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November 4, 2022 | International, Aerospace

Bulgarian parliament votes to buy F-16s under $1.3 billion deal

The first eight F-16 Block 70 fighter jet previously ordered and set to arrive in 2025 are deemed insufficient for air policing missions.

https://www.defensenews.com/global/europe/2022/11/04/bulgarian-parliament-votes-to-buy-f-16s-under-13-billion-deal/

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  • Northrop Grumman Expands Plant 42 as B-21 Continues Development

    August 27, 2019 | International, Aerospace

    Northrop Grumman Expands Plant 42 as B-21 Continues Development

    By BRIAN EVERSTINE PALMDALE, Calif.—Northrop Grumman is expanding its side of the secretive Plant 42 facility here and hiring thousands of employees while development of the new B-21 bomber remains largely under wraps. An older tan hangar-turned-production facility sits next to recently built white and blue buildings. Another large hangar is still under construction, and trailers serving as offices are lined up on-site. Heavy equipment dug through the dirt as speakers praised the evolution of the legacy B-2, which is helping lay the foundation for its next-generation successor, at a recent birthday ceremony at Northrop's facilities. The company won't specifically say whether the growth is driven by the B-21 Raider, only that the new construction is for “programs.” But it has funneled “multiple hundreds of millions” of dollars to improve Plant 42, according to Janis Pamiljans, the president of Northrop's aerospace sector. The company has also grown from about 25,000 to 28,000 employees in California alone since 2015 and continues to hire. “We've been on a tremendous hiring spree ... and you can see the kind of structures being built,” Pamiljans said. Northrop moved some of its other systems, such as the RQ-4 Global Hawk and the MQ-4 Triton, to new locations so it can better serve production of those aircraft. The shifts also free up space for other endeavors. Reporters were not allowed near the new facilities during an escorted visit throughout the Southern California site earlier this week. No other companies that are involved in B-21 development were visible on the premises. The promise of a new design remained even as Northrop and the Air Force celebrated the B-2 turning 30 years old at an Aug. 20 event. The “Spirit of Missouri” was parked in front of a hangar that is now partially used to produce F-35 jet fuselage and is partially dedicated to “other programs,” Pamiljans said. The B-21 is eventually expected to replace the stealthy B-2 over the coming decades. Northrop plans to use the Spirit program's focus on supportability, sustainability, and mission-capable rate as the blueprint for maintaining the B-21 as well. Northrop officials say they are taking lessons learned in the development and sustainment of low-observable technology, a key to the B-2's stealth, and applying them to these “other programs,” Pamiljans said. “The B-2 is setting the path, course for the B-21,” Pamiljans said. “What we've learned on B-2, we're finding baselined into the design of the B-21.” Eighth Air Force Commander Maj. Gen. James Dawkins told reporters in Palmdale that aspects of B-2 sustainment like computers, maintenance, and materials can naturally be leveraged for the B-21. He said the platform's cost and schedule performance are “right on expectations.” “From that standpoint, it's been very successful so far,” he said. “We're really happy about the way Northrop has approached this.” The Air Force remains mum about the state of B-21 production, other than to occasionally say it is going well. Air Force Vice Chief of Staff Gen. Stephen Wilson said last month the service is planning first flight of the B-21 in December 2021. The service is so far sticking with its plan to buy at least 100 of the bombers to go with 75 B-52s that will remain in service. The Air Force and Northrop continue to crunch overall production numbers, and haven't settled on an exact strategy for phasing out the B-2 as the B-21 comes online. There will be a transition period when both the B-2 and B-21 will be part of the strategic bomber fleet, Dawkins said. “I'm optimistic they will take lessons learned” from the B-2 for “any type of program” the company is developing, he added. http://www.airforcemag.com/Features/Pages/2019/August%202019/Northrop-Grumman-Expands-Plant-42-as-B-21-Continues-Development.aspx

  • Grey Wolf helicopter cuts lead to cost overrun breach

    April 30, 2024 | International, Aerospace

    Grey Wolf helicopter cuts lead to cost overrun breach

    This is the second critical Nunn-McCurdy breach incurred by a major Air Force program this year, following the Sentinel ICBM's cost overruns.

  • La Belgique a survolé l'offre de Dassault pour le remplacement des F-16

    June 14, 2018 | International, Aerospace

    La Belgique a survolé l'offre de Dassault pour le remplacement des F-16

    Olivier Gosset L'offre française de partenariat stratégique n'a jamais été étudiée dans le détail. La version complète n'a d'ailleurs pas été déposée auprès des autorités du pays. La proposition de partenariat stratégique mise sur la table par Paris pour le remplacement des F-16 n'a jusqu'ici pas été examinée en détail par la Belgique, dont les autorités ne sont même pas en possession de l'offre complète, a-t-on appris d'une source proche du dossier. La France a décidé de ne pas participer à l'appel d'offres (Request for Government Proposal ou RfGP) lancé en mars 2017 par la Belgique pour l'achat de 34 chasseurs-bombardiers de nouvelle génération. S'engageant dans une autre voie, Paris a fait parvenir le 6 septembre 2017 au cabinet du ministre belge de la Défense, Steven Vandeput, une lettre proposant un "partenariat approfondi et structurant" fondé sur l'avion de combat Rafale. Une coopération allant bien au-delà de la seule fourniture d'avions de combat, selon les responsables français. La proposition française est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense. Quelques éléments de cette offre ont filtré, principalement en ce qui concerne les retombées industrielles potentielles si la Belgique achète le Rafale. Des retours économiques que la France chiffre à 20 milliards d'euros sur 20 ans. Ensuite, plus rien! Du moins jusqu'au 15 mai dernier, lorsqu'une délégation de membres du cabinet de la ministre française des Armées, Florence Parly, s'est rendue à Bruxelles – pour la première fois en huit mois – dans le but d'expliciter auprès de leurs homologues belges l'offre française. Mais la proposition n'a pas été réellement scrutée à la loupe ni examinée sous tous les angles, puisque le document complet, qui fait plus de 3.000 pages, n'a jamais été formellement déposé en Belgique. À l'exception de la Défense, aucun cabinet belge n'a été autorisé à recevoir des représentants de l'Hexagone, et encore moins à réceptionner le volumineux dossier. Que ce soit au niveau du Premier ministre ou des Affaires étrangères. Aucun contact, même informel, ne semble avoir eu lieu non plus avec le SPF Économie ou le cabinet qui le chapeaute. Bref, la proposition française – ou du moins son résumé – est restée cantonnée au niveau du cabinet de la Défense qui, de son côté il est vrai, était tenu de travailler dans le seul cadre de l'appel d'offres en l'absence de décision politique du gouvernement remettant cette procédure en cause. Rien de nouveau? Dans ces conditions, il n'est pas étonnant que ce même cabinet ait toujours jugé non pertinente l'offre française. Ou qu'il ait indiqué n'avoir "rien entendu de nouveau" lors de la visite des émissaires français il y a quelques semaines. Que les experts militaires de l'équipe Accap, chargée d'évaluer les deux offres finales considérées comme juridiquement valables, n'aient pas pris en compte la proposition française, rien de plus normal. Pour rappel, les deux candidats qui ont remis des offres en bonne et due forme sont les Etats-Unis avec le F-35 Lightning II de Lockheed Martin et l'Eurofighter Typhoon du consortium européen éponyme. Le rapport de ces experts se trouve désormais sur le bureau de leur ministre, qui doit le transmettre au kern. Par contre, que le contenu du partenariat français n'ait jamais été examiné de près à un autre niveau en l'absence de tout engagement, voilà qui a de quoi surprendre. D'abord parce qu'il contient visiblement des éléments intéressants, comme une éventuelle participation au programme de Système de combat aérien du futur (Scaf) franco-allemand, ou encore, selon nos informations, une période très courte (sur moins de trois ans) pour la livraison des 34 appareils, quel que soit le moment où le contrat serait signé. Par ailleurs, le gouvernement belge serait bien avisé de garder plusieurs fers au feu. Parce que le résultat de l'appel d'offres risque de se heurter à des obstacles géopolitiques imprévus. Il ne va pas être très aisé en effet de justifier l'éventuelle acquisition d'appareils américains alors que l'administration Trump a déclaré une guerre commerciale au Vieux continent et que Paris et Berlin tentent de relancer l'Europe de la défense. https://www.lecho.be/entreprises/defense-aeronautique/la-belgique-a-survole-l-offre-de-dassault-pour-le-remplacement-des-f-16/10021780.html

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