraite. Les premiers ont été livrés en 1982 et la limite des 8.000 heures de vol mène à un déclassement débutant en 2023. Voilà pourquoi le Fédéral a lancé en mars 2017 un appel d'offres portant sur l'acquisition de 34 nouveaux avions de combat, qui devraient être livrés à partir de 2023 et être tous opérationnels pour 2030. L'affaire est délicate. Parce que, assez rapidement, le F-35 américain a été désigné par l'amicale des bruits de couloir comme étant le "chouchou" – autrement dit, les jeux seraient déjà faits. Est venue s'ajouter en avril dernier une vraie-fausse polémique sur la possibilité d'allonger la durée de vie de nos vaillants, quoique vieillissants, F-16. Bref, pourquoi aller dépenser la modique somme de 3,6 milliards d'euros – et encore, il ne s'agit ici que de la mise initiale, les estimations de la facture totale tournant autour des 15 ou 18 milliards répartis sur une quarantaine d'années – alors que l'on pourrait "doper" la flotte existante pour un coût nettement plus doux? Ajoutez à cela la France et son Rafale, qui ont décidé de jouer les trouble-fêtes, en proposant, en septembre 2017, à la Belgique un "partenariat approfondi et structurant", et ce en dehors du cadre du marché lancé par Michel. La rumeur voudrait d'ailleurs que la Belgique n'ait jamais réellement inspecté en détail la proposition française. Résultat, le 14 février dernier, seuls deux avions étaient officiellement encore en lice: le F-35 Lightning II de l'américain Lockheed Martin – le plusonéreux des programmes d'armement de l'histoire militaire américaine – et l'Eurofighter Typhoon, porté par un consortium mêlant Royaume-Uni, Allemagne, Espagne et Italie. Et, faisant bande à part, le Rafale de Dassault. Comme si le remplacement des F-16 n'était pas suffisamment compliqué comme cela, d'autres marchés relatifs à la Défense sont ouverts – et non des moindres. De quoi créer des interférences ou pousser la Belgique à établir une sorte de balance générale, par le miracle d'une diplomatie de haut vol? Drones, navires et véhicules de combat Il est question de drones, puisque la Défense a prévu l'acquisition, pour 226 millions d'euros, de quatre drones susceptibles d'être armés. Alors que les militaires s'intéressaient à un engin "made in USA", le géant européen de l'aéronautique Airbus s'est invité et a proposé ses services. Il est question de navires, puisque la Belgique et les Pays-Bas ont entamé ensemble une procédure d'achat de seize navires militaires – deux frégates et six bateaux de lutte contre les mines chacun – pour une facture dépassant les 4 milliards. Aux Néerlandais de superviser le programme des frégates, aux Belges de présider celui des navires anti-mines. Mentionnons encore l'achat de 477 véhicules de combat pour les forces terrestres belges, pour lequel un préaccord à 1,1 milliard est établi avec la France. Benoît Mathieu, Journaliste Source: L'Echo https://www.lecho.be/economie-politique/belgique/flandre/la-belgique-joue-la-montre-avec-le-f-35/10056153.html

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