Back to news

June 20, 2018 | International, Land

BAE wins Marine Corps contract to build new amphibious combat vehicle

WASHINGTON — BAE Systems has won a contract to build the Marine Corps' new amphibious combat vehicle following a competitive evaluation period where BAE's vehicle was pitted against an offering from SAIC.

The contract allows for the company to enter into low-rate initial production with 30 vehicles expected to be delivered by fall of 2019, valued at $198 million.

The Marines plan to field 204 of the vehicles. The total value of the contract with all options exercised is expected to amount to about $1.2 billion.

The awarding of the contract gets the Corps “one step closer to delivering this capability to the Marines,” John Garner, Program Executive Officer, Land Systems Marine Corps, said during a media round table held Tuesday.

But the Corps isn't quite done refining its new ACV. The vehicle is expected to undergo incremental changes with added new requirements and modernization.

The Corps is already working on the requirements for ACV 1.2, which will include a lethality upgrade for the amphibous vehicle.

BAE's ACV vehicle will eventually replace the Corps' legacy amphibious vehicle, but through a phased approach. The Assault Amphibious Vehicle is currently undergoing survivability upgrades to keep the Cold War era vehicle ticking into 2035.

BAE Systems and SAIC were both awarded roughly $100 million each in November 2015 to deliver 16 prototypes to the Marine Corps for evaluation in anticipation of a down select to one vendor in 2018.

[BAE, SAIC Named as Finalists in Marines ACV Competition]

All government testing of the prototypes concluded the first week of December 2017 and the Marine Corps issued its request for proposals the first week in January 2018. Operational tests also began concurrently.

Government testing included land reliability testing, survivability and blast testing and water testing — both ship launch and recovery as well as surf transit.

Operational evaluations included seven prototypes each from both SAIC and BAE Systems, six participated and one spare was kept for backup.

BAE Systems' partnered with Italian company Iveco Defense Vehicles to build its ACV offering.

[BAE Systems completes Amphibious Combat Vehicle shipboard testing]

Some of the features BAE believed were particularly attractive for a new ACV is that it has space for 13 embarked Marines and a crew of three, which keeps the rifle squad together. The engine's strength is 690 horsepower over the old engine's 560 horsepower, and it runs extremely quietly. The vehicle has a V-shaped hull to protect against underbody blasts, and the seat structure is completely suspended.

SAIC's vehicle, which was built in Charleston, South Carolina, offered improved traction through a central tire-inflation system to automatically increase or decrease tire pressure. It also had a V-hull certified during tests at the Nevada Automotive Test Center — where all prototypes were tested by the Marine Corps — and had blast-mitigating seats to protect occupants.

The 3rd Assault Amphibian Battalion, 1st Marine Division out of Camp Pendleton, California, is expected to receive the first ACV 1.1 vehicles.

https://www.defensenews.com/land/2018/06/19/bae-wins-marine-corps-contract-to-build-new-amphibious-combat-vehicle/

On the same subject

  • Bell dévoile le 360 Invictus, un nouvel hélicoptère d’attaque et de reconnaissance pour l’US Army

    October 3, 2019 | International, Aerospace

    Bell dévoile le 360 Invictus, un nouvel hélicoptère d’attaque et de reconnaissance pour l’US Army

    PAR LAURENT LAGNEAU Outre le renouvellement de ses véhicules blindés, confié à la « Next Generation Combat Vehicle Cross-Functional Team », l'US Army a également lancé le plan Future Vertical Lift, lequel doit lui permettre de remplacer une grande partie de ses voilures tournantes ères à l'horizon 2028/30. En avril, dans le cadre du Future Attack Reconnaissance Aircraft [FARA], un sous-programme de ce plan, l'US Army a pré-sélectionné cinq industriels qui devront chacun présenter un prototype. Ont donc été retenus Karem Aircraft [associé à Raytheon et Northrop Grumman], Boeing, AVX Aircraft [avec L3], Sikorsky [groupe Lockheed-Martin] et Bell [filiale de Textron]. Selon les spécifications de l'US Army, ce futur hélicoptère d'attaque doit loger dans la soute d'un avion de transport C-17, voler à la vitesse de 200 noeuds, présenter une architecture modulaire, mettre en oeuvre des drones et se passer, le cas échéant, d'équipage pour certaines missions, en particulier dans les environnements fortements contestés. Et son coût devra être « abordable ». Depuis, et alors que Boeing et Karem Aircraft sont encore discrets sur les intentions, AVX Aircraft a présenté le concept Compound Coaxial Helicopter [CCH], qui repose sur un hélicoptère doté de commandes de vol électriques, d'un rotor contrarotatif et de deux turbines. Quant à Sikorsky, il mise sur son S-97 Raider, également muni d'un rotor contrarotatif, complété par une hélice propulsive. De son côté, le 2 octobre, soit après avoir annoncé un partenariat avec Collins Aerospace pour le système de mission et l'avionique, Bell a levé le voile sur le « 360 Invictus » [tiré du mot latin signifiant « invicible » ou du poème du même nom signé William Ernest Henley?]. Reprenant des technologies développées pour le Bell 525 Relentless, notamment au niveau du rotor, cet appareil serait en mesure de voler à une vitesse supérieure à 185 noeuds [cela dépendra de sa configuration]. Côté armement, il sera équipé d'un canon de 20 mm et pourra emporter des missiles air-sol. Son rayon d'action devrait être de l'ordre de 135 nautiques, avec la possibilité de rester 90 minutes sur zone. « La lutte multi-domaines sera complexe et notre équipe fournit une solution hautement performante et à faible risque pour répondre en toute confiance aux exigences opérationnelles avec une flotte durable », a fait valoir Vince Tobin, le directeur des affaires militaires chez Bell. En effet, disposant de commandes de vol électriques, le Bell 360 Invictus fera appel à des technologies déjà éprouvées ainsi qu'à quelques innovations issues de programmes civils et militaires. Procéder de la sorte permet ainsi à l'industriel d'être très compétitif en terme de coûts, l'US Army ayant fixé à 30 millions de dollars le prix unitaire de ses futurs hélicoptères d'attaque et de reconnaissance. Les autres constructeurs qui ne l'ont pas encore fait devraient prochainement abattre leurs cartes, la prochaine phase du programme FARA devant commencer en 2020, après la sélection de deux concepts. http://www.opex360.com/2019/10/03/bell-devoile-le-360-invictus-un-nouvel-helicoptere-dattaque-et-de-reconnaissance-pour-lus-army/

  • La Belgique joue la montre avec le F-35

    October 9, 2018 | International, Aerospace

    La Belgique joue la montre avec le F-35

    Non, la Belgique ne demande pas aux Américains de prolonger leur offre, dans le cadre de la procédure de remplacement de ses avions de combat. Simplement, elle leur demande jusqu'à quand les conditions remises pour le F-35 resteront valables. Autrement dit, s'ils tiennent tant que cela à l'échéance du 14 octobre. Nuance. Difficile de savoir si la partie qui se joue actuellement est à classer au rayon "diplomatie de haut vol", ou mérite plutôt l'étiquette "négociation de marchands de tapis". L'acte I s'est joué le mois dernier: l'ambassadeur américain en Belgique a fait mine de mettre un petit coup de pression sur le gouvernement fédéral. En septembre, donc, Ronald Gidwitz rappelait que l'offre déposée par le groupe américain Lockheed Martin pour le remplacement des chasseurs-bombardiers belges F-16 expirait le 14 octobre, soit précisément le jour du scrutin communal. Pareille offre ne pourrait être indéfiniment prolongée, avertissait l'ambassadeur, empruntant les manières d'un représentant de commerce. Ou du moins pas en l'état; en cas de prolongation, il ne faudrait pas s'étonner de voir les conditions – prix, délais ou termes en matière d'entraînement – être modifiées. Pas dans le bon sens, fallait-il comprendre. Une sortie pour la galerie, en quelque sorte. Puisqu'elle ne semble avoir infléchi en rien la ligne de Michel. À qui l'on doit la composition de cet acte II: Un comité ministériel restreint avait déjà t'té le terrain, et un autre, réuni ce jeudi matin, a validé l'option. La Belgique va, en quelque sorte, demander la prorogation de l'offre déposée par le constructeur du F-35, postposant dans la foulée sa décision dans cet épineux dossier.Une fois de plus, puisque, outre ce 14 octobre, le sommet de l'Otan de juillet dernier avait déjà été présenté comme date limite pour trancher. Enfin, c'est un tantinet plus subtil que cela. Alors précisons. Non, la Belgique ne demande pas officiellement d'allongement du délai. Michel a mandaté son ministre de la Défense, le N-VA Steven Vandeput, qui est chargé de demander aux Américains la date de péremption de leur dossier. Autrement dit, à quel point tiennent-ils à l'échéance du 14 octobre, jusqu'ici brandie? Nuance, nuance. Le "chouchou" F-35 La Belgique joue donc la montre dans ce dossier complexe. Qui mérite une piqûre de rappel. Les 54 F-16 dont dispose la Belgique approchent tout doucement de l''ge de la retraite. Les premiers ont été livrés en 1982 et la limite des 8.000 heures de vol mène à un déclassement débutant en 2023. Voilà pourquoi le Fédéral a lancé en mars 2017 un appel d'offres portant sur l'acquisition de 34 nouveaux avions de combat, qui devraient être livrés à partir de 2023 et être tous opérationnels pour 2030. L'affaire est délicate. Parce que, assez rapidement, le F-35 américain a été désigné par l'amicale des bruits de couloir comme étant le "chouchou" – autrement dit, les jeux seraient déjà faits. Est venue s'ajouter en avril dernier une vraie-fausse polémique sur la possibilité d'allonger la durée de vie de nos vaillants, quoique vieillissants, F-16. Bref, pourquoi aller dépenser la modique somme de 3,6 milliards d'euros – et encore, il ne s'agit ici que de la mise initiale, les estimations de la facture totale tournant autour des 15 ou 18 milliards répartis sur une quarantaine d'années – alors que l'on pourrait "doper" la flotte existante pour un coût nettement plus doux? Ajoutez à cela la France et son Rafale, qui ont décidé de jouer les trouble-fêtes, en proposant, en septembre 2017, à la Belgique un "partenariat approfondi et structurant", et ce en dehors du cadre du marché lancé par Michel. La rumeur voudrait d'ailleurs que la Belgique n'ait jamais réellement inspecté en détail la proposition française. Résultat, le 14 février dernier, seuls deux avions étaient officiellement encore en lice: le F-35 Lightning II de l'américain Lockheed Martin – le plusonéreux des programmes d'armement de l'histoire militaire américaine – et l'Eurofighter Typhoon, porté par un consortium mêlant Royaume-Uni, Allemagne, Espagne et Italie. Et, faisant bande à part, le Rafale de Dassault. Comme si le remplacement des F-16 n'était pas suffisamment compliqué comme cela, d'autres marchés relatifs à la Défense sont ouverts – et non des moindres. De quoi créer des interférences ou pousser la Belgique à établir une sorte de balance générale, par le miracle d'une diplomatie de haut vol? Drones, navires et véhicules de combat Il est question de drones, puisque la Défense a prévu l'acquisition, pour 226 millions d'euros, de quatre drones susceptibles d'être armés. Alors que les militaires s'intéressaient à un engin "made in USA", le géant européen de l'aéronautique Airbus s'est invité et a proposé ses services. Il est question de navires, puisque la Belgique et les Pays-Bas ont entamé ensemble une procédure d'achat de seize navires militaires – deux frégates et six bateaux de lutte contre les mines chacun – pour une facture dépassant les 4 milliards. Aux Néerlandais de superviser le programme des frégates, aux Belges de présider celui des navires anti-mines. Mentionnons encore l'achat de 477 véhicules de combat pour les forces terrestres belges, pour lequel un préaccord à 1,1 milliard est établi avec la France. Benoît Mathieu, Journaliste Source: L'Echo https://www.lecho.be/economie-politique/belgique/flandre/la-belgique-joue-la-montre-avec-le-f-35/10056153.html

  • Robotics companies don't want robots weaponized '€” will anyone listen?

    October 11, 2022 | International, Land

    Robotics companies don't want robots weaponized '€” will anyone listen?

    Whether anyone will adhere to the contents of letter is another story.

All news