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July 13, 2021 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

Contracts for July 9, 2021

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  • US Navy signs contract to buy Fat Albert replacement aircraft

    July 22, 2019 | International, Naval

    US Navy signs contract to buy Fat Albert replacement aircraft

    The US Navy has officially signed a contract to purchase a used C-130J Super Hercules aircraft from the British Royal Air Force. The aircraft will replace the C-130T, nicknamed Fat Albert, used by the Blue Angels flying demonstration team. The contract was signed in Marshall Aerospace and Defence Group's chalet at the Royal International Air Tattoo. Fat Albert has served the Blue Angels for 17 years since 2002, providing logistics and transportation. It retired in May this year. The aircraft flew more than 30,000 hours and now serves as a ground-based training platform in Fort Worth, Texas. The flying demonstration team will continue to fly US Navy or Marine Corps C-130s until the arrival of the replacement C-130J aircraft. US Naval Air Systems Command Air, ASW, Assault and Special Mission Programs Program executive officer major general Gregory Masiello said: “We are very much looking forward to taking delivery of the aircraft and are very grateful to both the UK MoD and Marshall for enabling this transaction and know that the C-130 Hercules will be a valuable addition to our flying demonstration team.” Marshall is tasked with the job of delivering maintenance, painting and modifications to the US Navy's new C-130J that is being acquired from the RAF. RAF Number 2 Group commanding officer air vice-marshal David Cooper said: “This is a superb indication of the co-operation between the militaries of the UK and the US. We know that this C-130 Hercules will serve the US Navy as well as it has served the RAF.” Blue Angels is the US Navy's flight demonstration squadron https://www.naval-technology.com/news/us-navy-signs-contract-to-buy-fat-albert-replacement-aircraft/

  • Marshall Aerospace and Defence Group awarded support contract for Blue Angels’ ‘Fat Albert’ replacement

    July 10, 2019 | International, Aerospace

    Marshall Aerospace and Defence Group awarded support contract for Blue Angels’ ‘Fat Albert’ replacement

    Marshall Aerospace and Defence Group today announced it has been awarded the contract to support the entry into service of the new replacement for the Blue Angels' iconic Fat Albert, the C-130 support aircraft to the US Navy's air display team. Marshall will carry out the maintenance, paint and minor modifications to the US Navy's replacement ‘Fat Albert'. The aircraft is a C-130J that the US Navy recently purchased from the UK Ministry of Defence to replace the C-130T that the squadron used for 17 years until May this year. The new Fat Albert is a C-130J Super Hercules, four-engine, six-blade turboprop, which will serve as the US Navy's Blue Angels' Flight Demonstration Squadron (NFDS) logistical support aircraft. Marshall is the global leading C-130 support company outside of the USA and was chosen for its proven expertise with C-130 modification, repair and overhaul (MRO) work and the speed with which the company can make the aircraft operational. Marshall Aerospace and Defence Group CEO, Alistair McPhee said: “We are delighted that the US Navy has chosen us to work on the new replacement Fat Albert,” “We have worked on Royal Air Force C-130s for 50 years and we support a number of international Air Force customers who have purchased surplus C-130s from the UK MOD. It feels like a natural progression for us, but very exciting nevertheless. Fat Albert is a head-turner and plays a major part in supporting the Blue Angels' display team.” Lt. Col. Robert Hurst, PMA-207 C/KC-130 Deputy Program Manager, said: “Our partners at the UK MOD and Marshall have been instrumental in executing this extremely challenging acquisition. We have always had a great partnership with the UK and this only adds to the list of ways we accomplish great things together.” Fat Albert takes part in the display team's flying performances, as well as being a crucial support aircraft, carrying the Blue Angels' tools, spare parts and engineers. Marshall will perform depth maintenance on the aircraft, which will include an upgrade to some of its systems to align them to the retired Fat Albert. It will then be repainted in the Blue Angels' iconic blue, yellow and white colours. Fat Albert is expected to be operational in the first part of next year. https://marshalladg.com/insights-news/marshall-aerospace-and-defence-group-awarded-support-contract-for-blue-angels-fat-albert-replacement

  • L’Europe doit mieux réfléchir à sa défense

    June 7, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    L’Europe doit mieux réfléchir à sa défense

    (B2) Les Européens doivent faire preuve d'une volonté politique forte pour faire face à leur environnement géostratégique en bouleversement, selon Louis Gautier, ancien secrétaire général pour la défense et la sécurité nationale (SGDSN). C'est ce qu'il a expliqué lors des entretiens de la défense européenne à Paris jeudi (16 mai) Un constat qui demande une réflexion politique Un environnement international délétère, une Europe fragilisée L'environnement international et stratégique est « délétère ». Des conflits qui semblaient oubliés reviennent et se rapprochent de la périphérie de l'Europe. De nouveaux dangers (cyber, spatiaux...) se développent. Le constat que fait Louis Gautier n'est pas engageant. D'autant que l'Union européenne est aujourd'hui « fragilisée », minée par ses divisions. La situation s'est « encore détériorée ces derniers mois » : l'Italie, membre fondatrice de l'Union, rejoint le camp des eurosceptiques, le Royaume-Uni persiste dans les errements du Brexit, etc. Le « plus inquiétant » concerne les inconnues qui pèsent sur l'équation de sécurité européenne : le démantèlement des accords conclus à la fin de la guerre froide, l'amoindrissement de la garantie américaine, ou ce qui est ressenti comme tel, et les provocations russes. Etre lucides ! Face à ces enjeux, c'est à un constat de lucidité qu'appelle Louis Gautier : « les Européens sont incapables de faire face collectivement à une crise majeure qui surviendrait sur leur sol ou à un conflit dans leur voisinage ». La nécessité d'agir de façon stratégique doit être repensée. « L'Europe, c'est en fonction du monde qu'on doit la faire. Et la défense européenne doit répondre à ces défis de sécurité ». L'Europe et sa défense, telles qu'elles avaient été imaginées au début, doivent être « réinterrogées ». Et n'envisager la défense européenne qu'au « prisme des capacités » est une erreur. On doit commencer par « dessiner un paysage stratégique, déterminer des enjeux, définir nos intérêts collectifs ». Une relance possible ? Certes, la relance du projet de défense européenne est bien engagée, avec une « multiplication des projets », entre 2016 et 2018. C'est « très positif ». Avec le fonds européen de défense (FEDef), « pour la première fois, il y aura sur la table de l'argent européen pour la défense et cela va changer la donne ». Mais ces projets n'ont un intérêt que si l'on a des organes de gouvernance, une définition des priorités. Il s'agit maintenant de faire attention à ce que cet élan ne retombe pas. On a « déjà connu des poussées similaires » lors du Traité de Maastricht, du sommet de Saint-Malo ou du retour de la France dans l'OTAN et du Traité de Lisbonne. Et l'élan a toujours fini par s'essouffler. Les objectifs sont « à chaque fois revus à la baisse, jamais mis en œuvre, restés en suspens dans les déclarations ». L'Union européenne reste « handicapée par les divisions européennes, le manque de volonté, les déficits capacitaires ». Les réticences, les habitudes et les conservatismes l'emportent sur le dynamisme. La clé : la volonté politique pour une intervention collective La volonté politique est donc la condition majeure pour obtenir des avancées durables. Aujourd'hui, l'Union serait « absolument incapable de gérer une crise majeure sur son sol ». L'Union reste faible dans la défense de ses intérêts, qu'ils soient industriels, économiques ou sécuritaires, martèle le spécialiste des enjeux stratégiques. En cas d'attaque, les États répondront avec des moyens nationaux, moyens inégaux en fonction des capacités de chacun. Ce alors que « les brèches chez les uns créeront des vulnérabilités chez les autres ». C'est bien le manque de vision stratégique de l'Union qui paralyse les efforts. En finir avec l'éternel débat UE – OTAN Il faut arrêter de se concentrer sur l'éternel débat UE-OTAN car il s'agit aujourd'hui d'une question qui concerne « les États, leur réponse collective, et le fait que l'Union européenne peut faciliter leur coordination ». Sans intervention collective des Européens, « nous ne pouvons pas obtenir les solutions de sortie de crise ». Alors même que certaines de ces solutions sont à la portée des États membres. Cela a été démontré lors du conflit au Kosovo : des conseils européens réguliers ont « rythmé les opérations par des décisions qui ont maintenu unis les Européens ». Des clarifications nécessaires Les Européens n'ont « jamais été collectivement capables de définir quelle devait être leur contribution collective à leur défense collective ». Quel que soit le cadre. Cerner les objectifs de la défense européenne Le concept même d'‘Europe de la défense' — un ‘mot valise',« très français », intraduisible pour nos partenaires — permet de mettre « un peu tout dans le même sac : des coopérations intergouvernementales, les projets communautaires, le pilier européen dans l'OTAN... » Sans spécifier suffisamment les aspects sur lesquels travailler. Clarifier les contours de cette défense européenne est nécessaire. Il faut « cerner les objectifs, car trop d'ambition effraie ». Une indispensable clarification entre l'OTAN et l'UE Cela implique aussi une « indispensable clarification » entre l'OTAN et l'UE. « Jusqu'à preuve du contraire », la défense collective européenne « se fait dans l'OTAN ». Mais l'Union doit vérifier qu'elle est en mesurer de gérer des attaques qui ne relèveraient pas de la responsabilité de l'OTAN. « Les réponses, elles sont européennes ». On ne peut pas se reposer sur une distribution des rôles dans laquelle l'OTAN s'occupe des questions militaires pendant que l'Europe « ne ferait que du capacitaire ». Parce que, déjà, « c'est faux » selon Louis Gautier. Et car le développement des capacités vient, avant tout, « au service d'une politique militaire, industrielle. » Cinq priorités pour la suite D'abord, « l'affirmation stratégique » des Européens. Qui doivent comprendre qu'ils ont des enjeux communs à défendre et que personne ne va les défendre pour eux. Mais aussi « la protection » des frontières, des citoyens, la capacité de « réaction aux crises », « le capacitaire » et « le renforcement de la BITD [Base industrielle et technologique de défense] ». Pour ce faire, il faut « consolider l'autonomie technologique » de l'Europe, anticiper plus et mieux, et améliorer la cohérence et cohésion des structures. Alors que le budget militaire européen est de « 230 milliards d'euros », supérieur à celui de la Chine, les duplications ont un prix : « l'absence de crédibilité ». Et « si les Européens ne s'activent pas, ils sont les grands perdants du 21ème siècle ». (propos recueillis par Coline Traverson, st.) https://www.bruxelles2.eu/2019/06/06/entretiens-leurope-doit-mieux-reflechir-a-sa-defense-l-gautier/

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